Principauté d'Antioche

en Italie, cherchait à s'agrandir, tantôt aux dépens des papes, tantôt sur les ruines de l'empire grec. Ce Bohémond avait lui-même longtemps fait la guerre à l'empereur Alexis, en £pire et en Grèce ; et n'ayant pour tout héritage que la petite principauté de Tarente et son courage, il profita de l'enthousiasme épidémique de l'Europe pour rassembler sous sa bannière jusqu'à dix mille cavaliers bien armés, et quelque infanterie, avec lesquels il pouvait conquérir des provinces, soit sur les chrétiens

commencements le choc de ces multitudes couvertes de fer, de leurs grands chevaux de bataille, et des forêts de lances auxquelles ils n'étaient point accoutumés. (1098) Bohémond eut l'adresse de se faire céder par les croisés le fertile pays d'Antioche. Baudouin alla jusqu'en Mésopotamie s'emparer de la ville d'Édesse, et s'y forma un petit État. Enfin on mit le siège devant Jérusalem, dont le calife d'Égypte s'était saisi par ses lieutenants. La plupart des historiens disent que l'armée des assiégeants

ensuite s’imposer comme religion principale. Au départ, l’empire romain est la seule sorte de rassemblement massif avant l’Eglise et avant l’apparition des nouvelles institutions comme l’empire romain-germanique. Paragraphe 2: Les principautés Franques Principautés franque (caricaturées dans Astérix) vont souffrir de l’empire romain, mais à partir de 476 et même avant, ses populations franques vont pouvoir redresser la tête. Cependant, il y a d’autres invasions venant du Nord. On estime que les

comporte mal. L’Église se structure à tel point qu’une autorité supérieure aux métropolitains se met en place : la papauté. 2) Le pape Certains sièges épiscopaux sont plus importants que d’autres, ainsi en Orient, les évêques d’Alexandrie, d’Antioche et de Constantinople sont éminents, plus importants que les autres car ces sièges épiscopaux sont des plus anciens. En Occident, c’est l’évêque de Rome qui se trouve placé au sommet de la hiérarchie. La primauté de Rome s’explique par plusieurs

comporte mal. L’Église se structure à tel point qu’une autorité supérieure aux métropolitains se met en place : la papauté. 2) Le pape Certains sièges épiscopaux sont plus importants que d’autres, ainsi en Orient, les évêques d’Alexandrie, d’Antioche et de Constantinople sont éminents, plus importants que les autres car ces sièges épiscopaux sont des plus anciens. En Occident, c’est l’évêque de Rome qui se trouve placé au sommet de la hiérarchie. La primauté de Rome s’explique par plusieurs

juridique de l’église chrétienne. On y trouve en effet l’expression de l’esprit romain, soucieux d’organisations et de règles. La nécessité d’un ordre intérieur dans les communautés y est présentée comme une évidence. Les lettres d’Ignace d’Antioche § 2. – Les écrits canonico-liturgiques Ces documents interviennent le plus souvent pour rétablir la paix dans les communautés soumissent à des tensions. De plus en plus clairement, au cours de ces 3 siècles (1er-3e siècles), la nécessité d’un

son juge. Il statut également en appel de toutes les décisions rendues par l’évêque. b)Le pape Il y a certains sièges qui jouissent d’une aura particulière au sein de l’Eglise en raison de leur ancienneté (en orient : siège d’Alexandrie, siège d’Antioche, Constantinople ; en occident le siège de Rome est le plus prestigieux) et leur titulaires sont appelés des patriarches. En occident c’est l’évêque de Rome qui trouve place au sommet de l’édifice. La primauté de Rome s’explique pour des raisons

écrit a l’évêque de Rome pour lui demander conseil : ils répondent en formulant une solution juridique. Paragraphe 2 - La confection de collections canoniques A) Les collectivités conciliaires Apparaissent milieu IVème. La plus ancienne « Collection d’Antioche » pour diffuser la législation du concile de Nicée : collection privée mais reconnue officielle en 451. 6 sur 30 Collections qui existent partout. On propose aussi des collections aux barbares, Statua Ecclesia Antique notamment qui a constitué

savants andalous. A partir de 976, les califes de Cordoue voient leur autorité contestée par des émirs locaux qui imposent leur pouvoir sur certaines régions d'al-Andalus.En 1030,le califat de Cordoue disparaît, se morcelle en plusieurs principautés indépendantes appelées "royaumes de Taïfas". Ce morcellement affaiblit al-Andalus, affaiblissement dont profitent les rois chrétiens. Le roi de Castille, Alfonso VI, prend Tolède en 1085. Al-Andalus et les royaumes chrétiens au XII°

pouvoirs traditionnels : royautés et Empire : I. Géographie des royautés. — II. Traditions et nature du pouvoir royal. — III. La transmission du pouvoir royal ; problèmes dynastiques. — IV. L’ Empire. CHAPITRE III. — Des principautés territoriales aux châtellenies : I. Les principautés territoriales. — II. Comtés et châtellenies. — III. Les dominations ecclésiastiques. CHAPITRE IV. — Le désordre et la lutte contre le désordre : I. Les limites des pouvoirs. — II. La violence et l’ aspiration vers la paix