Prémisse

la logique? Plusieurs utilisations de la logique peuvent être qualifié d’abusive. Par exemple, il est excessif d’avoir recours à la logique pour expliquer des phénomènes que nous ne comprenons pas ou qui semble venir du hasard. L’utilisation de prémisses dénuées de réalité est aussi une utilisation abusive de la logique. Avant tout il faudrait savoir ce qu’est la définition de la logique. D’après le manuel de la philosophie de A à Z : la logique est la science d’inférences valides. L’objet de la

l'établissement des faits. Au contraire, au sens strict, une démonstration est une déduction formelle, c'est-à-dire rationnelle, établissant la vérité d'une conclusion en procédant à un raisonnement logique à partir de propositions appelées prémisses. Une prémisse est chacune des deux premières propositions d’un syllogisme, dont on tire la conclusion. En effet, la démonstration est une déduction qui ne repose pas sur de simples hypothèses dont on n'aurait pas déjà reconnu la vérité : une démonstration

à présent. Pour comprendre cet argument nous allons examiner les prémisses présentées par le maitre de Platon. La première prémisse consiste à démontrer que toute chose qui a un contraire, nait de ce contraire. Socrate exprime cette prémisse sous forme d’un exemple qui révèle le concept du « beau » a pour contraire le concept du « laid ». Donc, si quelque chose est beau alors il était laid auparavant. Ensuite, la deuxième prémisse avance que le passage d’un contraire à l’autre est double. Si nous

défendre, soutenir et/ou justifier. (2) Des prémisses : ce sont les affirmations, les « éléments de preuves » qui vont être avancés afin de défendre, soutenir et/ou justifier cette conclusion. [ le mot « prémisse » vient du latin praemissa, participe féminin de praemittere (mettre devant ou mettre en tête). Les prémisses sont les affirmations qui précèdent la conclusion ] (3) Des liens, des connexions : existant entre les prémisses et la conclusion. 5. L’argumentation en très

science de la nature » Chapitre 1 : Prémisse, terme, le syllogisme et ses espèces Si le sujet de la démarche d’ARISTOTE est qualifié par lui-même de « démonstration », la discipline qui l’étudie est appelée « science démonstrative ». Selon lui, « la prémisse est le discours qui affirme ou qui nie quelque chose, et ce discours est soit universel, soit particulier, soit indéfini ». Il distingue deux types de prémisses : la prémisse démonstrative et la prémisse dialectique. Celle-là a pour particularité

on conclut de propositions prises pour prémisses à d’autres propositions au moyen de règles logiques2 ». L’exemple le plus célèbre est le syllogisme, constitué de deux prémisses conduisant à une conclusion qu’Aristote a été le premier à formaliser. Par exemple, « tous les problèmes traitant de philosophie sont ennuyeux », or « le problème de l’induction traite de philosophie », donc « le problème de l’induction est ennuyeux ». Les deux propositions ou prémisses (dites « majeure » et « mineure ») sont

LA DÉMONSTRATION La démonstration est un raisonnement nécessaire. Problématiques : • La démonstration s'appuie sur des prémisses (point de départ d'une démonstration). On fait des déductions, des inférences (des liens, étapes logiques) et on abouti à une conclusion. Le but de la démonstration est d'établir avec certitude que la conclusion non seulement est vraie mais est aussi fondée (on sait pourquoi elle est vrai) par le raisonnement. >> Comment savoir que les prémices sont vrais

chaque type de proposition, on peut considérer que la proposition est acceptable. Une fois qu'il est déterminé que les prémisses contenues dans une proposition sont acceptables en elles-mêmes, il faut aussi assurer que la force des liens entre les prémisses et leur conclusion soit assez forte. Pour ce faire, la pertinence des prémisses doit être assurée. Malgré que les prémisses puissent être acceptables, celles-ci pourraient ne pas appuyer la conclusion, rendant ainsi la proposition inacceptable

articuler son argumentation en trois temps : après avoir caractérisé les topoï (lieux) I, il va développer l’importance des prémisses II pour en arriver à mettre en évidence les conséquences des choix de ces prémisses III. C’est donc après avoir approfondi les rôles respectifs de l’exemple et de l’enthymème, qu’il va en donner les sources : les lieux communs et les prémisses spécifiques. C’est sous la forme d’affirmation qu’il va introduire son propos. Tant dialectiques que rhétoriques les syllogismes

propositions de base sont appelées les prémisses. La première est la prémisse majeure, la seconde la mineure. Le sujet de la conclusion (S) doit nécessairement faire partie de la seconde prémisse, son prédicat (P) de la première. Le moyen terme ne fait pas partie de la conclusion, mais il fait partie des deux prémisses. Néanmoins, sa place dans les prémisses peut varier. Il y a quatre possibilités. Mt P P Mt Mt P P Mt Prémisse majeure S Mt S Mt