Principe De Catholicité

sans pourtant les confondre, l'ombre à la lumière, le grotesque au sublime, en d'autres termes, le corps à l'âme, la bête à l'esprit ; car le point de départ de la religion est toujours le point de départ de la poésie. Tout se tient. Ainsi voilà un principe étranger à l'antiquité, un type nouveau introduit dans la poésie ; et, comme une condition de plus dans l'être modifie l'être tout entier, voilà une forme nouvelle qui se développe dans l'art. Ce type, c'est le grotesque. Cette forme, c'est la comédie

Grèce. C’est à partir du 2ème siècle qu’elle s’étend en occident et en Gaule, elle progresse de façon continue. Dans un premier temps l’empire romain ne se montre pas a priori hostile au christianisme. Il est à l’époque dominé par les païens et les principes du polythéisme, ils ne sont donc pas opposés à accueillir un dieu de plus. Le dieu des chrétiens n’est cependant pas un dieu ordinaire mais un dieu exclusif et cette revendication d’exclusivité fera que les chrétiens eux-mêmes refusent de s’associer

spécifiques pour étudier les faits en sociologie. On trouve à l’intérieur de la sociologie la sociologie politique, c'est-à-dire la sociologie qui s’intéresse aux phénomènes de pouvoir. Un paradigme est une sorte de vérité de base, un postulat. En principe, chaque science a un et un seul paradigme. En sociologie, il y a plusieurs paradigmes. Chaque école partage les mêmes outils. Il y a pluralité de paradigme et unité des méthodes et outils. Les outils de la sociologie sont les questionnaires, les

de l’idée que les décisions de l’Etat sont caduques si elles sont justifiées par l’intérêt privé. Assez tôt il y a l’idée que l’Etat ne doit pas abuser de son pouvoir & doit respecter les droits fondamentaux. Parfois l’Etat doit enfreindre ce principe & porter atteinte aux droits individuels pour l’intérêt général. Ex : Il peut dans certain cas limiter la liberté de circulation si commis des actes répréhensibles. L’Etat va décider que l’on ne quitte pas le domicile (assignation à résidence)

personne de Yahvé qui fait office, la loi est donné par dieu lors d'une établissement d'une alliance entre lui et son peuple. Cela signifie que le droit hébraïque constitue un droit religieux qui s'efforce de donner une direction et qui insiste sur des principes comme la pureté de l'homme, la liberté, la responsabilité individuelle ou encore la faute. Cela signifie que le droit est établi par la personne divine et échappe à toute décision humaine. Il résulte de cette conception du droit que dans la Loi figure

1515 le Parlement a cassé le testament de Charles 6 Inaliénabilité du territoire, précisée en 1526 quand F 1er vaincu a cédé une partie du territoire le traité de Madrid a été déclaré contraire au principe d'inaliénabilité. L'édit de Moulin en 1566 a consacré cette règle. Enfin la règle de catholicité du roi, cette loi est le résultat de la conversion d'Henri 4 qui de protestant est devenu catholique pour monter sur le trône. Enfin le roi ne pourrait pas être un étranger conception d'Henri Morel

n'appartiennent pas à l'Empire. Les régions du nord-ouest et de l'ouest sont régulièrement contestées par la France (Artois, Flandre, etc.). Enfin, au sud-ouest, la Confédération helvétique acquiert son autonomie en vertu de la paix de Bâle (1499). Trois principes apparemment contradictoires organisent l'État. Le pouvoir impérial est électif, mais accaparé depuis 1438 par les Habsbourg. Enclins à renforcer leur pouvoir contre la résistance des États, les Habsbourg font élire de leur vivant leur successeur

en bâtissant une théorie : « le roi est empereur en son royaume ». Cette théorie donne à la couronne des droits inaliénables et exclusifs. C'est le début du mouvement de patrimonialisation du pouvoir : il se dépersonnalise, le roi devient royauté, principe supérieur et éternel. C'est la naissance de la souveraineté comme concept politique : le roi n'en est plus le propriétaire. Prétendre être empereur en son royaume c'est affirmer qu'il n'y a pas d'autorité supérieure à la sienne dans son royaume.

Pour Hegel (1770 – 1831), autre philosophe majeur de la « modernité », le Droit est le « fait qu’une existence en générale soit l’existence de la volonté libre… Le Droit est donc la liberté en général comme idée » (Georg Wilhelm Friedrich Hegel, Principes de la philosophie du Droit, NRF, coll. Idées, p. 76). La volonté libre subjective de chaque individu ne pouvant s’épanouir – selon Hegel - que dans l’Etat qui « est la réalité en acte de la liberté concrète », la volonté générale (précité p. 277)

ecclésiastiques et son organisation administrative sont calquée sur le modèle romain. Le découpage des provinces ecclésiastiques correspond au circonscription. L’Eglise développera en marge du droit romain le droit canon. Ce droit est fondé sur des principes religieux mais quant à la forme, ce droit trouve son aspiration dans le vocabulaire et la technique du droit romain. L’Etat se christianise et l’Eglise se romanise. Elle ne sera jamais complètement lié à l’Empire, elle conservera son indépendance