Prieuré

voiture à la baie de Saint-Malo. Quand il fut à bord, il donna la bénédiction à sa montagne, qui lui fit de profondes révérences et s’en retourna en Irlande par le même chemin qu’elle était venue. Dunstan fonda un petit prieuré dans ces quartiers-là, et lui donna le nom de prieuré de la Montagne, qu’il porte encore, comme un chacun sait. En l’année 1689, le 15 juillet au soir, l’abbé de Kerkabon, prieur de Notre-Dame de la Montagne, se promenait sur le bord de la mer avec mademoiselle de Kerkabon

sa première chasse à Versailles6. Au début du xviie siècle, les terres environnantes sont donc la propriété d’une part de la famille de Gondi et d’autre part du prieuré Saint-Julien de Versailles dont le prieur est Mathieu Mercerie. De 1622 à 1654, Jean-François de Gondi est archevêque de Paris dont dépend hiérarchiquement le prieuré Saint-Julien. Jean-François de Gondi, seigneur de Versailles, est donc propriétaire du domaine qui est acquis par le roi en 16237. « La terre et seigneurie de Versailles

Chapitre 1  : Saint Dustan, un irlandais qui vit avec sa soeur Mademoiselle Kerkabon, fonde un prieuré à Saint Malo. Ils rencontrent un indien qu’ils surnomment « L’ingénu », parce qu’il dit toujours ce qu’il pense. Chapitre 2 :  A sa grande surprise, Saint Dustan découvre que « L’ingénu » n’est autre que son neveu, le fils de son frère qui a péri avec sa femme. Chapitre 3 : « L’ingénu » qui a appris par coeur le Nouveau Testament accepte de se faire baptiser, mais il se révolte contre l’interdiction

déstinés à l’un de ses clients, et, s’aperçevant qu’il était suivi, a décidé de vider le fuel qu’il avait détourné dans une carrière, ce qui a mené à la pollution de l’eau dans les communes de Chignin et de Saint-Jeoire-Prieuré.2) Les communes de Chignin et de Saint-Jeoire-Prieuré ont décidé d’attaquer en justice la Société d’exploitation des transports Chamiot pour la pollution de leurs eaux. La juridiction de premier ressort n’a finalement pas mis en cause la responsabiltié de la société, et les

nouveau pays. Le prieur demanda la nationalité du jeune et il répondit qu’il était Huron. Mlle de Kerkabon posait beaucoup de question auxquels le Huron répondait juste à chaque fois. Le Huron fut hébergé au prieuré de Saint-Malo. Bientôt toute la ville fut au courant qu’un Huron logeait au prieuré. Un grand repas fut organisé en son honneur. Le Huron raconta comment se passait la vie en Angleterre. Mlle de Kerkabon et son frère découvrir suite aux informations donnaient par le Huron que leur beau frère

villages et seigneuries de Laval et du Coudray, à deux seigneurs appelés Hugues, père et fils, et à un autre nommé Ingelbault ». En marge est la note : « Cartulaire de Marmoutier touchant le prieuré de Laval4 ». Il existait donc au chartrier de Marmoutier, au milieu du XVIIIe siècle, un cartulaire du prieuré de Saint-Martin de Laval, dans lequel la mainferme donnée à Ingelbaut était transcrite. Hubert Éveille-Chien ne succéda qu'en 1015 à son père. L'inféodation de Laval à Guy Ier de Laval n'est

de résumé «Comment le prieur de Notre-dame et mademoiselle sa sœur rencontrèrent un Huron» (convention du 18e s) ->les éléments traditionnel de l'incipit: +cadre spatio-temporel : -Saint-Malo, un prieuré: prieuré de la Montagne -15 juillet 1689 au soir +présentation des personnages: -l'abbé de Kerkabon -sa sœur melle de Kerkabon

l’honneur, mon cher neveu, d’être chrétien et Bas-Breton ! Mais cela ne suffit pas ; je suis un peu sur l’âge ; mon frère n’a laissé qu’un petit coin de terre qui est très peu de chose ; j’ai un bon prieuré ; si vous voulez seulement vous faire sous-diacre, comme je l’espère, je vous résignerai mon prieuré, et vous vivrez fort à votre aise, après avoir été la consolation de ma vieillesse. » L’Ingénu répondit : « Mon oncle, grand bien vous fasse ! vivez tant que vous pourrez. Je ne sais pas ce que c’est

entre le XIIeme et le XIVeme siècle après plusieurs siècles de luttes entre Carolingiens, Robertiens et Vermandisiens. Pour fixer les hommes au pied de leur château, les Coucy fondent deux établissements religieux : le prieuré de Saint-Ausbert au début de XIIeme siècle et le prieuré de l’église paroissiale Notre-Dame-des-Champs en 1196. A partir du XIVeme siècle, la seigneurie de Boves passe dans les mains des ducs de Lorraine jusqu’à que le château soit abandonné au début du XVIIeme siècle. 1

dormir debout. II) L’incipit d’un récit satirique * L’annonce du traitement satirique de la religion : L’identité des personnages et l’historie des lieux mettent l’accent sur la religion : voir le champ lexical de la religion « abbé », « prieuré », « saint », « dévote », « bénédiction », etc… . Le narrateur fait l’éloge du prieur « aimé de ses voisins ». Mais cette éloge est ironique : dans l’expression «  après l’avoir été autrefois de ses voisines » (non respect des vœux religieux). Le