Praxitèle

de faire de l'exercice physique régulier, des bains fréquents (à base d'huile d'olive, d'amande ou de sésame). On se lave les cheveux et les dents, on s'enduit le corps avec des onguents aromatiques. Aphrodite, dite Vénus d'Arles (D'Après Praxitèle, vers 360 av. J.-C.). Blonde ou rousse, le teint clair est préservé. Jusqu'au IIIème S. on ne se maquille pas ou peu à l'exception des sourcils qui doivent avoir la forme d'un arc unique et se toucher. Et puis au fil du temps les parfums

TOUTE DEFINITION. On peut critiquer la thèse kantienne du génie. Par exemple, une oeuvre se définit-elle nécessairement par son exemplarité, son originalité ? L'art grec est un art académique qui refuse l'originalité. Pourtant, le sculpteur grec Praxitèle nous laissa des statues admirables. Les grands artistes furent et sont des travailleurs acharnés, acharnés aussi à connaître les œuvres de leurs prédécesseurs et à se forger à la fois une culture artistique et la maîtrise de certaines techniques

la pose avec l'apparition d'un léger déhanchement qui creuse la taille et ainsi crée un mouvement qui donne une silhouette plus travaillée. Le corps dans la sculpture grecque occupe la première place. Il y a différents courants mais c'est chez Praxitèle que se développe en premier une sorte de sensualisme : la statue grecque va dévoiler le corps de la femme. A cette époque, le sujet le plus représenté (hormis les empereurs pour l'histoire latine) était essentiellement la mythologie. Ainsi Aphrodite

S’il n’en est rien, ne réponds pas ; Dors sur mon coeur, fraîche et légère. Je connais trop bien cette main, Pleine de grâce et de caprice, Qui d’un brin de fil souple et fin A noué ton pâle calice. Cette main-là, petite fleur, Ni Phidias ni Praxitèle N’en auraient pu trouver la soeur Qu’en prenant Vénus pour modèle. Les iris. Van Gogh  Les iris. Van Gogh  Elle est blanche, elle est douce et belle, Franche, dit-on, et plus encor ; A qui saurait s’emparer d’elle Elle peut ouvrir un trésor

premier siècle avant JC. De la statuaire grecque classique, l'artiste de la Renaissance a repris l'appui sur une seule jambe, le séduisant déhanchement de la déesse et son geste de pudeur. Elle correspond au "canon" que des artistes comme Polyclète et Praxitèle avaient élaboré dans leur recherche d'harmonie et d'un idéal esthétique. Ce canon veut, par exemple, que l'écart entre les deux mamelons soit égal à celui qui sépare les mamelons du nombril et le nombril de l'entre-jambes. D'innombrables nus furent

les Grecs, l’idéal de beauté est tout entier porté par la jeunesse. Les modèles choisis par les grands sculpteurs en témoignent à l’évidence : L’Aurige de Delphes (vie siècle av. J.-C.), Le Discobole, L’Apollon du Belvédère, les jeunes dieux de Praxitèle (ve siècle av. J.-C.) sont tout droit sortis des héros du stade, des champions des Jeux olympiques. De même, les déesses sont toujours des femmes jeunes et superbes, que l’on songe à la déesse guerrière Athéna ou à la Vénus de Cnide. Aux frontons

S’il n’en est rien, ne réponds pas ; Dors sur mon cœur, fraîche et légère. Je connais trop bien cette main, Pleine de grâce et de caprice, Qui d’un brin de fil souple et fin A noué ton pâle calice. Cette main-là, petite fleur, Ni Phidias ni Praxitèle N’en auraient pu trouver la sœur Qu’en prenant Vénus pour modèle. Elle est blanche, elle est douce et belle, Franche, dit-on, et plus encor ; A qui saurait s’emparer d’elle Elle peut ouvrir un trésor. Mais elle est sage, elle est sévère ; Quelque

n'en est rien, ne réponds pas ; Dors sur mon coeur, fraîche et légère. Je connais trop bien cette main, Pleine de grâce et de caprice, Qui d'un brin de fil souple et fin A noué ton pâle calice. Cette main-là, petite fleur, Ni Phidias ni Praxitèle N'en auraient pu trouver la soeur Qu'en prenant Vénus pour modèle. Elle est blanche, elle est douce et belle, Franche, dit-on, et plus encor ; A qui saurait s'emparer d'elle Elle peut ouvrir un trésor. Mais elle est sage, elle est sévère

Centaures portant des Nymphes, d'Arcéslas; les Thespiades, de Cléomène ; I'Océan et Jupiter, d'Eniochus ; les Appiades, de Stéphanus; des Hermérotes, de Tauracus, non pas le ciseleur, mais celui de Tralles; un Jupiter Hospitalier, de Pamphile, élève de Praxitèle; Zéthus, Amphion, Dircé, un taureau et le lion, tout cela d'un seul bloc de marbre : ce morceau, d'Apollonius et de Tauriscus, a été apporté de Rhodes. Ces deux artistes ont établi une rivalité entre leur père dans la sculpture et leur père naturel

-400 | | | | | Sculpture | Idoles cycladiques, -3200 à -2300 | Apparition figure humaine en sculpture et décor de vases, -1050 | Apparition de Couros et Coré, -700 | Doryphore de Polyclète, -500 | | | | | Aphrodite de Cridé de Praxitèle (1er art nu féminin de l’art grec), -400 | Vénus dite de « Milo », -100 | | | | | | | Céramique | Vases à décor marins, -2000 | Décors géométriques, -1050 | | | Apparition de scènes mythologiques, -600 : | Figures noires (début