Pouvons Nous Satisfaire Tous Nos Desirs

nous expliquerons ce qu’est le bonheur, l’illusion et pourquoi nous pouvons dire qu’il est illusion, puis dans un second temps, nous verrons ce qui fait que le bonheur est réel. Tout d’abord, le terme bonheur a une origine latine, « augurium » qui signifie « chance », « augure ». Ainsi, le bonheur, tout comme la chance, est un hasard, une chose à laquelle on ne s’attend pas. Le bonheur est une aspiration que tous recherchent, et qu’on ne peut maitriser. De plus, Epicure associe le

heureux nécessite que je parvienne à combler tous mes désirs pour n’éprouver aucun manque, à tenir éloigner de moi toute souffrance et tout souci. Or, un tel objectif n’est-il pas une chimère irréalisable ? En effet, est-il possible pour un être humain de combler parfaitement tous ses désirs et de ne connaître aucun souci ? Lorsque nous parvenons à combler un manque, un autre ne surgit-il pas immédiatement ? Et quand bien même je parviendrai à me satisfaire pleinement, comment m’assurer que je ne subirai

taraudé par un désir que je ne peux satisfaire, je ne me trouve pas dans cet état de plénitude que doit être le bonheur : il faudrait donc satisfaire tous ses désirs pour être heureux. [Obj] Pourtant, certains désirs ne peuvent pas être satisfaits : le désir d’être immortel, ou de revenir dans le passé, est impossible à satisfaire. Chercher à le satisfaire tout de même, n’est-ce pas me condamner à la frustration, à l’échec ? Par ailleurs, la satisfaction de tous mes désirs ne risque-t-elle pas de m’exposer

Sujet : Faut-il faire confiance aux désirs ? Le désir est d'abord la prise de conscience d'un manque dont la satisfaction procure du plaisir. Nous éprouvons sans cesse des désirs : qu'il vise un objet déterminé telle une voiture ou un état diffus général comme le bonheur. nous pouvons donc nous interroger sur la manière dont on doit les aborder. Faut-il avoir confiance en nos désirs ? Dans quelles mesures ? Premièrement, le désir apparaît comme l'expression de liberté humaine. En effet, un individu

manière, nous éprouverons alors de l’impatience, signe de l’insatisfaction de notre désir.  « Nous ne pouvons que désirer que ce dont nous sommes privés ou ce dont on craint d’être privés dans l’avenir » écrit Platon dans le Banquet. Cette phrase souligne bien le lien étroit qu’entretiennent désir et imaginaire. Nous pouvons donc affirmer sans trop nous tromper que l’imaginaire excite fortement nos désirs et en est même la cause. Mais l’imaginaire est abstrait, il s’agit d’une représentation que nous

faut-il faire de nos désirs ? Le désir est à la foi un sentiment contrôlable mais également incontrôlable pour les êtres humains. C’est pourquoi on peut donc se demander : « Que faut-il faire de nos désirs ? ». Pour tenter une approche à ce problème, on va tout d’abord voir comment l’on peut satisfaire nos désirs. Dans un second temps, nous verrons comment l’on peut y renoncer. Nous terminerons enfin sur la manière dont on peut les maitriser. On peut distinguer deux désirs, celui qui peut être

lui-même ? Le désir fait-il la misère ou la puissance de l'homme ? Dans un premier temps nous verrons que le désir est essentiel à l'homme, d'ailleurs pour Spinoza il fait partie de l'essence humaine. Autrement dit cette caractéristique est commune à tous les hommes. En effet quelle que soit notre culture ou notre personnalité nous éprouvons sans cesse du désir. Ainsi Spinoza distingue en distingue deux sortes : les actifs et les passifs. Dans ces derniers, ce que je désire ne dépend pas de la nécessité

convergence et les points de divergence qui pourraient unir ou séparer les deux notions essentielles : volonté et désir. Une simple comparaison ne permettrait pas d’atteindre le cœur du sujet. • Dans la conclusion - Oublier de vérifier que tous les arguments qui figurent dans la conclusion ont bien été développés : oublier de récapituler le cheminement logique du devoir. - Ne pas répondre de façon claire, précise et personnelle à la question posée. Les pistes à suivre - Définir les

dans ses désirs ? N’importe quelle forme d’Art renvoie à l’âme de son créateur. La passion qu’il a mise dans son chef d’œuvre reflète son désir de perfection. Depuis tout temps l’espèce humaine a eu besoin d’un but, elle est à la recherche de plaisirs et de bien être, ce sont ses désirs. Les désirs quels qu’ils soient apportent la connaissance de soi, certains sont bons et d’autres très mauvais car trompeurs et insatiables. L’Homme se reconnait-il dans ses désirs ? Est-ce que les désirs, reflètent

animal, primitif. La morale imposerait donc aux désirs une valeur relative, selon s'ils sont bons ou non pour l'Homme. Mais le désir par son caractère infinit est source de création, de progrés et pas seulement de contraintes. Produire ce qui manque au lieu de simplement chercher à l'acquérir, rend le désir vital à l'évolution. Le désir accable les Hommes par le vide, le manque incessant qui tend à être comblé ; la nostalgie des étoiles. Mais satisfaire un désir conduit à en créer un autre, car