Poésie Esthétique

l'anglais « romantic » → (1er sens) romanesque . A l'origine du mvt *siècle roman (rejet : registre esthétique) vs. Siècle lum. (rejet politiq. Et morale) als qu'il y a même refus *influence 18ème (artistes) sur artistes 19ème 1. Volonté de rupture → 18ème s. = médiocre qualité poèsie (impersonnelle + ennuyeuse) → 1 seul qui a fait qlq chose qui se rapproche du rom : Rousseault

éxiste déjà mais invente lui-même des œuvres qui seront susceptibles d’etre immiter , le génie crée a partir de rien , en ce sens il apparait comme le rival de Dieu , c’est un démurge. Le but de l’art c’est de produire le beau , l’art a une vocation esthétique , c’est le sens de l’expression , les beaux arts. L’art est aussi expression de soit , c'est-à-dire expresssion de l’interiorité de l’artiste , l’œuvre d’art apparait comme un miroir dans lequel l’artiste peut se reconnaitre dans l’œuvre et a la

publia, conformément aux exigences de l’esthétisme le plus pur, un volume de poésie, il ne négligea pas des activités moins considérées des cercles littéraires mais plus lucratives : il se fit le porte-parole de la nouvelle « Renaissance anglaise dans les arts » dans une série de conférences aux États-Unis et au Canada, puis exerça une prolifique activité de journaliste. Au tournant des années 1890, il précisa sa théorie esthétique dans une série de dialogues et d’essais, et explora dans son roman, Le

récepteurs c'est-à-dire son public. Le moyen est donc l’œuvre d’art qui reste donc singulière tout en prenant différentes forme : images, peintures, photographie, gravure, cinéma, poésie, musique, sculpture…. Mais à quoi sert réellement une œuvre d’art ? Quelle est donc sa finalité ? Est-elle un simple moyen d’expression esthétique pour nos sens? A-t-elle au contraire un rôle intellectuel majeur animant ainsi la réflexion philosophique ? L’art servirait à produire du Beau ; l’œuvre d’art est une création

capacité à transformer la laideur en beauté et à sublimer ainsi la réalité. La beauté est une notion difficile à appréhender puisque sa définition même fait l’objet de débats entre les auteurs. Dans son sens commun, la beauté désigne le plaisir esthétique produit chez un individu par ce qui lui plaît. Ainsi, telle musique ou tel paysage peut être considéré comme étant beau. De même, la beauté peut qualifier une action. C’est ainsi qu’il est possible de parler de « beauté du geste ». La beauté

saCritique de la faculté de juger, la beauté est essentielle à l'expérience esthétique ou aux caractères esthétiques d'un objet, mais non à proprement parler à l'oeuvre d'art ; Kant estime même que la beauté serait à la rigueur seulement prédicable de la nature, en tant notamment que quand nous jugeons belle la nature, ce jugement est spontané et n'est médié par aucun intérêt, alors que vis-à-vis des oeuvres d'art, notre jugement esthétique estimant leur beauté est toujours douteux, médié par la culture et

connaissance que possède l'être humain. -L'école de la Pléiade : désireuse d'exploiter toutes les ressources de la langue française, elle développe une poésie fondée sur l’imitation des modèles antiques. -Le classicisme : il recherche l'équilibre et la mesure dans la représentation de l'être humain ; il se préoccupe de définir son idéal esthétique à travers des règles d'écritures appliquées notamment dans le genre de la tragédie . -Le baroque: il cherche à renouveler la vision de la réalité

esthétique 1 PRÉSENTATION esthétique (du grec  aisthesis, « sensation »), branche de la philosophie qui a pour objet l’étude du beau, son essence et sa perception. 2 DÉFINITION ET ENJEUX L’esthétique porte également sur la question de savoir si le beau est objectivement présent dans les choses ou s’il est une qualité que l’esprit attribue aux objets ; aussi cherche-t-elle à définir les processus qui président à la perception des œuvres d’art, et s’interroge également sur la différence

conformément aux exigences de l’esthétisme le plus pur, un volume de poésie, il ne néglige pas des activités moins considérées des cercles littéraires, mais plus lucratives : il se fait le porte-parole de la nouvelle « Renaissance anglaise dans les arts » dans une série de conférences aux États-Unis et au Canada, puis exerce une prolifique activité de journaliste. Au tournant des années 1890, il précise sa théorie esthétique dans une série de dialogues et d’essais, et explore dans son roman Le Portrait

marquer la rupture entre le règne de l’ancien académisme et la naissance de la peinture moderne, ainsi, Baudelaire essai de définir dans son texte les principes de la nouvelle esthétique. A cet égard, il choisit un dessinateur et aquarelliste de la vie parisienne, Constantin Guys, pour cristalliser une nouvelle esthétique, une beauté du « transitoire » qui avait déjà été affirmé dans le Salon de 1846. Cependant, celui-ci ne sera jamais nommé dans son essai, autrement que par les initiales M.G., en