Pourquoi L Epargne Est Elle Nefaste Pour Keynes

d'économie Février 2004 À l'économiste inconnu, mort pour la guerre économique, qui toute sa vie expliqua magnifiquement le lendemain pourquoi il s'était trompé la veille, à tous ceux, bien vivants, qui savourent le mot gratuité. INTRODUCTION: Faut-il rire des économistes? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ……………………… 003 TEXTES: David Ricardo. John Maynard Keynes. Martin Heidegger. John Kenneth Galbraith. Alfred Jarry ……………………………………………………. 007 PARTIE 1 : PRINCIPES DE SCOLASTIQUE ÉCONOMIQUE

l’économie. Le deuxième inconvénient est que ce processus de globalisation est allée de pair avec une montée de l’instabilité. Enfin le troisième inconvénient serait des produits bancaires trop sophistiqués. III/ Les dangers du courtermisme Pourquoi en est-on arrivé la ? Tout simplement parce que aujourd’hui on raisonne à court-terme et non plus à long terme. Qui a le pouvoir c’est le monde de la finance, et il raisonne à court-terme. Si on prend le CAC-40, elles sont largement entre les mains

FOGEL Robert | FOURASTIÉ Jean | FRIEDMAN Milton | FRIEDMAN (David) | | | |   | GALBRAITH | GIFFEN | | |   | HAAVELMO | HARROD | HAYEK (von) | HECKSCHER | HICKS | HIRSCHMAN |   |   |   | KAHN | JEVONS | |   |   |   | KALDOR | KEYNES | KLEIN | KUZNETS |   | LAFFER | LAFFEMAS | LÉNINE | LEWIS | LIST | LUCAS |   |   |   |   | MALINVAUD | MARKOVITZ | MALTHUS | MARSHALL | MARX | MEADE | MENGER | MILLER | MISES (von) | MILL | MODIGLIANI | MONTCHRESTIEN (de)

misères encore plus grandes. Originalité de M par rapport à Smith, Say et Ricardo : opposition à la loi de Say, il pense que les crises de surproduction existent : dangers d’une épargne excessive et l’importance de consacrer une part suffisante des ressources à la conso. A ce titre M est un précurseur des idées de Keynes. Insistance sur l’importance de la demande. Marx : Philosophe, économiste et sociologue. Développe une vision globale des rapports sociaux dont l’analyse éco constitue un pendant

emploi puisque le chômage est volontaire) et le salaire réel. Puis après on remonte tout. Sur le marché des biens, l’offre est obtenue à partir de l’emploi (la production). Sur le marché des titres va se fixer le taux d’intérêt d’équilibre réel : épargne et investissement se rencontre Le marché de la monnaie va nous permettre de déterminer les grandeurs nominales donc les prix. Sur ce marché on va avoir la demande de monnaie transactionnelle, l’offre de monnaie (qui est la masse monétaire. L’offre

travail va être réduite, la plus-value (part non payée du travail va diminuée par rapport au capital (les machines) qui lui augmente. C’est pourquoi, le taux de profits va diminuer. 4. Le pensée de Keynes John Maynard Keynes (1883-1946) pense que la somme des comportements isolés des individus va à l’encontre de l’intérêt général. C’est pourquoi, il prône l’intervention de l’Etat dans l’économie. Ainsi, en cas de crise, l’Etat peut agir sur la demande si celle-ci est insuffisante. Cette

les salaires ou tout au moins freiner fortement leur évolution. Aujourd'hui, l'accent est mis sur la réduction des charges sociales patronales, plutôt que sur celles des salaires, pour réduire le coût du travail. 2. L'analyse keynésienne Pour Keynes, le chômage est involontaire. C'est la demande anticipée (appelée demande effective) qui détermine le niveau de l'emploi. Selon lui, les entreprises vont embaucher si les prévisions de consommation sont bonnes. Dans le cas contraire , même si les

économique et monétaire (UEM) 144 VII - METHODOLOGIE ; ANALYSE OU RESUME 153 Croissance forte et plein-emploi : la le renaissance de l’économie suisse 153 Comment fait-on un résumé de texte 155 Comment fait-on une analyse de texte 158 IX – POURQUOI DES TRAVAUX DIRIGES D’ECONOMIE ? 162 INTRODUCTION Comme le rappelle très souvent dans ses conférences Denis Clerc « Il y a trente ans, c’était le bon temps. L’économiste pouvait parader : lui, au moins, il savait. Il savait comment marchait

voire plus vite, que l'inflation[4] ; les salariés ne perdent donc pas en pouvoir d'achat. De même, les minima sociaux et les pensions de retraite sont indexés sur l'inflation, et leurs pouvoirs d'achat ne diminuent pas. Une inflation élevée est néfaste pour l'économie : elle induit des « coûts d'étiquette », mais surtout modifie le comportement des agents économiques, pouvant entraîner une perte de confiance dans la monnaie. Une inflation élevée se répercute généralement sur les prix à la production

un second temps. L’analyse est menée en terme réel et elle seule importe, notamment pour déterminer les conditions de réalisation de l’équilibre. Ensuite la monnaie est introduite mais cela ne change rien au résultat précédemment obtenu. John Menar Keynes, au début du 20ème refuse cette démarche car il estime que la monnaie joue un rôle essentiel dans l’économie. L’approche est intégrationniste parce que la monnaie et les phénomènes réels sont intimement liés, et parce que les phénomènes économiques