Praxitèle

L’Aphrodite de Cnide d’après Praxitèle/ La Vénus du Belvédère Commentaire d’une sculpture En quoi la cette sculpture de Prax témoigne et atteste de la concrétisation des recherches des sculpteurs de la fin du Vème siècle ? Et en quoi consiste-t-elle un tournant dans l’histoire de la sculpture féminine sacrée et la sculpture féminine idéalisée ? I- Bio orientée : Sculpteur légendaire ??? 400/330 av Sources : Pausanias, Pline et Lucien de Samostase. D’après sources Céphisodote son père :

Renaissance : Période de renouveau littéraires, artistiques et scientifique qui prit place en Europe => Origine de la renaissance italienne : une pré-renaissance. Elle gagna l'europe au 16e siecle. La renaissance est aussi des reformes religieuses. Praxitèle : 400 avnt J-C/ 326 avnt J-C. A l'Antiquité, l'un des plus célèbre sculpteur grec. Période d'activité : 375 avnt J-C / 335 avnt J-C. Spécialité : Sculpture nue féminine. André Vésale : 1514/1564. Anatomiste espagnol, il fut aussi médecin à Bruxelle

quelquefois trompette ; Érato : couronne de myrte et de rose, tambourin, lyre, viole, cygne ; Trois muses sur un bas-relief de Mantinée Euterpe : flûte simple ou double et un autre instrument de musique (trompette) ; attribué à l'atelier de Praxitèle, IVe siècle Melpomène : cor, couronne de pampre de vigne, épée, masque av. J.-C. tragique, sceptre à ses pieds ; Polymnie : couronne de perles, instrument de musique (souvent un orgue) ; Terpsichore : couronne de guirlande, instrument de musique

gauche de l'enfant n'ont pas été retrouvés. Cette statue s'accorde avec le témoignage de Pausanias qui dans sa Description de la Grèce, mentionne «une statue d'Hermès en marbre, portant Dionysos enfant, due à l'art de Praxitèle». Enraison de cette description, l'œuvre est attribuée à Praxitèle, même si des doutes subsistent encore.Hermès est représenté debout, nu. Il s'appuie nonchalamment sur un tronc d'arbre tout en maintenant de sa main gauche l'enfant Dionysos. La facture classique met en évidence

| A la fin du Ve siècle et au IVe siècle, une évolution s’amorce, avec des attitudes plus dynamiques, des draperies plus exubérantes qui collent à la peau ou tourbillonnent autour des corps. Ainsi Praxitèle, actif entre 360 et 330, préfère exprimer, plutôt que la majesté et la vigueur de l’homme adulte, la grâce de sveltes jeunes gens au déhanchement prononcé, comme dans son Ephèbe de Marathon, ou la délicate ou voluptueuse élégance de jeunes femmes

cloche du « type de Falaieff » Dionysos, musée du Louvre objet :Thyrse porté par Dionysos ou des satyres « situle » relief des nymphes, marbre, Athènes sculpteur Praxitèle du second classicisme 350-340 av JC enfant assis sur un rocher, terre cuite, moule fait en argile ou plâtre, on a très peut de moule la grande Herculanaise, Praxitèle, côtes de melon, la tholia, base de Mantinée, base de statue, traitement du costume Tanagréenne, en terre cuite, trace de polychromie, chiton et himation, bleu ,

pouvait disposer de droits civils par l’intermédiaire du père, fils, mari. Elle vivait dans un appartement au 1er étage = pièce réservée= GYNÉCÉE. OIKOS (partie matériel) -> économie, ménage. PHRYNÊ= femme célèbre qui posait pour le sculpteur PRAXITÈLE. L’ostracisme : c’était une procédure qui permettait à la 6ème pritanye d’exclure de la cité un citoyen pour 10 ans. Vote -> 6000 voix/ ≈30 000 citoyens. Exceptionnellement, un citoyen pouvait être frappé d’ATYMIE -> exclusion définitive.

S’il n’en est rien, ne réponds pas ; Dors sur mon coeur, fraîche et légère. Je connais trop bien cette main, Pleine de grâce et de caprice, Qui d’un brin de fil souple et fin A noué ton pâle calice. Cette main-là, petite fleur, Ni Phidias ni Praxitèle N’en auraient pu trouver la soeur Qu’en prenant Vénus pour modèle. Elle est blanche, elle est douce et belle, Franche, dit-on, et plus encor ; A qui saurait s’emparer d’elle Elle peut ouvrir un trésor. Mais elle est sage, elle est sévère ;

la nature qui tantôt protège et tantôt détruit l’homme. Les dieux et les déesses antiques sont bien morts, et les musées ne contiennent que leurs cadavres de marbre. Nos nymphes ressemblent plus à vos fées qu’à l’image que vous en faites d’après Praxitèle. Mais notre peuple croit à leurs pouvoirs ; elles existent comme la terre, l’eau et le dangereux soleil. En elles, la lumière de l’été se fait chair, et c’est pourquoi leur vue dispense le vertige et la stupeur. Elles ne sortent qu’à l’heure tragique

les grecs, qui eux aussi cherchaient à imiter la nature, ont mis au point des techniques, des règles permettant une représentation des plus vraisemblable de la réalité, telles que celle du canon comprenant sept tête dans son corps, observé par Praxitèle dans l’œuvre Discobole, qui sera le modèle de nombreux artistes durant des siècles après. Selon Aristote "la nature est parfaite, et l'artiste recherchera cette perfection naturelle". D'où l'invention par la suite de la perspective, des ombres portées