Pourquoi Vivre

Philosophie : Qu’est-ce qui nous fait vivre ? Vivre est un mot très commun que nous allons tacher de définir. Tout d’abord, ce sujet nous amène à réfléchir sur la vie, essayons de définir cette notion. La vie est l’ensemble des phénomènes caractérisés par une organisation stable de la matière, la capacité de déterminer ses propres formes de développement, de s’adapter au milieu ambiant et celle de se reproduire avec transmission du matériel génétique. C’est aussi un processus naturel dépourvu

donner suite à la lecture des poèmes, on remarque que dans Cage d’oiseau de Saint-Denys Garneau et Ô tourments d’Alain Grandbois utilisent le même thème de la fatalité, c’est-à-dire qu’ils associent la fatalité au mal de vivre. D’abord, dans Cage d’oiseau, l’auteur expose le mal de vivre par la perte d’espoir. Il s’accroche à l’idée que son destin était la mort et que cela arrivait à grand bas « Il ne pourra s’en aller/ Qu’après avoir tout mangé/ Mon cœur/ La source du sang/ Avec la vie dedans […] » (l

notre fin ». C’est pourquoi, comme « le seul avenir est notre fin », « nous ne vivons jamais, mais nous espérons de vivre ». C’est là la conséquence de notre comportement face au temps. De plus, pendant que notre esprit tend vers le futur, nous tendons aussi au bonheur, ce qui selon Pascal est impossible vu que nous ne vivons pas dans le présent. Il semble que Pascal ait voulu dire par là que nous ne pouvons être heureux que dans le présent, mais comme nous semblons incapables de vivre dans le temps présent

détruit, tue, fait vivre, fait espérer, mais ce n'est qu'un sentiment. Alors pourquoi sommes nous si attachés à cette personne qui nous est chère ? Car nous ne pouvons nous passer de la regarder ? De lui parler ? De l'entendre ? De la voir sourire ? De la voir vivre devant nos yeux ébahis ? Et de penser à elle... Mais pourquoi cette personne et non une autre ? Car elle est différente des autres ? C'est tout ? Mais pourtant, lorsque cette personne n'est plus aussi chère à nos yeux, pourquoi ne l'aime-t-on

étudiant dans tous ses états ! Interview avec Malvina Pelvay. 1- Introduction : Et vous, vivez-vous encore chez vos parents ? Si oui, pourquoi ? Si non pourquoi pas ? Non, depuis mon quinzième j’habite seul. Parce que j’avais beaucoup de problèmes avec mon père et je préférais de vivre seul. 2- Pourquoi en général les étudiants ne veulent-ils plus vivre chez leurs parents ? Parce que ils peuvent être indépendant et être pas loin d’université. 3- Quels changement dans les études pousse

et il est surtout en quête de sécurité de l’existence. Il cherche, tout compte fait, davantage à survivre qu’à vivre. Or survivre, c’est exister sans vivre… et c’est déjà mourir. Frédéric Lenoir, L’oracle della Luna, 2006 Dans notre société, l’homme aime se sentir en sécurité, c’est un sentiment agréable, qui embaume notre esprit et qui réconforte notre cœur. Alors pourquoi essayer de s’en détacher ? C’est tellement plus facile de s’y accrocher que d’essayer de s’en éloigner. Elle est

fiancée, quand elle lui annonce qu'elle ne l'épousera pas.                            [lire la scène d'Anouilh entre Antigone et Hémon]     Vous imaginerez une scène entre Antigone et Hémon, au cours de laquelle ce dernier essaie de la convaincre de vivre et s'efforce d'obtenir ainsi, au nom de leur amour, ce que Créon n'a pas obtenu.    Hémon, Antigone, puis un garde. Hémon. - Quelle est donc, Antigone, cette fièvre qui t'anime ? Polynice est mort et tu n'y peux rien changer. A présent, la mort

Que pensez vous de l'affirmation : « primum vivere deinde philosophari » Il faut vivre d'abord et philosophé ensuite. C'est une thématique qui existe depuis l'antiquité : faut-il philosopher avant la vie, dans sa jeunesse, la réflexion philosophique préparant à la vie future ou après la vie, "à la retraite", pour devenir un vieux sage et donner un sens à ce que l'on a vécu ? Philosopher, c'est rechercher la sagesse dans cette problématique, plus largement, philosopher, c'est pratiquer la philosophie

fait interroger par rapport au meurtre qu’il a commis, il ne cherche aucunement à défendre sa cause. Il ne se justifie pas. Il répond seulement par de très courtes phrases ou il ne répond tout simplement rien. Lorsque le juge lui demande : «pourquoi, pourquoi avez-vous tiré sur un corps à terre? » Meursault se contente tout simplement de ne pas répondre. Cela n’a aucun sens, lorsque tu es devant le juge, tu devrais vouloir te défendre en expliquant le plus possible tes points. Mais pour lui, cela

premier livre des « Essais », un chapitre entier y est consacré au caractère mortel de la vie, le titre même de ce chapitre est éloquent : « Que philosopher, c’est apprendre à mourir » c’est-à-dire qui apprendrait aux hommes à mourir leur apprendrait à vivre, il dit même « Il n’y a rien de mal en la vie pour celui qui a bien compris que la privation de la vie n’est pas un mal ». Comme nous venons de le démontrer les avis de chaque philosophe sur la mort mais aussi sur la religion divergent. Dans