Principe De Catholicité

3) Monarchie patrimoniale Le patrimoine est ensemble des biens appartenant a une personne. Le royaume est considéré comme la propriété du roi donc les territoires formant ce royaume et les droits qui sont attachés en principe à la souveraineté c’est à dire le droit de rentrer la justice et le pouvoir de commandement, de donner des ordres, tout cela sont propriété du Roi. Donc le Roi va pouvoir en disposé soit entre vifs soit au moment de sa mort. Le roi a pu disposé une

n'est pas des textes, ce sont des traditions. Par exemple la manière dont le roi parvient au pouvoir.   Elles ont été formalisées au moyen-âge et complétées au 16ème siècle.   On distingue 3 éléments:   La loi salique La théorie statutaire Le principe de catholicité   La loi salique Invoquée avec des conséquences considérables contre les prétentions de certains nobles à la couronne de France (Richard Cœur de lion) mais on ne voulait pas d'un roi anglais, on s'est rappelé de la loi des saliens au nom de

devenir roi de France sous le nom de Henri 4, il va se convertir au catholicisme. Henri 4 devient roi de France catholique, on va considérer, à partir de la conversion d’Henri 4 au catholicisme, le roi de France doit être catholique. La loi de catholicité du roi, cette loi n’a pas eu véritablement à s’appliquer car au 17ème siècle, il n’a pas eu de prétendant à la couronne qui n’était pas catholiques. Ces lois fondamentales marquent bien la distinction entre l’état et le roi. Le statut du roi

religieuse. Ils avaient un culte commun avec des fêtes religieuses communes et une solidarité affective car ils étaient tous nés au même endroit et étaient attachés au même lieu. Economiquement, les cités étaient indépendantes les unes des autres. En principe, leur économie était autarcique. Ils consommaient ce qu’ils produisaient. Ce n’est pas toujours le cas, car très souvent ils pratiquaient le commerce extérieur et échangeaient avec d’autres villes grecques, des îles ou encore des villes de l’Asie

tous égards, la région la plus riche, la plus civilisée d'Europe. Elle était un réservoir de soldats et de capitaines, d'ingénieurs et d'artistes, le point de rencontre des principaux courants économiques. Elle fournissait aussi sa capitale à la catholicité. Toutes les puissances européennes de l'époque, l'Espagne et la France en tête devaient chercher une place prépondérante en Italie. Les rois français au XVIe siècle avaient constamment les yeux tournés vers l'Italie et les descentes transalpuies

1505 à 1517, en tira, malgré trop d’excès et de violences compromettantes, un prestige et un intérêt singuliers. Denifle posait un principe. « Jusqu’à nos jours, ça été surtout sur les affirmations postérieures de Luther qu’a été échafaudée son histoire p015 d’avant la chute. Avant tout, il y aurait à faire la critique de ces affirmations » ( D.- P., I, LXVII.). Principe inattaquable et salutaire ; mais que contenaient donc ces affirmations si contestables ? Deux choses. Des attaques contre l’enseignement

même par moment jusqu'à moscou. Ce dessein s’est constamment fragilise par des faiblesses tenant a la structure du pouvoir de l’Empereur. Deux facteurs de fragilité : *le mode de désignation de l’Empereur  =la succession ne se fait pas selon un principe dynastique. L’empereur germanique est élu par un collège électoral compose de princes (de nobles) pouvant être soit des laïques soit des ecclésiastiques. A chaque élections il y a négociations, transactions, manipulations et l’Empereur élu a un certain

droit est un produit de l’histoire. Le principe de la présomption d’innocence a été rédigé entre 1317 et 1324 dans La très ancienne coutume de Bretagne. Il s’agit d’un recueil coutumier, donc de droit, qui servait aux populations locales pour vivre au quotidien. On y trouve des règles de procédures civiles et criminelles, de droit de la famille et de succession (à l’époque du règne des fils de Philippe le Bel). Mais ce passage n’est qu’une transition d’un principe plus ancien issu du droit romain. Les

faudrait montrer que la coopération politique est possible sans intégration juridique, ce qui est douteux et aussi démontrer que la souveraineté nationale n’est pas un élément de facilitation des guerres. En Europe, la souveraineté nationale a été un principe de facilitation des guerres (particulièrement destructrices). On abandonne un fédéralisme autoritaire au profit d’une intégration plus satisfaisante. Exemple : l’appartenance de la Grèce à l’UE a joué un rôle pacificateur dans le contexte de la guerre

droit est un produit de l’histoire. Le principe de la présomption d’innocence a été rédigé entre 1317 et 1324 dans La très ancienne coutume de Bretagne. Il s’agit d’un recueil coutumier, donc de droit, qui servait aux populations locales pour vivre au quotidien. On y trouve des règles de procédures civiles et criminelles, de droit de la famille et de succession (à l’époque du règne des fils de Philippe le Bel). Mais ce passage n’est qu’une transition d’un principe plus ancien issu du droit romain. Les