Principes Et Limites De La Pensée Mercantiliste

nécessaire Agréments = consommation de luxe Cette conception de la richesse constitue une rupture avec le point de vue mercantiliste car pour eux les métaux précieux sont la richesse de la nation et sont donc le symbole de la richesse de l’Etat. Pour les classiques, la nation est riche lorsque les marchandises sont disponibles pour un maximum d’individus. Chez les mercantilistes l’économie politique propose d’enrichir le souverain seul (=sciences du prince, ex : Louis 14 et sa cours) Chez Adam

Histoire de la pensée économique Introduction générale a l’histoire de la pensée économique -1- L’intérêt de l’histoire de la pensée économique Trois idées sillonnent l’introduction présentée par le Pr. EL COHEN dans son livre : les pensées économiques : Il n’y a pas de pensée économique unique et par conséquent il n’y a pas d’histoire de pensée économique unique et unidimensionnelle ; la notion de pensée économique est plurielle ; Les pensées économiques sont interliées dans le

visions peut-être plus géniales, mais fragmentaires, comme celles de Pierre de Boisguilbert et de William Petty à la fin du XVIIe siècle ou de François Quesnay en 1758. En outre, Smith connaît fort bien l'histoire économique et confronte sans cesse sa pensée et les faits. On comprend alors que l'ouvrage ait constitué le fondement d'une école, l'école classique, qui a régné jusqu'au milieu du XIXe siècle et dont les représentants les plus notables ont été Malthus, Ricardo et Mill. Ainsi Malthus a-t-il

artition, la distribution et la consommation des richesses d'une société. Le principe général qui sous-tend l'économie, en particulier pour les ressources limitées ou rares, est celui de la rentabilité. Elle consiste à consommer un minimum de moyens en vue de réaliser un maximum de profits. La définition de l'économie n'est pas consensuelle. Ses contours et son contenu varient en fonction des auteurs et des courants de pensée.   Economie politique   L'économie politique apparaît à la Renaissance

HISTOIRE DE LA PENSEE ECONOMIQUE Introduction: C'est vers la fin du XVIéme qu'arrive la pensée économique. Avant cela restait une question vaste. Au XVI apparait alors l'économie politique (terme d'A. De Montchrestien). On va alors s'intéresser aux moyens d'accroitre la richesse. Def classique de la pensée politique : s'intéresse à la production des matières, la répartition des revenus et la consommation. A l'époque, on s'est intéressé à l'État (fascination) notamment avec le mercantilisme

d’échelle. Tout élargissement de la production permet de réduire les coûts. L’accès aux techniques, il est souvent couteux de développer de nouveaux modèles qui ne peuvent être rentabilisés qu’en vendant beaucoup, le nombre de modèles disponibles est limité par la taille du marché, celui-ci augmente avec l’ouverture. 3) L’analyse de l’apport du commerce international plaide pour un libre-échange maîtrisé. Les économies les moins avancées peuvent favoriser leur développement. Seule cette insertion

Gatcombe Park où il se consacre a l'économie ainsi qu'à la politique, c'est en 1819 qu'il entre au parlement britannique et y défend le libre échange en luttant contre les lois qui limitent le commerce sur le blé (corn laws). Son oeuvre pricipale "Des principes de l'économie politique et de l'impôt" sera publiée pour la 1ère fois en 1817, une 2ème en 1819 et une 3ème en 1821. Il succomba d'une otite en 1823 à l'âge de 51 ans à Gatcombe Park alors que sa fortune est estimée à 725 000 £, une importante somme

de rareté qui n’existe plus de nos jours, c’est seulement depuis le 18e siècle que les ressources et la population augmentent en même temps. Principe de l’hommo eoconomicus : l’homme selon la science économique. Il lui faut avant tout deux grosses qualités : - Un homme doté du concept de rationalité (objectifs de long terme). - Un homme optimal, principe d’optimalité (les meilleurs choix possibles). La rationalité c’est le comportement des agents motivés par la réalisation d’objectifs qu’ils fixent

2° partie : LES GRANDS COURANTS DE LA PENSÉE ÉCONOMIQUE Sommaire : Chapitre 1 : Le courant libéral Chapitre 2 : Le courant keynésien Chapitre 3 : Le marxisme Chapitre 1 : Le courant libéral La naissance du courant libéral classique se situe à la fin du XVIIIe siècle. Ce n'est qu'à partir de la fin du XIXe siècle que les écoles néo-classiques sont apparues. I -- L'école classique On a l'habitude de considérer les auteurs de l'école classique comme les fondateurs de la science

Introduction Théorie d’Adam Smith Théorie de David Ricardo Théorie HOS Tableaux Comparatifs des 3 théories Limites de la théorie de l’avantage comparatif Conclusion Références Introduction Le libre-échange est une doctrine économique prônant la libre circulation des biens et des services entre les pays. Cette théorie applique, au niveau international, le principe libéral selon lequel il convient de « laisser faire » le marché et donc de supprimer les entraves, c'est-à-dire