Pratiques Communes Et Spécificités Des Régimes Totalitaires

sont imputables à la vie politique, c’est-à-dire l’Etat) - Politisc : processus (liés à l’exercice du pouvoir dans une société donnée.) Le pouvoir politique se donne comme objectif de réguler la société, et pour se faire, de réguler des normes communes. Les différents acteurs du politique : On a d’abord l’Etat et les instances collectives de régulation et de codification des relations sociales Les hommes et les femmes politiques mais aussi les partis politiques Les comportements politiques

souveraine. La Nation étant une entité collective indivisible d’hommes ayant des objectifs communs : religion, race, langue, mode de vie… Alors on constate que selon les aspirations de ces groupements apparaissent différentes formes d’Etats. On connaît bien évidemment l’Etat légale (IIIème et Ivème République etc.) où le pouvoir exécutif est soumis à loi votée par le parlement. On connaît encore l’Etat de police régime dans lequel l’exécutif peut prendre toute décision si cette dernière vise le maintien

de l’État ? Il ne faut pas confondre le concept d’« État » avec n’importe quelle forme de communauté politique, et encore moins avec n’importe quelle forme de société. Il faut donc, pour traiter ce sujet, décrire et problématiser les spécificités de l’État, régime politique moderne, notamment par rapport aux formes de communautés traditionnelles et à la cité antique. Il faut s’interroger avec précision sur le terme de « fondement » : quelle différence y a-t-il avec la notion d’« origine » ? L’origine

développe l’idée de pluralité de droits, les différents droits constit des Etats européens, l’idée est celle des spécificités constit nationales. L’objet est limité et l’intérêt de cette étude est de réfléchir sur les lignes de force et de rupture qui existent dans ces droits constit européens et nationaux. Ces droits constit européens sont-ils opposés les uns aux autres ? Ou des points en commun qui justifient la création de l’UE ? Existe-t-il un droit territorial européen ? C-a-d des grands principes

Séquence 8 Les totalitarismes Sommaire Introduction 1. La Genèse des totalitarismes 2. Les totalitarismes : points communs et spécificités 3. La fin des totalitarismes Séquence 8 – HG11 1 © Cned - Académie en ligne I ntroduction L e XXe siècle est, selon l’historien britannique Eric Hobsbawn le « Siècle des extrêmes » : c’est indéniablement le siècle des totalitarismes. En effet, les totalitarismes sont tous nés au XXe siècle, et plus précisément après la Première Guerre

propriétaires. Aussi, le patrimoine des gouvernants diffèrent de celui de l’Etat. L’Etat est donc une personne morale de droit public, une entité abstraite qui repose sur un régime exorbitant du droit commun (qui déroge au droit commun en raison de sa qualité de personne publique). Les collectivités locales (régions, départements, communes) et les établissements publics constituent également des personnes morales de droit public. La notion de personne morale est une fiction construite par les hommes en raison

infiniment ouverte d’une œuvre en la faisant (re)vivre, la distance critique face au présent, la connaissance du présent, de ses enjeux politiques, théoriques. En d’autres termes, ce qui est en jeu est le maintien, l’enrichissement des liens théorie-pratique et recherche-citoyenneté. Pour Arendt les sans-Etat sont « hors-la-loi ». Ils ne sont pourtant pas coupables d’avoir transgressé la loi5. Ils sont mis hors la loi, privés de place, d’appartenance, de protection politique. Arendt voyait dans ce phénomène

de Kerchove, Le droit sans peine, 1987. 15 : Du droit pénal aux pratiques de politique criminelle Les catégories pénales ont perdu une grande partie de leur spécificité + recomposition en un champ nouveau avec de nouvelles catégories esquissées par le développement d’un véritable « droit des droits de l’homme » 16 : Perte de spécificité des catégories pénales. Eclatement des catégories pénales, affaiblissement de la spécificité pénale. Parcellisation (versnippering) du droit pénal. Responsabilité

effectivement/appliqué/en vigueur). Il existe au-dessus, d’autres principes juridiques, de droit naturel : ils sont immuables. Ces doctrines ont pour effet de subordonner le droit positif, et permettent ainsi un contrôle de ce dernier (ex : régime totalitaire). Cela pose un tout de même un problème : que contient le droit naturel ? Les réponses sont diverses mais la plus évidente reste la morale. 2) Evolution de ces doctrines : droit naturel classique et droit naturel moderne a) Les doctrines

l’armée et le pouvoir semble effective, en réalité elle est superficielle : l’armée reprochera toujours au nouveau régime d’avoir ratifié le « Diktat de Versailles ». Une assemblée constituante, élue en janvier 1919 se réunit à Weimar que l’on pense plus calme que Berlin. En juillet 19, la Constitution de la République de Weimar est adoptée. Tous les opposants reconnaîtront au régime une tache originelle impardonnable : être né de la défaite. L’Allemagne devient une république fédérale et parlementaire