Principes Et Critiques Du Taylorisme Et Fordisme

sens de réduction de l'ensemble des gaspillages : Temps d'attente Traitements inutiles, Stocks intermédiaires ; Déplacements, non-qualité... Le Lean management est un mode de management et une philosophie qui met rupture par rapport au taylorisme et au fordisme qui niaient toute créativité de l’être humain. Le Lean management vise à améliorer la performance globale de l'entreprise en repositionnant l'opérateur en tant qu’homme intelligent. Les démarches japonaises s'enracinent dans l'engagement

polyvalence et l'implication du personnel, le syndicalisme d'entreprise et l'emploi à vie. Vers la fin des années 1980-90, la "mode" japonaise commençait cependant à faiblir, bon nombre d'entrepreneurs contestant qu'on puisse importer tels quels des principes d'organisation élaborés dans un cadre social très différent du cadre européen et nord américain. Il est donc important, afin de ne pas sombrer régulièrement dans les effets de mode, de réfléchir de manière plus distanciée sur l'organisation du travail

comme on la connaît aujourd’hui, est à la source de ce questionnement permanent, cet étonnement que constitue la philosophie. D’après Diderot,  « L'esprit philosophique est un esprit d'observation et de justesse qui rapporte tout à ses véritables principes. » La vérité se trouverait donc grâce un esprit juste et philosophique. Les philosophes se considèrent donc comme importants, jouant un rôle dont on ne pourrait se passer. Nietzsche les qualifie d’ « extraordinaires pionniers de l’humanité » dans

les techniques de fabrication nées à la fin du XIX° siècle et qui participent à la seconde révolution industrielle arrivent à maturité pendant cette période des 30 glorieuses. De cette manière, concernant les méthodes de production, le Fordisme et le Taylorisme ( qui prônèrent le travail à la chaîne, normalisèrent des productions dites standards, et mirent en place le chronométrage des ouvriers) sont adoptées comme règle d'organisation des unités de production par la plupart des entreprises. L'ouvrier

! La grande distribution procède du fordisme qui permet d'écouler autrement la marchandise vers le consommateur. Autrefois, l'ancien régime organisait cette rencontre acheteur vendeur au moyen de foires où distributeurs et producteurs se confondent. Avec la révolution industrielle à la fin du XVIII, l'éclosion des négociants peut paraître un prémisse de la grande distribution d'aujourd'hui. Le taylorisme a favorisé la production de masse, et le fordisme, la consommation de masse. Le problème à

verticale, dans le cadre d´un environnement organisationnel entrepreneurial, missionnaire, mécaniste, adhocratique ou professionnel. Reprenant les théories de ces prédécesseurs classiques, et focalisant, son analyse, d´une part, sur la rationalité, du principe de volume et de la diversité des taches exécutables par travailleur, ainsi que sur la séparation du travail de conception et celui d´exécution, d´autre part, Mintzberg met en relief l´existence, au sein d´une entreprise, d´une division horizontale

unités produites peuvent coûter plus cher que les avant-dernières) Gains de productivité peu probables pour des postes peu qualifiés Une très grande spécialisation implique une organisation très rigide et parfois contre-productive (cf. limites du taylorisme, vues en T.C.) Pour Tocqueville, c'est la dégradation du sort des plus défavorisés et la perpétuation d'une forme renouvelée de l'aristocratie, devenue à ses yeux la plus dure qui ait paru sur la terre envers les ouvriers. Pour Marglin, une

| |l'accroissement de la richesse des nations, i.e. de la | |Une très grande spécialisation implique une organisation très rigide et parfois contre-productive | |croissance. | |(cf. limites du taylorisme, vues en T.C.) | |Elle est efficace pour trois rasions : | |Pour Tocqueville, c'est la dégradation du sort des plus défavorisés et la perpétuation d'une forme | |Augmentation

contenter de ces choses” (IL, 11, p. 63). La vision de Tocqueville est prémonitoire puisqu’au-delà de la baisse de qualité des biens produits artisanalement que dénonce ici Tocqueville, la seconde moitié du XIXème siècle marque l’arrivée du fordisme et du taylorisme, méthodes de travail très optimisées permettant la production à la chaîne. Cette uniformisation du niveau global de production tire tout de même vers le haut le niveau de vie moyen de la population européenne : on trouve toujours moins d'indigents

productivité C'est le rapport entre la production & les facteurs de production. Ils permettent d'abaisser les coûts de production & donc les prix. Mis en place par l'Organisation Scientifique du Travail (OST) = Travail à la Chaîne = Taylorisme → travail décomposé & chronométré qui mène à la standardisation Encouragé par de hauts salaires (ex : Ford) qui permettent aux ouvriers d'acheter ce qu'ils produisent (ex : automobile) et de les motiver à travailler. Les effets de la