Problème de décision

- (Barème indicatif : 5 points) Analyse de la décision de justice rendue par la Cour de cassation le 9 juillet 1997 (document 1). Il convient d'accepter toute méthode d'analyse sans imposer le formalisme d'un commentaire de décision de justice. Ainsi, l'ordre des rubriques n'est pas imposé, l'utilisation des termes "appelant" et "intimé" n'est pas exigée. D'une manière générale, l'évaluation s'appuie en priorité sur la compréhension des problèmes juridiques, sur l'utilisation maîtrisée du vocabulaire

souvent au repérage de problèmes ou de dysfonctionnements. I. Qu’est-ce qu’un problème ? Il faut différencier préoccupation et problème. Il y a problème lorsqu’on constate une différence entre objectif et réalité. Face à un problème, il peut y avoir plusieurs attitudes : – ne rien faire et laisser le problème s’installer ; – agir sur la situation présente sans en comprendre les causes, ce qui revient à s’exposer à la réapparition du problème ou à l’apparition de problèmes nouveaux ; – agir sans

affaires John Rawls : théorie de la justice il a marqué la philosophie politique de l’entreprise. Il va remettre au gout du jour le concept de justice. Il pense une société qui répondrait à des principes de justice : quand on prend une décision économique, elle ne devrait pas mettre les individus défavorisés dans une situation encore pire… Ces structures de base ne comprennent pas l’entreprise. L’entreprise n’est qu’une association établie dans une but précis. Ce ne sont donc pas des

Méthode de l’analyse d’une décision de justice Plusieurs points doivent être identifiés : la juridiction, les parties, les faits, l’objet du litige, la procédure, le problème de droit et la solution judiciaire. La juridiction : la nature i. e. civile, pénale, administrative, et le degré i. e. première instance, appel ou cassation/conseil d’état. Les parties : le demandeur et le défendeur, souvent notés dans cet ordre dans le titre de la décision. Les faits : les actes et les circonstances

(agent éco, citoyen..). 2-L’Europe aujourd’hui, qu’est ce que c’est ? 27 états. 1951 : création de la CECA exprimant une volonté de créer une Europe supra-nationale. 1957 : traité de Rome instaurant la CE ( CEE + EURATOM ) Pour valider une décision, il existe 2 principes : majorité renforcée ou l’unanimité, en fonction des politiques concernées. (ex : Luxembourg opposé à la politique fiscale européenne). Tout état européen démocratique partageant les valeurs des fondateurs pouvait demander

une « introduction de l’introduction » afin d’éviter que le devoir ne débute par des propos factuels d’une grande banalité. Dans cette présentation générale du sujet, il s’agit d’évoquer l’intérêt du sujet couvert ou décidé par l’arrêt ou la décision et d’en montrer l’actualité ou l’importance. Il faut éviter impérativement de donner d’emblée la solution. Cet écueil est parfois bien tentant. Formes de la présentation. Cette présentation générale peut aussi prendre la forme : • d’un entonnoir

LES RELATIONS ENTRE L’ENTREPRISE ET SON NVIRONNEMENT * Actions de l’environnement sur l’entreprise : Toutes les variables clés de l’environnement de l’entreprise ont des conséquences sur le comportement de l’entreprise. La réaction et les décisions éventuelles de l’entreprise constituent sa stratégie. Analyse en termes de stratégie Comportement de l’entreprise L’ E E V N O V L I U R T O I N O N N E M D E E N T * Ignorer les

Crozier ; Conclusion Introduction : En réaction aux chercheurs qui s’intéressent aux comportements humains dans les entreprises, les sociologues américains se lancent dans l’analyse de la bureaucratie et défendent la position suivante : les problèmes et les difficultés auxquels font face les individus dans les organisations sont des effets de système. Leurs arguments remettent en question les travaux associés à l’école des relations humaines. Ces sociologues considèrent que l’analyse des

surveille de près l’exécution des tâches Prise de décision : Le leader prend les décisions (« Je » décide) Mots-clés : Organisation – Planification – Contrôle Style 2 – Persuasif Rôle : Mobiliser Attitude du leader : Le leader donne des instructions précises et surveille de près l’exécution des tâches, mais il explique ses décisions, sollicite les suggestions et encourage les membres de son équipe Prise de décision : Le leader prend les décisions (« Je » décide) Mots-clés : Explication – Persuasion

futures, pour cela ils utilisent des données plus ou moins récentes (au mieux mises à jour quotidiennement). Les systèmes décisionnels plus avancés gèrent des données plus fraîches (certaines sont mises à jour en quasi temps réel), automatisent des décisions et supportent en temps réel des opérations (centre d’appels, web par exemple). CCB Michel Bruley 2/37 Du pilotage stratégique à l’intelligence économique Le pilotage stratégique beaucoup de monde en parle, mais peu d’entreprises savent