Praxitèle

toujours servi l’Art et sa Re-création en tant que renouvellement ou source d’inspiration, tels que quelques années avant la publication de ce sonnet, par le mythe de Vénus le tableau de Botticelli « la Naissance de Vénus » reprend la sculpture de Praxitèle et sous des airs de valorisation de la déesse mythologique témoigne en réalité des caractéristiques propres à l’Humanisme. . Résumé :Intro  : - Recontextualisation de l’auteur : Au XVIe

statues commencèrent à représenter de vraies personnes. La période classique est considérée comme l’apogée de la statuaire, du Ve avant Jésus-Christ au règne d’Alexandre le Grand. Représentée par des sculpteurs comme Phidias, Myron, Polyclète, puis Praxitèle et Lysippe, elle marque une avancée dans la maîtrise de l’anatomie et de la pose. La technologie de la fonte du bronze permet de réaliser de grandes pièces mais très rares sont celles encore conservées dans leur intégralité comme l’Aurige de Delphes

l’on peut dire ; et, soudain, sans prévenir (ni s’en rendre compte), ils glissaient à une autre notion et se mettaient à parler de tout ce qui peut symboliser la beauté, Aphrodite ou Phryné par exemple pour la beauté féminine, l’Hermès de Praxitèle ou l’Apollon du Belvédère pour la beauté virile, et donc ils s’occupaient de la beauté symbolisée. Ce n’était pas du tout la même chose, et le jury a durement sanctionné les auteurs de ce paralogisme. Les meilleures copies, plus nombreuses cette

Historique Cette statue date de l'époque hellénistique (grecque), vers 130-100 av. J.-C. Elle a d'abord été attribuée à tort à Praxitèle mais une inscription sur le socle montre qu'elle pourrait être l'œuvre d'Alexandre d'Antioche. Découverte Plafond de la salle des bijoux du musée du Louvre peint par Jean-Baptiste Mauzaisse en 1822, Le Temps montrant les ruines qu'il amène et les chefs-d'œuvre qu'il laisse ensuite découvrir. Le buste de la statue est mis au jour le 8 avril 1820 à Milo, une

amélioration de la représentation du corps masculin s’accompagne d’un progrès sensible dans celle de la femme : si le corps est toujours drapé, celui-ci colle dorénavant aux membres. « Hermès tenant Dionysos enfant » de Praxitèle (qui donne naissance au style Praxitèle reconnu jusqu’à la Renaissance), 340 av. JC (donc 2ème moitié de la période classique) : le dieu prend forme dans une silhouette d’éphèbe, qui s’est affinée avec le temps : on est passé à un corps à 8 têtes. Le travail des muscles

supérieure des murs en brique crue, l'entablement et les colonnes en bois, le toit en tuile, les acrotères en terre cuite. L'autel d'Héra se trouvait à l'est du temple. C’est à cet endroit qu’a été découverte, en 1877, la fameuse statue de l’Hermès de Praxitèle. Le Mètrôon, est élevé au pied de la terrasse des trésors, temple dorique périptère datant du début du Ive siècle av. J.-C. Le Métrôon est consacré à Cybèle, mère des dieux, avant d'être affecté, plus tard, au culte de Rome et d' Auguste.

côte dans le même atelier. On peut lire l’inscription « comme jamais n’a fait Euphronios », ce qui atteste de l’esprit de compétition. - L’unité de production est souvent familiale, de père en fils. Par exemple, les ateliers de Polyclète ou de Praxitèle. - Un même artiste ou artisan pouvait pratiquer plusieurs arts différents. Par exemple, Antênor était sculpteur et bronzier. - En conclusion, l’art grec est une production conditionnée par un ensemble de relations. -------------------------------------------------

certains artistes travaillaient dans des styles plus innovants et avantgardistes que d'autres. Kouros provenant de l'île d'Anafi, 510-500 av. J.C., British Muséum Art archaïque. Aphrodite Braschi, statue du type de l’Aphrodite de Cnide de Praxitèle Art classique grec Guerrier galate blessé, thème apparu dans la statuaire grecque suite à la victoire d’Attale Ier de Pergame sur les Gaulois v. 237 av. J.-C. Style helléniste. La période archaïque (700-480 av. J.-C.) est caractérisée par

Parallèlement, nous avons une série iconique, où les traits de la déesse figurent, sous l’allure mélancolique et compatissante qui Cyrène. Musée. Demi-statue funéraire aniconique. Cyrène. Musée. Statue funéraire iconique. emprunte à la Déméter de Praxitèle. Cette série est inaugurée au VIe siècle par des figures aniconiques, à Cyrène mais aussi à Barca (œuvres conservées aujourd’hui au musée de Tolmeta), elle se poursuit durant l’époque classique et hellénistique et durant le Ier siècle de l’Empire

scandalisaient nombre d'Athéniens. (Plutarque, Vie de Périclès) Aspasie faisait partie de ces "étairai", courtisanes cultivées, riches et indépendantes qui se multiplient à la fin du IV° siècle. Phryné, autre courtisane, qui servit de modèle à Praxitèle (pour l'Aphrodite de Cnide notamment) devint extrêmement riche et célèbre.(On sait comment, accusée par un de ses anciens amants, elle fut défendue par l'orateur Hypéride : il n'hésita pas à la dénuder pour attirer sur elle l'indulgence des juges