Pourquoi Se Marier

Séquence 2 : L’évolution du personnage de roman dans la sociétéObjet d’étude : Le récit et le roman du Moyen-Âge au XXIe sièclePartie I : Etude de l’œuvre intégral, La Princesse de Clèves, Mme de Lafayette, 1678 Séance 1 : Introduction · Définition : Le roman est une histoire en prose raconté par l’intermédiaire d’un narrateur. A une époque et dans un cadre donné (= spatio-temporel), il met en

est vrai et réciproque « le bonheur d’une femme, qui est d’aimer son mari et d’en être aimée. » Enfin, une femme si honnête peut être entraîné dans la passion amoureuse qui participe rarement à conserver ses vertus. Mademoiselle de Chartres est fondée sur une morale complexe pour être une femme exemplaire car sa beauté participe forcément à la séduction des hommes de la cour, mais à cette époque une femme qui trompait son mari était un comportement très mal vu par la société, les femmes infidèles

et son mari, Sganarelle, se disputent dans la forêt. Elle lui reproche de ne pas être fidèle, d'être paresseux, de ne pas gagner assez d'argent et de tout le dépenser. Sganarelle se met en colère et lui donne des coups de bâton. Auparavant, il se vante d'être instruit, d'avoir travaillé 6 ans chez un médecin. Son travail maintenant consiste à faire des fagots dans la forêt pour les vendre. Scène 2 : Monsieur Robert, le voisin de Sganarelle et Martine, arrive et défend Martine à qui son mari est en

pour expulser le couple M, puis les a assignés solidairement pour percevoir des indemnités. Un arrêt oblige donc solidairement l'épouse au versement d'une certaine somme d'argent après que le mari ait été expulsé par la société d'habitat à laquelle ils louaient l'habitation. Après résiliation du bail, le mari a occupé seul les locaux de façon illicite. Son épouse avait indiqué qu'elle avait quitté le domicile antérieurement à la résiliation du bail. Un pourvoi est alors formé à l'encontre de l'arrêt

j'interprétai mal sa détresse et en conclus qu'elle me reprochait de l'avoir laissée seule. Elle me dit: «j'ai souffert toute la journée. je n'avais plus de médicaments et je suis restée clouée au lit sans que personne s'inquiète de mon sort ! - Pourquoi ne m'as-tu pas appelé? lui ai-je répondu, sur la défensive. - j 'ai chargé ton frère de m 'en racheter, mais il n'est pas venu de la journée. Qu'est-ce que tu voulais que je fasse? je peux à peine marcher. je me sens complètement abandonnée!» me

peut y accéder c’est à peine même. Celle qui a la chance de la commencer en est vite retirée sans même terminer son cycle. Comme une offrande ou un sacrifice, elle se voit très vite et simplement forcée d’embrasser un mari, puis trop tôt devenir mère d’enfants dont le nombre dépend du mari ou de la belle-famille. Au nom de la sacrée coutume, ni le rapport d’âge entre les deux partenaires forcés, ni le choix de la fille et moins encore son point de vue ne sont pris en compte par les parents. Seules priment

voyage de retour à Argelouse, depuis le palais de justice, un monologue intérieur de Thérèse, avec de longs retours en arrière, nous raconte sa vie, ses conditions, ce qui l'a poussée à essayer de tuer son mari. Elle essaye de trouver des mots pour expliquer, en toute honnêteté, son geste à son mari, mais au bout de son voyage elle se retrouve confrontée à la réalité et bien sûr il ne la laissera pas s'exprimer. Le narrateur est alors omniscient et connaît ses pensées. Elle pointe du doigt la société

une femme qu’il lui amena ». Genèse, 2,21-22 Guillaume de Conches ( 12e siècle) donne une expliation naturaliste de ce passage de la bible «  et il est vraisemblable que c’est à partir du limon voisin que le corps de la femme, fut crée, et c’est pourquoi il n’est pas tout à fait différent de celui de l’homme, et elle n’est pas aussi équilibrée que l’homme, parce que la plus chaude est la plus froide que l’homme le plus froid ; et cela est ce que dit l’Ecriture sainte : que Dieu a fait la femme de

homme quitte sa femme dont il est fou amoureux trois jours par semaine, chaque semaine. Celle ci finit par savoir que son mari se transforme en loup garou durant cette période et celui ci lui precise que si ces habits disparaissent alors il ne pourra plus redevenir humain. Sa femme degoutait ne veut plus de lui et demande a un de ses pretendants de voler les habits de son mari le soir venu pour qu'il reste loup garou et alors elle se marira avec lui. Un jour le seigneur partit a la chasse et trouva

supposer qu’elle l’aime. Elle exprime avec vivacité son inquiétude (rythme ternaire, points- virgule) : « gardons d’être surpris »2. Cette exposition in medias res apprend au public que deux jeunes gens doivent se cacher, mais sans révéler pourquoi. Un ON indéfini (deux fois) constitue un obstacle à leur relation. C’est une tradition dans les comédies du XVIIème siècle : un père autoritaire s’oppose à l’amour de sa fille pour un jeune prétendant. 1 Une comédie-ballet est