Probabilité Conditionnelle

ingérences 4. Quand à lui, oublions-le pour l’instant. Quant 5. Elle se constitue un fond de retraite. OK B. Accord du verbe Accordez les verbes entre parenthèses dans les espaces prévus à cette fin. 6. Bien des enfants (accepter au conditionnel présent) accepteraient ces conditions. 7. C’est moi qui (faire au futur simple) ferai ce travail. 8. Lire et dormir (être au présent de l’indicatif) sont mes principales activités en vacances. 9. Le fils, comme le père d’ailleurs, ne m’inspire

Perdican… II. Un portrait de Perdican Quand il entre, il invoque l’orgueil, qu’il considère comme « le plus fatal des conseillers humains » (l. 12). Il en fait une véritable allégorie et le prend pour responsable des malheurs des hommes : l. 15. conditionnel passé : « elle aurait pu m’aimer » (l. 14) → irréel du passé présent de l’indicatif : « nous nous aimons » (l. 17) → effectif du présent, quand le dialogue s’installe. L’aveu a besoin du dialogue pour être proféré. Perdican tente de se réconcilier

Tened Tengan Pon Ponga Pongamos Poned Pongan Di Diga Digamos Decid Digan Haz Haga Hagamos Haced Hagan Le conditionnel Le conditionnel en espagnol est très simple à retenir, il suffit simplement de prendre le verbe en entier et d'y ajouter les terminaisons de l'imparfait de l'indicatif (ER/IR) Emploi:le conditionnel en espagnol s'emploie pour exprimer un fait dont la réalisation dépend d'une condition Voici donc la formation exacte: Verbe en entier+ -ía

simple > Je ________________________ 9. avoir, futur simple > Je ________________________ 10. avoir, imparfait > Vs ________________________ 11. avoir, passé composé > Vs ________________________ 12. avoir au conditionnel passé > Ns ________________________ 13. avoir au conditionnel présent > Vs ________________________ 14. avoir, plus-que-parfait > Tu ________________________ 15. avoir au subjonctif passé composé > Vs ________________________ 16. avoir, passé simple > Vs ________________________

mort et joyeux Thème principal et situation d’énonciation Le thème principal est la mort Le type secondaire est autobiographique Situation d’énonciation : Baudelaire d’adresse aux vers de terre : « voyez venir, dites-moi » Temps : présent et conditionnel présent Analyse détaillée 1er quatrain : il veut être seul dans sa mort  solitude 2ième quatrain : il ne veut pas être plaint par le monde, on le voit au 2ième vers 1er tercet : le poète s’adresse à son interlocuteur (vers x2) 2ième tercet

attend, cependant, les personnages ne semblent pas devoir y jouer un rôle de premier plan et on ne peut réellement dater cette première scène qui acquiert, de fait, une valeur de fable universelle. [...] 30-31) futur simple du passé (forme du conditionnel présent) - DIL : focalisation interne figurants désignés par pluriels génériques Les hommes (l. Les hommes et les femmes (l. 23) + sg collectif : La foule (l. + imparfait d’habitude à l’aspect itératif : scène de mœurs, tableau de genre, croquis

project. 1. Situation iréelle du présent (après “if“, utilisation du prétérit modal = action irréaliste) 1. If I had a car, I would drive there. Fr : Futur antérieur - Auxiliaire will + have + participe passé GB: Future perfect Fr : Conditionnel présent - would + base verbale GB: Simple conditional 

s’agit-il dans ce texte ? Qui en est l’auteur ? Que fait le narrateur ? C. Les caractéristiques du texte : Genre : extrait d’une nouvelle. Type : narratif. Les personnages : Mme Lefèvre, Rose, un fermier, les paysans Temps verbaux : imparfait, conditionnel, passé simple. II. Hypothèse de lecture Récit, narration ? III. Les axes de lecture 1.                              1.            Le récit des événements : 2.                              1.            Le schéma narratif : Quels sont les

expliquer combien ». Le recours au conditionnel souligne le caractère tout-puissant du narrateur qui a le pouvoir de décider du rythme du récit : « il faudrait en faire » ; par là, il brosse le portrait de deux types de lecteur : ce « vous », qui est le lecteur idéal, dont l’imagination est portée par la fiction (« Vous y verriez »), et un lecteur qu’il faut contenter par d’autres moyens (« que les gens pressés ne pardonneraient pas »). Le recours au conditionnel présent, à la fin du passage, signale

ils / elles. Les modes : Trois modes personnels : L'indicatif     = mode de l'affirmation et du réel. Le subjonctif   = mode du doute, du possible et parfois de l'ordre.   L'impératif    = mode de l'ordre.     Dans certaines grammaires le conditionnel est encore considéré comme le mode de l’irréel actuellement il est classé comme un temps de l’indicatif.                       Trois modes impersonnels :   (Exemple avec le verbe –chanter) L'infinitif      – présent = chanter          – Passé