Principes Budgétaires Classiques

6 Les modèles macroéconomiques Jean Magnan de Bornier Table des matières 1 La loi de Say et la macroéconomie "classique" 3 5 6 7 8 8 10 10 11 11 12 14 14 16 16 17 2 Le modèle keynesien 2.1 Le modèle keynesien du revenu d’équilibre . 2.2 Le multiplicateur d’investissement . . . . . . 2.3 Approfondissement du modèle . . . . . . . . 2.3.1 L’introduction des dépenses publiques 2.3.2 Les échanges extérieurs . . . . . . . 2.4 Conclusion de la section . . . . . . . . . . . 3 Le modèle IS-LM 3.1

L’Etat et la politique budgétaire INTRODUCTION : Nature de l’Etat et de la politique économique 1) Définition de l’Etat (selon Max Weber) L’Etat fait usage de la contrainte dans son rapport avec les autres agents économiques. L’Etat est la seule institution qui a ce pouvoir. L’Etat a pour fonction minimale d’assurer l’ordre dans la société. 2) Les origines de l’Etat a) La théorie du contrat social La situation « de nature » définie par Hobles : « la guerre de tous contre tous » car les individus

2011/2012 Plan INTRODUCTION Chapitre I : Présentation et utilité du contrôle budgétaire Section 1 : Présentation du contrôle budgétaire Section 2 : Utilités et rôle du contrôle budgétaire Section 3 : Les étapes du contrôle budgétaire Section 4 : les conditions d’efficacité du contrôle budgétaire Chapitre II : les modalités du contrôle budgétaire : Analyse des écarts Section 1 : Principes d’élaboration et d’analyse des écarts Section 2 : Schéma d’ensemble des analyses d’écarts

Le Contrôle de Gestion Le contrôle de gestion dans les administrations publiques. I. Principes: commençons par une définition : Un instrument de pilotage global à la disposition d’un responsable pour lui permettre d’atteindre ses objectifs” Un Instrument… • Pas une fin en soi: une méthode et des outils • Ne pas rechercher la perfection • Préférer le pragmatisme: – Simplicité – Commodité:à usage facile – Rapidité – Utilité • Plutôt que: – Exhaustivité – Sophistication – Complexité

étapes. Il faut tout d'abord décrire les préférences des individus, c'est-à-dire comment ils préfèrent tel bien plutôt que tel autre. Ensuite, le consommateur, ayant des ressources limitées, va rechercher la maximisation de l'utilité sous contrainte budgétaire. La combinaison des préférences et des contraintes de budget détermine les choix de consommation, et plus précisément quelle combinaison de biens les agents économiques choisiront afin de maximiser leur utilité. On adopte ainsi une approche ordinale

économique et social (Mingst et Karns, 1995:107). Dans cette optique, la Charte de l’ONU peut être vue comme la source du droit international du développement (Jackson, 1990 :120). Quant à la Banque mondiale, avec son mécanisme décisionnel basé sur le principe «un dollar, une voix », elle a souvent été l’objet de sévères critiques de la part des pays du Sud (South Center, 1996 : 175-177). Cependant, à l’origine, sa mise sur pied a été applaudie par la gauche, qui y a vu « une immense amélioration par rapport

Rousseau, a soutenu la théorie du contrat, les hommes s’engagent a se soumettre à la volonté général c'est-à-dire à la majorité. Montesquieu estime que ce pari de la conciliation entre pouvoir politique et la liberté peut être réalisé en retenant le principe de la séparation de pouvoir, « le pouvoir arrête le pouvoir », il faut dans un état des contre pouvoirs. Cette séparation doit être organisée dans une trilogie : * Pouvoir de faire la loi : appartient au parlement. * Pouvoir exécutif est

le réalisé et le vécu. Ainsi libéré de l’analyse de ce qui est normal pour se concentrer sur l’anormal, le gestionnaire à de meilleures chances de pouvoir cibler et de réagir plus vite et au bon endroit. Le Tableau de Bord budgétaire est un outil de contrôle budgétaire qui permet de rapprocher fondé sur des données financières et comptables. Il privilégie l’analyse des résultats plutôt que le suivi des responsabilités opérationnelles. Le Tableau de Bord financier et comptable est un outil

correspond à l'intérêt général. La macro économie s'intéresse au niveau le plus global qui est celui de la collectivité nationale ou internationale. Les problèmes macro économiques sont par exemple la croissance, le chômage, l'inflation, le déficit budgétaire, le déficit extérieur, le déficit des comptes sociaux, etc… L'analyse s'appuie sur la comptabilité nationale, donc ex-post. Elle porte sur les résultats des décisions de l'ensemble des acteurs dans l'économie. Dans ce cadre la macro économie n'est

Phillips originelle © 2008 Pearson Education France – Analyse économique et historique des sociétés contemporaines Cette courbe sera vite réinterprétée par les économistes keynésiens et prendra une nouvelle forme qui est devenue aujourd’hui classique, liant non plus variation des salaires nominaux et chômage, mais inflation et chômage (voir figure VI.1.2) : Figure VI.1.2 La courbe de Phillips « revisitée » par les keynésiens Comment les keynésiens interpréteront-ils cette courbe ? Pour Robert