Probleme Du Progres Technique

exogènes (facteurs qui ne dépendent pas de la sphère économique). Essentiellement la croissance démographique (population augmente -> offre du travail augmente) et du progrès technique exogène (dépend du progrès scientifique). 1) Les rendements chez Solow C’est un néoclassique (1970). En l’absence de progrès technique, le capital (associé à un nombre fixe de travailleurs) est de moins en moins productif à mesure que ce facteur de production est accumulé dans l’économie (doc 1). Les

La technique est-elle ce qui accomplit l'homme ou ce qui le détruit ? Introduction : Comme le mot grec Techné, " art ", " habileté ", technique est d'abord synonyme d'art, au sens de savoir-faire, dont la mise en oeuvre permet d'obtenir volontairement un résultat déterminé. Ce savoir-faire peut dériver soit de l'expérience ordinaire et de l'imitation, soit de la connaissance des règles d'action codifiées, soit d'un savoir scientifique. A la différence de l'activité artistique proprement dite, dont

est un processus fondamental des économies contemporaines, lié notamment à la révolution industrielle, à l'accès à de nouvelles ressources minérales (mines profondes) et énergétiques (charbon, pétrole, gaz, énergie nucléaire...) ainsi qu'au progrès technique.2 Elle transforme la vie des populations dans la mesure où elle crée davantage de biens et de services. À long terme, la croissance a un impact important sur le niveau de vie (à distinguer de la qualité de vie) des sociétés qui en sont le cadre

européennes) ; La croissance des US grâce à la bulle internet (1990). En réalité, ce sont de fausses raisons, et le cœur du problème est structurel : les croissances de 2 puissances ne sont pas de même nature : l’une est « smithienne » (Europe), l’autre « schumpétérienne » (US), d’après l’historien Mokyr. Celle-ci « est portée […] par un renouvellement constant des techniques ». Ainsi, les US « déposent 2 fois plus de brevets que l’Europe ». Celle-là « indexe la prospérité d’une économie à la taille

l’instinct dicte ses faits, l’homme peut utiliser sa raison pour faire le mal et donc le faire gratuitement par plaisir. Rousseau veut dire que le progrès humain n’est pas univoque. La perfectibilité n’est donc pas synonyme de perfectionnement. C’est ici que la dimension négative de la culture apparaît. Le progrès technique n’apparaît donc pas comme un progrès moral. C’est sur cette thèse que Rousseau s’oppose à l’idéal des Lumières. II- Comment penser la diversité des cultures ? On remarque une

capitalisme) et éventuellement un progrès (exemple : la hausse du revenu par tête). Cela permet de différencier la croissance d’autres notions comme : L’expansion : Augmentation sur une courte période des principales grandeurs économiques Le progrès économique : La croissance est un changement qui peut être bon ou mauvais et en particulier selon les personnes concernées. La croissance peut parfois s’accompagner d’une augmentation des inégalités. La notion de progrès économique renvoie à la poursuite

Chapitre 4 : CROISSANCE, PROGRES TECHNIQUE ET EMPLOI Programme Notions essentielles Notions complémentaires Croissance, progrès technique et emploi Marché (de biens et services), salariat, salaire, coût du travail, marché du travail, chômage, précarité, flexibilité Rendements croissants, marché interne / marché externe du travail Progrès technique et emploi : des relations positives sur le long terme Le débat sur les relations entre progrès technique (=> Chapitre 2) et emploi est un débat

calculette. Les objets techniques non seulement étendent notre pouvoir, mais tendent aussi à réduire les inégalités naturelles et à tous nous placer sur un pied d'égalité : là où ils disposent d'une technique accessible à chacun, quels que soient leurs talents propres ou leurs dons de naissance, les hommes semblent partir avec des chances égales de succès. Or telle est la définition minimale que l'on pourrait donner de la justice : donner des parts égales à chacun. La technique, en ceci qu'elle permet

Comment l’interpréter ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21 Le déploiement de la stratégie de progrès 1. Les préalables au progrès permanent . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25 2. Le pilotage stratégique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

pour résoudre les problèmes de fonctionnement et augmenter l'efficacité de l'organisation et des actions. A partir du concept de « qualité globale » et des principes de base qui l'accompa gnent, l'auteur présente trois outils primordiaux pour la participation optimale des individus et des groupes, tous concernés par le développement de leur établissement. M. Menot se demande alors dans quelle mesure l'institution éducative pourrait développer une telle démarche de progrès. Abstract. As