Praxitèle

agenouillée dans une coquille, 3ème siècle avant JC (musée du Louvre).  Aphrodite Braschi, copie du 1er siècle d’un original crée par Praxitèle ver 350-40 avant JC (Aphrodite de Cnide). Sculpture en marbre blanc peinte. Première sculpture de Vénus entièrement nue, en rond de bosse (on voit toutes ses faces). Idée d’une déesse surprise sortant du bain. Praxitèle fait vraiment de la nudité et de la beauté du corps les attributs de Vénus.  Vénus endormie dite Vénus de Dresde, Giorgione, 1509-10

gestes et dans les lignes qui dessinent les muscles rappelle encore le style archaïque. Mais la position des deux coureurs s’attache au style classique. On a en effet une des deux jambes qui est décalé, formant un contrapposto qu’on retrouve chez Praxitèle par exemple. C-La statue et les métopes : (Diapo 16) À cela s’ajoute les 12 métopes qui ornent les frises du pronaos et de l’opisthodomos et la statue chryséléphantine qui est l’une des 7 merveilles du monde. Les métopes représentent les 12

d’Appelle, ce qui soutient une connaissance très approfondie des textes antiques par Botticelli, notamment de Lucrèce, Horace et la Giostra de Politien où cette œuvre est décrite. L’artiste s’est aussi inspiré de la Vénus Capitoline, une sculpture de Praxitèle au IVème siècle av J-C et de la Vénus médicéenne, sculpture antique, se situant dans la collection des Médicis pour l’aspect pudique de la déesse. La traduction des textes antiques commencée par Cosme de Médicis favorise aussi le développement de

Son torse est puissant et doré, Son cou large sur ses épaules. On dirait , à l’ombre d’un pré, Un berger dormant sous les saules. Sans souci du Temps, du décor, La nature reste fidèle, Parfois, au même nombre d’or, Comme l’aurait fait Praxitèle. Coureur ainsi qu’à Marathon, C’est lui seul que l’on vient d’élire. Dans son sommeil, monte d’un ton E cri de la foule en délire. DE LA SOUJEOLE Claire, Larmes et sourires, Toulouse,Subervie,1964 Plain –chant du corps Seul Dans le

rien, ne réponds pas ; Dors sur mon coeur, fraîche et légère. Je connais trop bien cette main, Pleine de grâce et de caprice, Qui d'un brin de fil souple et fin A noué ton pâle calice. Cette main-là, petite fleur, Ni Phidias ni Praxitèle N'en auraient pu trouver la soeur Qu'en prenant Vénus pour modèle. Elle est blanche, elle est douce et belle, Franche, dit-on, et plus encor ; A qui saurait s'emparer d'elle Elle peut ouvrir un trésor. Mais elle est sage, elle est

sensuatlité nouvelle dans le traitement du mouvemnt : MANIERISME qui domine la fin du Vs. Sculture du fronton du pathenon consiture le mouvement d'amorce Niké enlevant sa sandale, 410 → drapé : on suggere le coprs fémine, mais il faut attendre PRAXITELE, pr montrer u corps fémin totalement nue. Le canon dorique. La très grande majorité des temples dorique ce ressemble 475 450 av jc. Tout ces templs on était consu à la'aidre d'une serie de proprtion identique. → le temple de Zeus à

scandalisaient nombre d'Athéniens. (Plutarque, Vie de Périclès) Aspasie faisait partie de ces "étairai", courtisanes cultivées, riches et indépendantes qui se multiplient à la fin du IV° siècle. Phryné, autre courtisane, qui servit de modèle à Praxitèle (pour l'Aphrodite de Cnide notamment) devint extrêmement riche et célèbre. (On sait comment, accusée par un de ses anciens amants, elle fut défendue par l'orateur Hypéride : il n'hésita pas à la dénuder pour attirer sur elle l'indulgence des juges

quelque sorte transposés à l'Allemagne nazie. De nombreux sculpteurs travaillent avec ardeur tout en bénéficiant du soutien logistique de l'appareil politique. Leurs statues ressemblent, soit par leur forme, soit par leur composition, aux oeuvres de Praxitèle ou de Phidias, de la Grèce antique, ou à celles ciselées par Michel-Ange pendant la Renaissance. Les sculpteurs les plus en vue de cette période étaient Arno Breker, Josef Thorak et Fritz Klimsch qui, bien que jouissant d'une importante aide logistique

plus de 18 m de hauteur. Sur leur partie inférieure, des scènes à caractère mythologique avaient été sculptées par les plus grands artistes. Le temple renfermait un grand nombre d'œuvres de sculpteurs célèbres, soit contemporains tels Scopas et Praxitèle, soit du siècle précédent comme Phidias et Polyclète. L'une des plus admirables était une statue de Zeus par Myron (vers 450 av. J.-C), mais la plus vénérée était évidemment la statue d'Artémis : la déesse était représentée la tête entourée d'une

d’Appelle, ce qui soutient une connaissance très approfondie des textes antiques par Botticelli, notamment de Lucrèce, Horace et la Giostra de Politien où cette œuvre est décrite. L’artiste s’est aussi inspiré de la Vénus Capitoline, une sculpture de Praxitèle au IVème siècle av J-C et de la Vénus médicéenne, sculpture antique, se situant dans la collection des Médicis pour l’aspect pudique de la déesse. La traduction des textes antiques commencée par Cosme de Médicis favorise aussi le développement de