Pourquoi Voulons Nous Savoir Philosophie

LA PHILOSOPHIE PEUT-ELLE S’ACCORDER AVEC LA RELIGION ? Philosophie et religion se présentent comme deux entreprises humaines orientées vers les mêmes objets, la même fin, répondant toutes deux à un même souci. Nous pouvons en effet déceler dans ces deux phénomènes humains la quête d’un sens, d’une vérité éternelle et absolue permettant de définir l’essence et le sens de tout ce qui existe; de comprendre la nature profonde de l’être dans son universalité. Ceci dit, philosophie et religion n’empruntent

Savater, F. (1994). Ethique à l'usage de mon fils. Paris: Seuil. Une recension de Serge Larrivée et François Lamy Un vent de fraîcheur vient de souffler dans le monde poussiéreux de la morale. Fernando Savater est une figure clé de la philosophie en Espagne. Ethique à l'usage de mon fils, son premier essai traduit en français, est un livre pédagogiquement bien construit. Tout concourt à remplir ce pour quoi et pour qui il a été écrit: le format du livre, sa structure, le ton et bien sûr

La liberté Si nous voulons proposer de la liberté une définition suffisamment large pour qu’elle s’applique à toutes les formes de liberté, nous ne pouvons adopter que cette définition : la liberté est l’absence de contraintes. On parlera dès lors de libertés au pluriel car il y a sans doute autant de libertés que de contraintes dont on s’affranchit. Tout ceci nous amène à différents problèmes : de quelle servitude l’homme souffre-t-il ? Toute autorité est-elle nécessairement aliénante ?

techniques et par les industries culturelles mondiales que nous ne voyons en elles que des marchés potentiels sans supposer, hélas, les risques de paix et de guerre qu’elles recèlent. Pourtant, nous n’aurons de développement durable qu’à la condition de savoir gérer ces relations de plus en plus complexes entre l’information, la culture et la communication au niveau mondial. Je le répète : la fin des distances physiques révèle l’étendue des distances culturelles. Ou bien nous organisons une cohabitation

Cette suspension de l'assentiment, précepte central de la philosophie sceptique, se nomme épochê. Il est évidemment possible de contester cet argument sceptique en l'appliquant à lui-même : dans la mesure où nous n'avons connaissance des opinions des autres que par le biais des perceptions (c'est par l'ouïe que nous prenons connaissance de leurs paroles), et dans la mesure où nos perceptions sont douteuses, alors on ne voit pas du tout pourquoi on se fierait à nos perceptions lorsqu'elles nous informent

Pourquoi avons-nous besoin de philosopher et ne pouvons-nous simplement nous contenter d’observer le monde et d’agir ? mercredi 5 décembre 2012, par Robert Paris Pourquoi avons-nous besoin de philosopher et ne pouvons-nous simplement nous contenter d’observer le monde et d’agir ? Bien des gens sont gênés à l’idée de devoir philosopher. Ils ont l’impression qu’on leur demande d’adhérer à une religion avec des préceptes arbitraires indiscutables, injustifiables, venus de l’extérieur de leur expérience

moment de la réflexion, répond à une certaine situation de la philosophie et peut-être même de la culture moderne qu'il faut essayer de comprendre. Je dirai d'abord que ce recours à l'archaïque, au nocturne et à l'onirique, qui est aussi, comme le dit M. Bachelard dans la Poétique de l'espace, un accès au point de naissance du langage, représente une tentative pour échapper aux difficultés du problème du point de départ en philosophie. On sait l'harassante fuite en arrière de la pensée en quête de

quelque chose qui lui manque, et ne peut chercher rien de plus pour rendre cet état plus complet. En effet, c'est quand nous souffrons que nous avons besoin du plaisir; mais quand nous ne souffrons pas, nous n'avons plus besoin du plaisir.// C'est pourquoi nous disons que le plaisir est le principe et la fin de la vie bienheureuse. (129)En effet le plaisir est le bien premier et naturel, c'est en lui que nous trouvons le principe de tout choix et de tout refus; et c'est à lui que nous aboutissons,

du problème posé par la notion de bonheur en philosophie peut être résumé comme suit : si d’un côté, tous les êtres humains semblent rechercher le bonheur à tout prix, de l’autre, le concept de bonheur est si indéterminé que personne ne saurait dire exactement en quoi il peut bien consister. C’est de cette tension simple entre l’importance accordée au bonheur et son indétermination que dérive la plupart des questions auxquelles la philosophie va s’intéresser : le bonheur n’est-il qu’une

"conscience". Tu en déduiras alors facilement les "contraintes". Je te conseille une troisième partie qui dépassera cette opposition "liberté/contrainte": 1. comment la liberté naît de la conscience (le mouvement réflexif est source de liberté) 2. pourquoi l'homme préfère parfois l'inconscience (devant la responsabilité, les conflits entre lui et le monde) 3. en quoi la conscience est l'idéal de l'humanisme Travail dirigé PLAN - INTRODUCTION «