Pourquoi Cherchons Nous La Vérité

philosophie épicurienne en expliquant la différence entre vertu et plaisir. Enfin, cette œuvre n’apparait non pas comme un simple traité de sagesse, mais aussi comme un moyen de justification pour Sénèque, puisqu’il termine son traité en expliquant pourquoi il ne vivait pas en accord avec ses principes. I- Introduction (I, 1-2) Les deux premières sous-parties constituent l’introduction de Sénèque. Premièrement, l’auteur parle de « désir naturel » lorsqu’il aborde le thème du bonheur. Il s’agit

l’homme comme une grenade. Pas de montrer ses tripes, mais de les dessiner, les mettre en signes, en formes, en mouvements, en rythmes. Alors qu’en Occident, on apprend plutôt aux acteurs à serrer les mâchoires et à ne pas montrer ce qui se passe. Pourquoi, me suis-je demandé, un acteur du Kathakali me parle-t-il complètement ? Comment se fait-il, me demande-t-on aujourd’hui, que les gens qui ne savent rien du Kabuki puissent aimer vos spectacles ? La réponse est la même : parce que c’est du théâtre

simple repère. Nous avons alors la un constat de notre perception en tant que perception artificielle et incomplète qui ne saisit qu’une particularité de la chose sur laquelle elle se fixe .Cependant d’où vient cette faillite de notre perception ? Pourquoi décider volontairement de nous détourner de la réalité, de faire abstraction de son caractère entier ? Quelle est la raison de cette cessité volontaire ?. Bergson apporte alors des éléments de réponse après avoir dresser un constat , selon lui la

Socrate | Deuxième : philosophie comme art de vivre : Socrate ; stoïciens, épicuriens, sceptiques grecs | Troisième : philosophie comme métaphysique (savoir absolu) : philosophes du 17ème (Descartes, Leibniz, Spinoza) ; pré-socratiques | Nous cherchons ce qui peut bien être commun à ces types de discours ou plus généralement d'activité. Ce qui présuppose, bien entendu, qu'il y a des ou un point commun à ceux-ci, sans quoi, nous n'aurions aucune raison de les appeler tous " philosophie ". Or,

Œnone met son plan à exécution et dénonce Hippolyte. Pour prouver son innocence, celui-ci déclare au roi qu’il aime Aricie, une princesse d’Athènes. Mais Thésée ne le croit pas et entre dans une vive colère. Phèdre qui s’était décidé à révéler la vérité se rétracte, en apprenant cette nouvelle. Malgré l'intervention d'Aricie, Thésée s’acharne et demande à Neptune de punir son fils. Phèdre reproche alors à Œnone ses actes, et cette dernière, désespérée se suicide. Cette mort jette alors le trouble

exactement pourquoi il la veut ? Est-ce vraiment sûr que c’est la moto qu’il désire et pas le gain d’une certaine fierté, d’une assurance devant ses copains, d’un sentiment de force et même de virilité ? Si c’est le cas, cela veut dire qu’il désire en fait une chose pour une autre sans savoir exactement dans quelle direction va exactement le désir. La difficulté est donc tout d'abord de savoir quel est l'objet réel du désir. Avons-nous donc conscience de l’objet de nos désirs ? Que cherchons-nous

exactement pourquoi il la veut ? Est-ce vraiment sûr que c’est la moto qu’il désire et pas le gain d’une certaine fierté, d’une assurance devant ses copains, d’un sentiment de force et même de virilité ? Si c’est le cas, cela veut dire qu’il désire en fait une chose pour une autre sans savoir exactement dans quelle direction va exactement le désir.     La difficulté est donc tout d'abord de savoir quel est l'objet réel du désir. Avons-nous donc conscience de l’objet de nos désirs ? Que cherchons-nous à

d'expérience mais des principes de l'esprit humain, conditions d'un savoir objectif. Or l'expérience est toujours particulière, propre à un individu donné, en plus d'être tributaire de nos sens limités. En conséquence, est-elle capable d'établir une vérité universelle à elle seule? David Hume, empiriste, montrera lui-même dans son Enqyête sur l'entendement humain, les limites de la connaissance sensible tirée du raisonnement inductif: les énoncés que nous tirons de nos raisonnements inductifs sont seulement

scientifique ne peut l’être que si on peut la réfuter : ex : la psychanalyse n’est pas une science car on pourra toujours trouvé une solution sans que ce soit réfutable) Typologie des sciences : On distingue les sciences dures (on peut les toucher, la vérité peut être prouvée), sciences molles : sciences humaines, difficile à rationnaliser…), universalité, causalité (ce que la science cherche à prouver à travers l’expérimentation c’est la causalité. Ex : si je jette le stylo en l’air, il tombe), réalité

affirmations. Pourquoi l’hypothèse de l’inconscient est-elle nécessaire ? En quoi est-elle vraiment légitime ? Est-elle réellement prouvée ? Admettre qu’elle est prouvée, c’est admettre que la psychanalyse est effectivement une science, comme le pense Freud. Qu’en est-il ? Quelle est précisément la valeur épistémologique de la psychanalyse ? C’est ce sur quoi nous nous proposerons de réfléchir après avoir procédé à l’étude précise du texte. Commençons tout d’abord par examiner pourquoi, selon Freud