Prix Cosmos 2000

SOUDAN Moins de 500 m Principaux sommets CAMEROUN ar i mm 0 200 km REPUBLIQUE CENTRAFRICAINE 1200 1 163 m 4 Séquence 4 – HG20 Log one mm Réalisation : Loïc Rivault © Cned – Académie en ligne Document B Années 1950 1960 1970 1980 1990 1995 2000 2005 2010 La population au Tchad (superficie : 1 284 000 km²) d Taux de variation annuel Taux de natalité Taux de mortalité Population 2 615 000 2 660 000 3 640 000 4 520 000 5 000 000 6 400 000 7 977 000 9 700 000 11 506 000 0,17 % 3,68 % 2,42

(superficie : 1 284 000 km²) Années Population 1950 2 615 000 Taux de variation annuel Taux de natalité Taux de mortalité 1960 2 660 000 0,17 % 1970 3 640 000 3,68 % 1980 4 520 000 2,42 % 1990 5 000 000 1,06 % 1995 6 400 000 5,6 % 2000 7 977 000 4,93 % 2005 9 700 000 4,32 % 45 17 2010 11 506 000 3,72 % 44,8 16,2 Document C Agriculture et population au Tchad 1. Agriculture et pêche Mils et Sorghos LIBYE Maïs Riziculture Manioc Bassin cotonnier Zone de pêche NIGER

nous étions obligées de nous concentrer sur un point d’observation (thématique et images) que nous avons cerné à travers les manuels. A la base les manuels étaient cinq (Khavronina, 1970, Parlez russe, Ed. de Progrès, Moscou et Khatchatourova, 2000, Express russe 2, Ed. Centre linguistique de Moscou ; en plus des trois qui font déjà objet de notre étude) mais, nous avons préféré n’en garder que trois, ceux qui ont semblés les plus complets et qui reflètent au mieux l’époque en question.

des noix de cajou. ECOFAIR : ONG Néerlandaise F CFA : Francs CFA, XOF : 1 € = 656,0 F CFA FAO : Food and agricultural organisation, Rome MAEP : Ministère de l’Agriculture, de l’élevage et de la pêche MDR : Ministère du développement rural, avant 2000 (actuel MAEP) NPK : Azote, phosphore, potassium PRRF : Projet forestier de Bassila SNAFOR : Société nationale agricole et forestière SNV : Service National des volontaires néerlandais Avant-propos Quand nous avons commencé à rédiger ce

Nussbaum VISIONS Entretien avec Frédéric Fréry, rédacteur en chef invité 04 VuEs D’aiLLEuRs avec Vaiju Naravane & Jean-Marie Bouissou L’innovation technologique est-elle un progrès pour l’homme ? par Charles Pépin mANAGEmENT Chaos et cosmos par Pierre-Louis Desprez Entre innovation artistique & scientifique Hélène Mugnier & Jean-Pierre Luminet 16 EXPERIENCES CE quE PENsENt LEs DiRigEaNts • Mathieu Llorens, at internet • Nicolas Besse, adisseo • Lucien Bennatan, groupe PHR • georges-Henri

Éléments d'épistémologie de la géographie, Antoine Bailly, Robert Ferras Première partie : La géographie contemporaine, 1950-2000 I)La géographie, une science ? 1)Vers une cohérence doctrinale *durant ces deux derniers siècles, géographie, comme les sciences sociales, fait progresser ses méthodes et techniques avant d'avoir prouvé ses méthodes et ses techniques avant d'avoir prouvé sa plausibilité scientifique et ses bases épistémologiques. S'est voulu longtemps empiriste Délimitation

de ce séminaire Marketing des arts et de la culture Les composantes du modèle La concurrence et l'environnement L’avantage concurrentiel Les variables du macroenvironnement Le système d'information marketing La composition commerciale Le produit Le prix La distribution La promotion Temps et spécificité Processus de gestion marketing Foire aux questions LES ÉLÉMENTS DU MARKETING DES ARTS ET DE LA CULTURE par François Colbert À propos de ce séminaire AUTEUR Professeur de marketing et titulaire de

PARTIE I   MÉNAGES ET CONSOMMATION    CHAPITRE 1 COMMENT LES REVENUS   ET LES PRIX INFLUENCENT‐ILS LES CHOIX DES CONSOMMATEURS ?   CHAPITRE 2 LA CONSOMMATION: UN MARQUEUR SOCIAL ?      PARTIE II   ENTREPRISES ET PRODUCTION    CHAPITRE 3 QUI PRODUIT DES RICHESSES?                 20   27           4  15  CHAPITRE 4 COMMENT PRODUIRE ET COMBIEN PRODUIRE?       PARTIE III   MARCHÉS ET PRIX    CHAPITRE 5 COMMENT SE FORMENT LES PRIX SUR UN MARCHÉ ?  CHAPITRE 6 LA POLLUTION:   COMMENT REMÉDIER AUX LIMITES DU MARCHÉ 

africaines de l’Université de Dakar, 1964, éd. Pédone, Paris, pp. 7 et s., spéc. p. 17 ; Duval (J.), Les colonies et la politique coloniale de la France, Arthus Bertrand éditeur, 1864, p. 473. 33 Voy Séroussi (R.), Introduction au droit comparé, Dunod, 2000, p. 173. - Il sied de préciser que la ‘’réception‘’ est différente de ‘’l’imposition‘’, puisqu’elle est le fait d’Etats indépendants. En ce sens, voy Vanderlinden (J.), Les systèmes juridiques africains, op.cit., p. 57. 30 7 A. Une réception

fait une puissance quasi-divine donnée à l’homme (« parenté avec le dieu »), qui va placer ce dernier dans une position intermédiaire : il sera plus qu’un animal, mais moins qu’un dieu. L'homme est l'être qui vient bousculer la belle hiérarchie du cosmos, le fait que chaque être a une place définie dans l'univers (dieux, héros, hommes, animaux). L’homme échappe à l'ordre naturel et il se rapproche du domaine des dieux. Il brouille les frontières et ne sait pas tenir sa place. Sa position est fondamentalement