Pourquoi Respecter Autrui

réussir avec les autres, ce qui est, à tous, notre rêve. L'étude de ce livre va nous permettre par la suite de lever les difficultés habituelles que l'on rencontre avec autrui, ce qui nous met en discordance pénible, mais également de répondre à des situations variées quelques peut difficiles, tels que les émotions et sentiments envers autrui, comment vivre avec nos différences, les comportements et attitudes à changer pour s'émouvoir dans une meilleure relation, et surtout, réussir avec les autres. Car

« A une vérité ténue et plate, je préfère un mensonge exaltant » D’Alexandre Pouchkine Devons nous dire la vérité tout le temps ? Dans n’importe quelles circonstances ? Pouvons-nous mentir ? Pourquoi devons nous dire la vérité ? Pourquoi voudrions-nous mentir ? Alexandre Pouchkine répond en citant : « A une vérité ténue et plate, je préfère un mensonge exaltant ». Alexandre Pouchkine était un poète et écrivain russe, né le 6 juin 1799 et décédé le 10 février 1837. Enfant de nobles, Pouchkine

Léa Sallustro 1er L2 Pourquoi la politesse est-elle une marque de respect qui régit la vie en société ? La politesse est une marque. La marque d'une structure. Et c'est cette structure qui régit notre société. La politesse définit les règles de bienséance imposées par un code. Ce code nous viendrait d’un héritage de nos sociétés antérieures, et qui aujourd’hui semble délaissé par les générations futures. Pourtant la politesse à ses fonctions, on pourrait même parler d’utilité face à

dissimuler ce que l’on sait. « Le mensonge est la falsification qui cause du préjudice à autrui » (phrase latine). Développement :Cet extrait pose le problème de déterminer la nature de l’acte de vérité ou de mensonge.Le mensonge renvoi au devoir moral qui est par définition désintéressé. Nietzche ramène l’interdit du mensonge à un calcul social d’intérêt. Il introduit le texte par une question. La question suivante, « Pourquoi, dans la vie de tous les jours, les hommes disent-ils la plupart du temps la vérité 

des mensonges que la loi ne réprouve pas. Pourtant chacun apprend, par son éducation, qu'il est "laid" de mentir et que l'honnêteté et la sincérité sont des vertus morales qu'il faut cultiver. Mais chacun découvre aussi qu'il n'est pas bon de dire à autrui tout ce qu'il a sur le coeur et qu'en certaines circonstances il est même recommandé de mentir: par exemple mentir à quelqu'un pour ne pas le blesser ou lui épargner des souffrances, comme cacher la vérité à une personne atteinte d'une grave maladie

un acte libre qui garantit la liberté des Hommes et les protège du déterminisme extérieur. La question que nous nous sommes posé était de savoir si l’obéissance à la loi ne reposait que sur la crainte. Nous avons déjà trouvé d’autres raisons au respect des lois. Mais dans la notion même d’obéissance l’idée de d’acte volontaire et délibéré est présente. On peut donc la distinguer de la soumission. Effectivement lorsque l’on obéit à une loi, c’est un acte libre et on reconnait à cette dernière

définir la personne qu’il est, pour pouvoir ensuite être soi même il faut donc d’abord savoir qui l’on est. Sartre fait ici la distinction entre l' «être pour soi» (l'homme conscient de son existence et de sa liberté), l' «être en soi» et l' «être pour autrui» que nous verrons ensuite. L’être pour soir serait donc plus apte que les deux autres à vivre sans aucun masques ni illusions. Sartre prend l’exemple du garçon de café, cet exemple reprend d’ailleurs les notions précédemment énoncé. L’ « être en

plus grand nombre donc satisfaire un bien-être collectif. En versant l’argent à la population, l’État permet d’assurer une meilleure vie aux citoyens en leur offrant tous les ressources possibles qui seront nécessaires pour leur quotidien ce qui respecte la règle que chacun compte pour un par exemple toute la population aurait droit à l’assurance social, emploi et plusieurs autres. De plus le calcul de l’utilité présente un excédent maximal de plaisirs sur les déplaisirs, c’est-à-dire que le gouvernement

différencier le Bien du Mal d’où l’expression moderne « Il a pris conscience de ses erreurs » par exemple. Or celle qui nous intéresse, dan ce sujet, est la conscience dîtes morale, soi celle qui permet d’apporter des jugements de valeurs sur nous même et autrui et qui suppose la précédente. Or, celle-ci demande donc aux individus, n’ont plus de posséder une conscience mais d’être eux même cette conscience : « la conscience de soi ». Kant, pensant que chaque personne est capable de douter, pense aussi qu’il

technique, au regard des valeurs de notre société ; * garantir le respect de la dignité humaine et la protection des plus vulnérables contre toute forme d’exploitation.  La question des « mères porteuses »   Aujourd’hui, il est strictement interdit en France, notamment pour des raisons éthiques, de porter un enfant pour un autre couple pour le lui remettre à la naissance. Cette interdiction repose sur les principes de respect de la personne et du corps humain. Toute forme d’arrangement passé