Premier Choc Pétrolier

et d'assurer une croissance forte permettant au plus grand nombre d'atteindre un niveau de vie élevé. La politique monétaire  Introduction  La crise qui éclate à la suite du premier choc pétrolier remet en cause le bien-fondé de ces politiques budgétaires, et marque le retour au premier plan des politiques monétaires Privilégie les outils liés à la monnaie et à la distribution du crédit. Ce retour est largement lié au retour en grâce des théories néolibérales. Celles-ci, en

contexte de crise, l’intervention massive de l’Etat français en terme de revenu depuis 1970 trouvait son explication dans le besoin de l’Etat d’aider les acteurs économiques à surmonter la crise (une crise du capitalisme) connue depuis le premier choc pétrolier en 1973. Par ailleurs on peut citer la loi Wagner qui exprime clairement le fait que les dépenses sont sur le long terme irréversiblement croissantes, notamment lors de crises telles celle des années 1970. Cette évolution de la distribution

fut notoire sur le bâtiment de Sous- Paulat construit au début des années 1970 qui voit en à peine dix ans évoluer sa populations : des couples remplacés par des familles ouvrières ou en situation de précarité du fait du chômage, après le premier choc pétrolier des années 1973/ 1974. On observe un vieillissement de la population en centre ville, comme dans les copropriétés du Boulevard Saint Charles. Mais à ce jour reste sur notre quartier une majorité de familles fragiles et de personnes du troisième

monétaire, même s’il on peut en rajouter d’autres, telle que la politique de change. Si, traditionnellement, les recettes de l’Etat ne servaient qu’à assurer le bon fonctionnement des services publics, c’est à partir des années 1970, après le premier choc pétrolier, que s’impose l’idée d’une intervention de l’Etat dans l’économie, par l’utilisation des recettes et des dépenses publiques afin d’atteindre certains objectifs économiques. C’est ainsi que l’on peut définir la politique budgétaire, qui constitue

récession. L’année 2008 a été caractérisée par l’entrée de la France en récession économique, un phénomène rare dans l’histoire économique Française. Depuis 1950 la France n’a en effet connu que deux périodes de récession : en 1974 avec la crise du choc pétrolier et en 1993 avec une progression très forte du chômage. Ainsi à la fin de l’année 2008 les mouvements prônant la décroissance font parler d’eux avec la conviction que consommer moins et mieux rend plus heureux et on parle alors de la fin de la

Ainsi s’exprimaient, en Juillet 1799, les sieurs Girard père et fils dans le premier brevet mondial concernant la récupération de l’énergie des vagues. Eh oui : encore une invention à mettre à l’actif du génie inventif français ! (les brevets n’existaient pas du temps d’Archimède et de Léonard de Vinci). Dans la période moderne, l’intérêt pour cette forme d’énergie renouvelable est né tout de suite après le choc pétrolier de 1976. Les scientifiques européens et dans une moindre mesure les japonais

Industrielle (développement, urbanisation...) depuis la Seconde Guerre Mondiale ("Les Trente Glorieuses" , la montée de État-Providence...) depuis le milieu des années 60 (contestation du taylorisme, blocage de la croissance fordiste...) depuis le premier choc pétrolier (la crise économique, les politiques anti-crise, le déséquilibre des balances commerciales, des paiements...) actualité immédiate (une crise boursière, la baisse des taux d’intérêt réels, les variations du $...) lien entre le présent et

Toutefois, le retour des bénéfices, l’image intacte de la marque et la qualité des modèles en préparation ne peuvent qu’augurer favorablement de l’avenir de Citroën. Cependant, bien que l’exercice de 1973 soit bénéficiaire, la crise liée au premier choc pétrolier brise les espoirs de redressement définitif de Citroën. Michelin désirant se recentrer sur la pneumatique, Citroën passe sous le contrôle de Peugeot. 3. Citroën sous le contrôle de Peugeot: 1974-1976 En 1974 Citroën passe ainsi sous

1. Introduction Aujourd’hui les difficultés économiques rencontrées en Belgique poussent les différentes sociétés à développer des stratégies qui pourront les aider à survivre. Ainsi les transports sont les premiers à être touché par la crise. Le carburant est en effet un outil majeur dans des grandes villes comme Bruxelles. Une hausse du pétrole peut donc entrainer, si pas des conséquences catastrophiques, des modifications générales dans la manière de voyager. La STIB est la société qui assure

Pour les ménages, la déflation est une incitation à différer leur consommation et leur investissement, car plus le temps passe, plus la valeur de la monnaie augmente. Elle se traduit par une augmentation de leur pouvoir d'achat, au moins dans un premier temps, s'il n'y a pas augmentation du chômage. Pour les entreprises, la déflation est une période de baisse de leur marge, car elles ne peuvent réduire leurs coûts aussi vite que la baisse de l'activité. Pour l'économie en général la déflation