Pouvoir Obéir En Liberté

l'etat -savoir le monde qu'on est car c'est fondamental pour un juriste, c'estt fondamental car un system juridique y a-t-il un logique dans cet system ? INTRODUCTION /L'ETAT A la bas du systeme il y avait un pouvoir juridiquece crée et de ce pouvoir de crée est monopolieé par les état. QU'EST-CE QUE L'ETAT ? a) l'etat souveraine : cette organisation qui a la souverainté, qui na personna au dessous d'elle qui peut tous organiser a la quelle aucune règle ne peut imposer.

présentatifs « il y a », « c’est » => pose des affirmations, fait un constat. Jugement objectif & universel. B. Un discours très catégorique : - auteur = locuteur qui prend position. - Emploi de thermes génériques « autorité », « liberté » => impression de donner des définitions. - Utilisation de thermes de vérité générale & hyperboliques => affirmations catégoriques. C. Structure travaillée pour mieux convaincre : - Volonté d’expliquer, d’argumenter => connecteurs

être esclave de soi même ? » Les hommes sont naturellement libres de penser et d'agir selon leurs envies et leurs besoins. Il leur arrive parfois de ne pas pouvoir se contrôler et de réagir en suivant leur instinct ou leurs sentiments, de parfois avoir des pensées qui n'ont pas lieu d'être. Les pensées sont souvent symboles de liberté, car personne ne peut contrôler celles d'une autre personne. Même les esclaves noirs pouvaient penser ce qu'ils voulaient, seuls leurs faits et gestes étaient contrôlés

faut obéir aux garants de la justice pour autant qu’ils exercent correctement leur art. Ici s’opère le glissement entre éthique et politique, et l’idée que l’homme ne peut s’accomplir hors de la Cité. « Ainsi donc, » dit Socrate, «  aucun chef, quelle que soit la nature de son autorité, dans la mesure où il est chef, ne se propose et n’ordonne son propre avantage, mais celui du sujet qu’il gouverne et pour qui il exerce son art. » Mais la question n’est pas tant de savoir si l’homme doit obéir à la

exercer son pouvoir. La question est de savoir à qui il est naturellement juste que ce pouvoir revienne. La justice par nature a changé de teneur chz les Modernes. Elle renvoie à des exigences de la nature humaine. La nature de l'ëtre inspirait des conditions sans la prise en compte desquelles les sujets d'un pouvoir ne seraient plus des hommes ms des animaux. C'est ds le Contrat social q ses transformations vont etre mises en évidence. Il redéfinit le meilleur régime. Régime où le pouvoir procède

sujet: à quoi devons-nous obéir? Obéir signifie se soumettre à un ordre qui par là même s'impose, rendre sa volonté adéquate, la conformer à ce à quoi elle obéit ainsi. Mais l'ordre en question peut être de nature multiple: il peut s'agir d'une règle ou d'une loi, de la volonté de quelqu'un d'autre, ou encore d'une nécessité naturelle. Ce faisant, l'obéissance, dans sa possibilité même, paraît impliquer deux choses. D'une part une « plasticité » de la volonté, qui pourrait, dans une certaine

"L'expression perdre sa liberté a t-elle un sens?" Sujet contemporain. A été donné dans le secondaire. Commence par le problème clairement énoncé. Contradiction performative -> ce que je dis c'est le contraire de ce que j'accomplis en le disant. Contradiction logique, dans les termes même du sujet. Est-ce que l'homme peut-il perdre sa puissance de vouloir? accroche problème problématique Partir de l'opinion et des sens qu'elle peut avoir Si la liberté apparaît dans nos sociétés

Suis-je l’auteur de mes pensées ?

INCONSCIENT, LIBERTE, AUTRUI, LANGAGE, CONSCIENT 
 « Je pense donc je suis » du latin Cogito ergo sum est une formule latine forgée par le philosophe René Descartes. Cette recherche l'amène à l’idée que seule sa propre existence, en tant que « chose qui pense », est certaine au départ. C'est cette découverte qu'exprime le « cogito ». Notre expérience de la conscience semble immédiate : j’ai conscience d’agir, j’ai conscience de vouloir, j’ai conscience de connaître

Nous nous demanderons donc si l'autorité quand elle est extérieure aux individus est illégitime d'exercer son pouvoir (sur les individus) ou si au contraire les institutions peuvent représenter une forme d'autorité extérieure légitime. Dans un premier moment nous développerons l'idée selon laquelle l'autorité extérieure aux individus est illégitime d'exercer son pouvoir sur eux. Nous démontrerons dans un second temps que dans certains cas l'autorité extérieure aux individus peut-être légitime

Pourquoi les hommes acceptent-ils de servir ? "Quel est ce vice, ce vice horrible de voir un monde infini d'hommes non seulement obéir mais servir, non pas être gouvernés mais être tyranisés? [...] de les voir souffrir [...] non d'une armée mais d'un seul?". Cette citation résume parfaitement la question centrale de l'oeuvre de La Boétie qui se pose la question de savoir pourquoi les hommes acceptent de servir et d'être tyranisés par un seul homme. La boétie amorce une première approche importante