Pourquoi Désirer Savoir

était laid et mauvais.Partie 1 :L'Amour n'est pas non plus un dieu, Diotime et Socrate en conviennent. Les dieux sont beaux et heureux, Socrate ne le nie pas. Diotime définit le bonheur comme le fait de posséder des choses bonnes et belles. Si l'Amour désire ces choses, il en a besoin et ne les a pas. Il ne peut donc pas être un dieu puisqu'il ne possède pas de choses bonnes et belles. Socrate lui demande alors ce qu'il est, ce à quoi elle répond qu'il est entre le mortel et l'immortel, un esprit. L'amour

Introduction Faire l'expérience du désir, c'est endurer la morsure du manque et traverser l'épreuve de l'insatisfaction : tout désir est une tension vers un objet désiré, dont la possession nous apparaît à chaque fois comme étant absolument nécessaire — en d'autres termes, quoi qu'un désir commande, il le commandera toujours impérativement. Seulement, il va de soi que les objets sur lesquels les désirs se portent ne sont pas uniformes, en sorte que l'exigence de satisfaction ne revêt pas la même

désirons-nous que les choses que nous estimons bonnes ?Eléments pour le développement Présupposé du sujet : Nous désirons les choses que nous estimons bonnes Première partie : examiner le présupposé : Pourquoi désirons-nous les choses que nous estimons bonnes ? S’appuyer sur une analyse de ce que désirer veut dire et entendre « bon » au sens de « nécessaire au bonheur » ou « nécessaire à notre survie ». Donner des exemples Trouver des références (Aristote, Epicure) Problème : est-ce que

1 LE PRÉSENT DOCUMENT EST PROTEGE PAR LE DROIT D’AUTEUR. TOUTE REPRODUCTION MÊME PARTIELLE DOIT FAIRE L’OBJET D’UNE DEMANDE D’AUTORISATION De la volonté comme pathos au désir comme production : Schopenhauer, Nietzsche, Deleuze Par Arnaud François (Université Lille 3) Peu de choses nuisent plus à une philosophie qu’une réputation d’extravagance. Cela me semble particulièrement vrai dans le cas de Deleuze. La limite est ténue entre l’extravagance et la divagation. Plus, sans doute, que pour d’autres

Sujet de philosophie : Faut-il se libérer du désir ? "Se libérer du désir", sous-entend que le désir est un fardeau qui accable les hommes, et engendre ainsi des souffrances. Se libérer du désir en désirant le moins possible, pourrait permettre d'éloigner les souffrances qui lui sont propre ; ces manques à être, frein à l'ataraxie. Cependant, le désir ne doit pas être borné par des limites naturelles, mais des limites morales, car se libérer du désir en se soumettant aux lois naturelles renvoie

c’est donc chercher du sens indéfiniment.Apprendre, sert à voyager, à se plonger dans un autre univers. Lorsque l’on est entrain d’apprendre, on remarque que ce que l’ont etudie nous échappe, ont comprends ainsi pourquoi il ne faut pas cessé d’apprendre, on comprends également pourquoi apprendre fait peur.En effet, on se rends compte de la précarité, et de la perfectabilité de nos conaissances. Predre conscience de son ignorance nous invite à la modestie. Socrate disait que «la seule chose que je

Terre. 2 - [178c-179b]. Il procure à ceux qu'il touche les biens les plus grands. Il inspire la honte des vilaines actions et le goût des bonnes. Or il n'y a rien de plus laid que d'être surpris par celui qui nous aime en train de faire le mal. C'est pourquoi une armée composée d'amants et d'aimés rendrait un État invincible. 3 - [179b-180c]. - L'histoire et surtout la mythologie démontrent que seuls consentent à mourir pour autrui ceux qui aiment. Ainsi Alceste qui accepta de périr à la place de son

fait d’un homme ce qu’il est. I. Quelques définitions : « visions » 1) La vision est un projet d’avenir, une idée qu’un homme réserve en tête et qu’il désire réaliser dans le futur. 2) La vision est aussi le but, l’objectif qu’une personne s’est fixée d’atteindre. Elle est en premier le fruit de ses pensées mais qu’il désire au plus tard bâtir. 3) La vision consiste à concevoir ses futurs, son avenir en le dessinant imaginairement et par la suite en le réalisant. 4) La vision

heureux. Sans jamais ressentir l’impression de l’être réellement. Alors pourquoi ? Pourquoi cette constante recherche du bonheur et cet éternel sentiment, frustrant au possible, d’insatisfaction, de manque à combler ? André Comte-Sponville explore plusieurs pistes afin de cerner, et pourquoi pas apprivoiser, ce qui pour certain semble être une utopie, mais qui pour d’autres s’avère être un véritable aboutissement. La notion de désir largement explorée par Comte-Sponville semble effectivement primordiale

Le désir I] Analyse de la notion L’étymologie du mot renvoie au latin desiderare, « regretter l'absence de quelqu'un ou de quelque chose ». Désirer (ou dé-sidérer) serait à rapprocher de con-sidérer, de considerare «examiner attentivement (par les yeux, par la pensée) ». On notera la proximité avec le lexique de la sidération, de la captation totale de l’attention. Le désir est une tension du sujet vers un objet, réel ou imaginé, une force puissante qui pousse le sujet à l'action et à la