Poésie Esthétique

c’est ce à quoi ça prétend : dimension ethnique, esthétique * Nous traiterons principalement des arts plastiques laissant de côté les arts du langage et du son Restriction du domaine : On traitera principalement des art plastiques = > les beaux-arts (le dessin, l’architecture, peinture etc…) et aller vers leurs « disciplines associées » (Gravure, l’ensembles des arts décoratifs) On laisse de côté les arts du langage : Littérature, Poésie, théâtre, son… * Il ne s’agit plus de faire

juger un homme par un autre homme car Qui vous en a donné le droit ? Il faut se borner à décrire vos réactions. Il ne faut parler ni de l’auteur, ni de son ouvrage mais bien de vous-même confronté à l’ouvrage et à l’auteur. C’est donc une critique esthétique où le lecteur goute et transmet le plaisir du texte, on parle de critique hédoniste. Roland Barthes, Le plaisir du texte 1973, il procède à une distinction, distingue la notion de plaisir du texte, c’est une notion qui permet selon cet auteur d’affirmer

compose le Prélude… en 1891. Il passe ses derniers étés à Valvins (Fontainebleau) 1887 : Poésies (revu en 1898) 1893 : Vers et prose (florilège) 1897 : Divagation 1897 : Un coup de dé jamais n’abolira le hasard 1920 : Vers de circonstance 1925 : Igitur Introduction Personnage d’une grande discrétion, dont la vie n’a rien eu d’aventureux, Mallarmé n’en est pas moins un écrivain qui a su mener sa recherche esthétique jusqu’au vertige d’un inaccessible absolu. Chef de file du mouvement symboliste, son

dépeints comme tueurs, responsables de la jeune de la mort mariée. Dans ce contexte, on peut synonyme égaliser l'art avec la mort, tandis que le rapport entre l'art et la vie est par conséquent considéré comme rivalité. Il prend la théorie de Poe que poésie car l'art est la création rhythmique de la beauté, et que la matière la plus poétique au monde est la mort d'une belle femme (voyez « La philosophie de composition"). « Le portrait ovale » suggère que la beauté de la femme la condamne à la mort.[1]

cannée. Picasso romps ainsi définitivement avec l’idée de la peinture « trompe l’œil » qui tente de représenter avec plus ou moins de réalisme, la réalité, et fait directement rentré cette réalité dans le tableau, qui devient du coup un élément esthétique et symbolique. Rappelons quand même, que quelques temps avant lui, il y eu une autre tentative, assez anecdotique, celle d’Edgar Degas, qui en 1880, rajoute un véritable morceau de tulle sur sa petite danseuse de bronze. La seconde œuvre de Picasso

UNIVERSITÉ DE PARIS I PANTHÉON-SORBONNE UFR Arts plastiques et sciences de l’art LICENCE D’ARTS PLASTIQUES Première année Premier semestre ESTHÉTIQUE DOCUMENTS POUR LES TRAVAUX DIRIGÉS 2010-2011 Rédaction : Olivier Schefer Remerciements à Agnès Lontrade, Gilles A. Tiberghien, Michel Makarius. Maquette : François Aubral Impression : Service reproduction Paris I Sommaire Thèmes : l’esthétique et la critique L’ESTHÉTIQUE……………………………………………………….…………………

de la création et parvient à manifester dans le domaine vivant de la sensibilité la dimension spirituelle de l’humain La puissance d’expression d’une œuvre d’art est essentiellement esthétique. (Texte) L’art se caractérise par la recherche de la production d’une valeur esthétique. Il est estimé pour sa valeur esthétique. L’art nous procure des œuvres dont la seule justification est d’abord le plaisir que l’on à les voir, à les écouter, à les lire. L’utilité de l’objet n’est pas son premier motif. C’est

restrictif (depuis le 18ème siècle) : les arts, au sens de beaux-arts,  signifient des activités ayant pour objet propre le beau, l’expression, l’émotion, l’absence d’utilité pratique, la production désintéressée, visant à l’expression d’un idéal esthétique, d’un idéal de vérité, de connaissance ou de re-connaissance. En ce sens, si les arts (la peinture, la sculpture, la danse, etc.) exigent une technique, un savoir-faire, les œuvres créées ne recherchent pas l’utilité mais la beauté. On peut donc

L’homme a-t-il besoin de l’art ? A quoi sert la poésie ? Malherbe disait des poètes qu’ils n’étaient pas plus utiles au pays qu’un joueur de quilles et Platon raconte que Socrate, dans le cachot où il attendait la mort, jouait de la flûte. Un disciple s’en étonnait : « Pourquoi, Socrate, joues-tu de la flûte avant de mourir ? » Le vieux sage lui répondit : « je joues de la flûte avant de mourir pour jouer de la flûte avant de mourir.» L’interrogation porte ici sur la place de l’art : répondre

dans le détail, dans le tout dans la réalité dépeinte dans de telles œuvres. Balzac a condamné le romantisme sans même en écrire le mot ; mais il admet qu'il est difficile de faire concurrence avec ces œuvres qui ont conçues « l'importance et la poésie de cette histoire du cœur humain » et qui plaît par conséquent au plus grand nombre. Paradoxalement, ce sont les défauts même de ces clichés soulignés par Balzac qui font leurs succès qui eux même empêchent les autres idéologies littéraires, (dont