Pourquoi L Homme Cherche T Il La Vérité

Philosophie 2010 – Filière ES – Métropole Sujet 1 : Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ? Sujet 2 : Le rôle de l'historien est-il de juger ? Sujet 3 : Commentaire du texte d'Emile Durkheim Sujet 1 : Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ? Il n’est pas possible de se lancer dans le traitement d’un sujet de dissertation sans avoir préalablement chercher à cerner ce sujet, c’est-à-dire sans avoir tenter de voir quels pouvaient être les différents sens de la question.

la philosophie sont nombreux. Telles que la recherche de la vérité, la méditation sur le beau et le bien, le sens de la vie et l’existence, celle du bonheur. La quête de la vérité est le piédestal du philosophe en tant qu’amoureux de la sagesse. La vérité n’est pas à négliger malgré son caractère relatif. On ne peut s’en passer dans la mesure où elle nous conduise vers une existence paisible. Le fait d’être à la poursuite de la vérité actualise le savoir. Ici à Madagascar, un élève n’a

les valeurs qu’elle prône, qu’elle défend et qu’elle essaie de cultiver en pratique : - la vérité (la raison veut le vrai) - la justice (la raison défend le juste) - la beauté (la raison admire le beau) - le bonheur (tout être rationnel cherche le bon et le bien, s’il est moralement sain !) Pour accéder à ces valeurs que tout être humain se doit de chercher et de pratiquer, l’homme utilise sa réflexion (examen, compréhension, jugement …). Mais il faut ici

créativité · Philosophe rigoureux, précis, argumente, démontrent -> intéressant !!! on pense toujours à travers nos mots, il est donc important d’enrichir son vocabulaire · Le questionnement , l’étonnement « pourquoi » Première partie Origine de la philosophie  : 5ème siècle AV J-C (Athènes) · Époque florissante (apogée de cette civilisation : politique, militaire (cité puissante), culturel, historique, économique)

ON ETRE INDIFFERENT A LA VERITE ? La vérité. Mot qui ne cesse de remplir notre quotidien, nos vies, nos sociétés et surtout notre existence. Plus qu’un simple mot, la vérité, est cette valeur que nous nous efforçons à suivre, à connaître, que nous inculquent nos anciens et nos proches, parce qu’ils veulent notre bien, parce qu’ils veulent que nous restions réalistes et que nous allions dans le chemin de la connaissance et de l’intelligence. Ainsi l’homme définit la vérité comme la conformité de

La société a-t-elle besoin des philosophes ? « Séparer la vérité de l’erreur, c’est l’affaire de ceux qui pensent en société » disait Alain, philosophe du début du XXème siècle. D’après lui, ceux qui pensent, en d’autres termes les philosophes, seraient « chargés » de séparer la vérité de l’erreur. Serait-ce le rôle du philosophe ? A-t-on besoin de séparer la vérité de l’erreur ? Nous sommes donc amenés à nous questionner sur la nature du rôle du philosophe. La société a-t-elle besoin des philosophes

1/ Le dialogue assure-t-il une émergence de la vérité ou au contraire est-il un obstacle à toute révélation, surtout quand il est “dialogue de sourd” ? (enjeu théorique) 2/ Autre problème : le dialogue, s’il paraît respecter les exigences fondamentales de l’égalité et du respect de l’interlocuteur, ne cache-t-il pas en réalité un rapport de force? une domination ? (enjeu pratique et politique) Le dialogue est-il le chemin de la vérité ? Platon et avant lui Socrate se sont opposés

remettant qu'aux sens, il est incapable de dire s'il s'agit bien du même morceau de cire. Ce qu'il connaissait à un moment donné n'est plus connu à un autre puisqu'il a changé. Si le monde sensible se transforme sans cesse, on ne peut en tirer des vérités universelles. Malgré l'impossibilité de puiser dans le monde sensible des connaissances dont on puisse déterminer le degré, les empiristes se proposent d'en faire la source de toutes les connaissances humaines. En ce sens les connaissances seraient

l’histoire par leurs actions. C'est pourquoi il serait très pertinent de se poser la question suivante : « Quel est le rôle des grands hommes dans nos sociétés modernes ? » C'est d’ailleurs la question que s’est posée Émile Durkheim, pour par la suite écrire ce texte sur « Le rôle des grands hommes dans l’histoire ». Lui-même devenu un grand homme par ses travaux, Durkheim explique le rôle des hommes, qu’ils soient petits ou grands. Ces grands hommes, porteur de la vérité/raison, ont un rôle bien spécial

moins un homme aussi malheureux que les autres s'il n'est pas "diverti" : "un roi sans divertissement est un homme plein de misère" (127). Au bas de l'échelle, le peuple, qui, sans le savoir, fait preuve d'opinions "saines" (87 et 88), donc d'une certaine sagesse, car il ne conteste rien pourvu que les choses lui semblent juste. Ainsi "honore"-t-il sans se poser de questions "les gentilshommes" (85), au contraire des "demi-savants" (93) qui critiquent tout sans rien comprendre. C'est pourquoi il convient