Praxitèle

Discobole, le « lanceur de disque », dont il ne reste que des copies, révèle une excellente connaissance de l’anatomie. Myron fait partie des grands sculpteurs de la Grèce antique aux côtés de Phidias connu pour sa statue de Zeus à Olympie, ou de Praxitèle célébré pour son Hermès et son Aphrodite de Cnide. Au 5e siècle, le grand sculpteur Phidias réalise les frises du Parthénon ainsi que les gigantesques statues plaquées d’or et d’ivoire ("chryséléphantines") de Zeus et d’Athéna, qui ont aujourd’hui

très précises, « la symetria « ( la nature n'est pas belle pour les Grecs, pas de lignes droites ), pour le corps humain, l'architecture, le théâtre... La beauté est mathématique, d'après un canon de beauté ( → dans l'antiquité de Polyclète er de Praxitèle ). L'art est centré sur l'oeuvre ( et pas sur l'artiste qui ne signe jamais ), on ne lui demande pas d'innové, mais de se plier aux règles, l'art est stable, conception objective de l'art. La beauté est une propriété de l'objet, indépendante de la

Mais, par la suite, ce fut la sensualité qui domina dans les effigies d'Aphrodite : on recourait d'ailleurs à des courtisanes pour servir de modèles, comme Cratine, Phryné ou Cambyse, la maîtresse d'Alexandre. Telles furent les Aphrodites nues de Praxitèle, qui effarouchèrent, dit-on, la piété des habitants de Cos. Celle que l'on honorait à Cnide était particulièrement voluptueuse. Le mythe d'Hésiode de la naissance d'Aphrodite inspira les différents types d'Aphrodites anadyomènes, ou sortant de l'eau

atteint son sommet. Les statues reproduisent les mouvements du corps et les représentations demeurent toujours aussi réalistes1. Trois sculpteurs s’illustrent particulièrement : Myron (milieu du 5e siècle av. J.-C.), Phidias (–490 à –431) et Praxitèle (milieu du 4e siècle av. J.-C.) Comme c’est le cas en peinture, le corps humain est aussi la principale source d’inspiration des sculpteurs grecs. Leurs œuvres sont de véritables études anatomiques du corps humain, souvent représenté nu et dont

est l’un des rares bronzes de Praxitèle. Elle nous est connue par de ses multiples copies en marbre à l’époque romaine. Elle reste très célèbre pour deux raisons : elle est accessible et son thème pittoresque la rend décorative. On estime cette œuvre vers -340. C’est une œuvre de maturité et signe, par son originalité, l’ensemble de la carrière de Praxitèle. Cette statue illustre Apollon prêt à tuer un lézard venimeux. Elle est caractéristique de l’œuvre de Praxitèle qui avait pour coutume de traiter

par] Nicolas Milovanovic. Paris, Réunion des musées nationaux ; [Versailles], Château de Versailles, 2005. 215 p. Salle F – Art – [708.4 VERS ch] Contient : Salon d’Apollon, p. 134-143 Voir : Botticelli ; Mantegna, Andrea ; Poussin, Nicolas ; Praxitèle Arcadie Gauguin, Cézanne, Matisse : visions of Arcadia / edited by Joseph J. Rishel. Philadelphia (Pa.), Philadelphia museum of art, 2012. viii, 243 p. Salle F – Art – [704.946 RISH g] Rearick, W.R. « From Arcady to the Barnyard ». Dans

Berlin. Et la Grèce, plus que jamais, fait du retour au pays de son patrimoine antique une priorité. Son refus de prêter au Louvre, sous prétexte de fragilité, une statue qui devait constituer un des fleurons d’une exposition consacrée au sculpteur Praxitèle, à partir du 23 mars, n’est-elle pas une manifestation de sa mauvaise humeur ? D’autres pays se montrent également offensifs. La Colombie, l’Equateur, le Pérou interviennent de plus en plus fréquemment dans les capitales occidentales, lors de ventes

n’ont plus de pudeur, Il cree une version d’une femme viergePlyne l’ancien: L’effet Pygmalion: Dibutades: Sentiment amoureux. Dans ce mythe il ya l’idee de deuil, tandis que Pygmalion porte sur l’amour des sculptures Paraphiliques. Aphrodite de praxitelle Dessins de nus: AcadémiesBouclier de Méduse: oppose de petrification de méduse L’effet méduse: capacité des sculteurs par son savoir faire d’animer l’inaniméLise Wajeman: L’amour de l’art.(Effet méduse)L’algamophiliePoisson: Citer des historiens

autonomie et naît à proprement parler en tant que production d’objets, comme le tableau ou la fresque, dont la seule fonction est de plaire aux sens. La beauté que l’art grec de la période classique cherche à atteindre répond à des critères objectifs. Praxitèle ou Phidias, pour ne citer qu’eux, cherchent en effet à reproduire dans leurs œuvres les belles formes de la nature. Or la beauté n’est pas, pour eux, un ressenti subjectif mais une propriété objective de la chose : est beau ce dont la forme, par

aisément que d'autres à la confusion entre beauté artistique et beauté naturelle. Les artistes dits classiques ont le plus souvent choisi de représenter dans leurs œuvres ce qui est déjà beau, c'est à dire sain et agréable dans la nature. Phidias, Praxitèle, et plus tard Vinci, Raphaël, Michel-Ange représentent des types supérieurs d'humanité, des athlètes ou des femmes superbes. La musique classique recherche la prédominance des consonances. Le héros cornélien plein de courage et de noblesse a une