Pourquoi Max Weber Parle T Il D éthique

gratuitement (association, syndicats, services publiques,…) • L’entreprise joue la fonction d’offres sur un marché afin de satisfaire la demande qui émane des consommateurs ou d’autres entreprises • Mission ou Vocation La mission d’ne entreprise c’est ce pourquoi elle existe, c'est-à-dire le besoin qu’elle satisfait de part son offre Ex : mission de Danone>>santé • Adam SMITH : l’équilibre de l’offre et de la demande • L’équilibre des marchés, possible que dans un système concurrentiel, permet : o L’allocation

“classique” mais a failli toucher tout le système! B.Une crise avec une incidence directe sur le chômage! C.Une crise aggravée par la mondialisation! 3 3 4 4 CONCLUSION! 4 CHAPITRE 1 : LES ORGANISATIONS! I.DÉFINITION! A.UNE ORGANISATION : Pourquoi ?! a) Un moyen d’agir collectivement b) Un moyen d’atteindre un objectif commun B.UNE ORGANISATION : Comment ?! Exercices a) Définition b) les différentes connotations données par ce terme Applications 5 5 5 5 5 5 5 6 6 7 II.LES CARACTÉRISTIQUES

progrès techniques qu’il faudrait encadrer d’un point de vue politique et ethique plutôt que de condamner la technique ? Heidegger (XX ème) montrera dans son texte intitulé, la question de la technique, que par la technique la nature « est mise en demeure de livrer une énergie », en ce sens la nature est arraisonnée, objectivée, utilisée uniquement dans le but du profit toujours plus conséquent. VIII°/ Technique et Ethique -cf cours sur la Liberté et sur matière et esprit : la position de Hans

de faire, susceptible d’exercer sur l’individu une contrainte extérieur », on reconnaît un fait social parce qu’il s’impose à l’individu. Il y a contrainte, par exemple, lorsqu’un sentiment s’impose à tous dans une assemblée ou dans une foule. Il parle aussi de contrainte pour le rire qui est une action collective qui peut se communiquer à tous, c’est un phénomène typiquement social parce que le rire a pour support l’ensemble du groupe et non un individu en particulier. La mode, ce n’est pas un

sport est massif d'un point de vue politique. On parle du sport tous les jours, et on en troue des répercussions dans le monde entier: c'est un des spectacle le plus regardé au monde. Il traverse donc la mondialisation. C'est un argument pour dire que le sport est universel, partagé par tous. Il y a des discours sur le sport, des discours partagés mais il y a beaucoup de discours de sens commun. Quand il y a une coupe du monde, tout le monde en parle. Cela est donc porté par l'institution elle-même

demande comment fonctionne un gouvernement. Le politiste tente de comprendre les processus politiques réels en mettant de côté toute préférence morale ou idéologique et cela pour 2 raisons : 1) Le savant doit être conscient que ses préférences éthiques sont susceptibles de fausser son jugement, son analyse des faits. Une activité relativement récente (début 20ième). 2) De manière générale il faut se méfier des discours scientifiques. B. Une science du 20ième siècle. 1) Les fondateurs

sortie du théologico politique. Pour commencer, il faut bien avoir conscience du fait que la politique moderne se déploie dans un cadre tout à fait inédit, la plupart des auteurs sont d’accord avec ça. Léo Strauss qui est un auteur anti-moderne, parle de la première vague de la modernité : Machiavel et Hobbes. Invention d’une nouvelle manière de penser la communauté politique, la société (à partir de Rousseau, fin du XVIIIe siècle). L’univers des anciens était souvent articulé par référence

à pourtant une mission de nous faire aimer la démocratie. - 3e objectif : La compétence politique des citoyens : l’idée reçue (mythe démocratique) est que tout le monde peut s’intéresser, que tout le monde est compétent politiquement. Pourquoi parler de compétence ? Notre démocratie c’est construit de cette manière là, tous les individus peuvent avoir une opinion, peuvent l’exprimer, et le vote est le rappel de cette idée générale. La science politique démontre que la compétence ce n’est

manifestations publiques de ces représentations parmi une population donnée d’esprits, dans un contexte écologique spécifique9. Par conséquent, les objets de culture sont à étudier au sein d’une « épidémiologie » : autrement dit, il faut comprendre pourquoi certaines idées « prennent mieux » que d’autres dans les esprits humains. Plus spécifiquement, dans le cas des idées qui nous intéressent ici, 5 Dan Sperber, Le structuralisme en anthropologie, Paris, Seuil, 1968. 6 Le symbolisme en général, Paris

généralisée. Ceci peut se soutenir en réfléchissant sur la centralité de la catégorie de la communication comme critère d’explication de multiples domaines de l’expérience humaine, souvent apparemment éloignés de ce que normalement on entend lorsque on parle de communication; sur sa structurale coappartenance à un certain type de système social; sur l’importance stratégique qui, sur le plan politique et culturel, il a acquit 1.1 La communication comme nouveau paradigme Le terme communication est