Problemes Des Transitaires

communauté : ▪ L’office d’exploitation des ports, représentée par la Direction d’Exploitation du port de Casablanca ; ▪ L’Association des Agents Maritimes, Consignataires des navires et Stevedores du Maroc ; ▪ L’Association des Transitaires Agréés en Douane au Maroc ; ▪ L’Office National des Chemins de Fer ; ▪ L’Office Chérifien des Phosphates ; ▪ L’Etablissement Autonome de Contrôle et de Coordination des Exportations ; ▪ L’Association des Freight Forwarders du

Les membres de la communauté : L’office d’exploitation des ports, représentée par la Direction d’Exploitation du port de Casablanca ; L’Association des Agents Maritimes, Consignataires des navires et Stevedores du Maroc ; L’Association des Transitaires Agréés en Douane au Maroc ; L’Office National des Chemins de Fer ; L’Office Chérifien des Phosphates ; L’Etablissement Autonome de Contrôle et de Coordination des Exportations ; L’Association des Freight Forwarders du Maroc ; La Société Chérifienne

Les membres de la communauté :  L’office d’exploitation des ports, représentée par la Direction d’Exploitation du port de Casablanca ;  L’Association des Agents Maritimes, Consignataires des navires et Stevedores du Maroc ;  L’Association des Transitaires Agréés en Douane au Maroc ;  L’Office National des Chemins de Fer ;  L’Office Chérifien des Phosphates ;  L’Etablissement Autonome de Contrôle et de Coordination des Exportations ;  L’Association des Freight Forwarders du Maroc ;  La Société

risques, le risque commercial et le risque politique. L’impayé peut résulter d’un risque commercial et d’un risque politique. a) Le risque commercial : c’est le risque d’insolvabilité ou de carence de l’acheteur L’insolvabilité survient en cas de problème de trésorerie de l’acheteur par exemple s’il est en faillite. La carence de l’acheteur : non respect de l’acheteur à payer les créance. Le risque politique : 3 sous risques ; risque de guerre ; risque catastrophiquele risque de non transfert :

système TIR à long terme, des modifications plus profondes dans son application et dans les mécanismes gouvernementaux de contrôle et de coopération se sont avérées nécessaires. C'est pourquoi, en 1995, le Groupe de travail de la CEE-ONU des problèmes douaniers intéressant les transports (WP.30), soutenu par plusieurs groupes ad hoc d'experts, ont commencé à travailler sur une révision fondamentale du système TIR. L'objectif principal du plus important processus de révision jamais entrepris

années ; • La seconde partie fait état du diagnostic fonctionnel et organisationnel du secteur maritime. Dans cette seconde partie, l’étude présente les résultats d’une enquête menée auprès de 100 intervenants du secteur, pour déceler les problèmes qui minent le fonctionnement et l’organisation du domaine maritime; • La dernière partie donne un aperçu du fonctionnement et de l’organisation du secteur dans d’autres pays. Il est présenté de manière succincte le secteur maritime au Maroc

…………………………………...….. 18 II – DEROULEMENT D’UN EXPORT DE CASABLANCA A. Du lundi au jeudi ………………………………………………………….…... 19 B. A partir du jeudi ………………………………………………………………. 19 C. Le vend soir et samedi …………………………………………………….….. 20 III – LES PROBLEMES DU TRANSPORT A. Des fournisseurs peu coopératifs ……………….…………………….……… 20 B. les difficultés de communication ……………….……………………….…… 21 IV – LA CERTIFICATION ISO 9001 Un label de qualité : Présentation de l’ISO …….…….…………...……………….. 22

conclu de gré à gré entre professionnels du transport maritime Connaissement : c’est document matérialisant le contrat de transport maritime conclu entre un « chargeur » qui peut être l’exportateur ou l’importateur, lequel a souvent mandaté un transitaire et la compagnie maritime représentée en général par son agent. Conteneur : le conteneur peut se définir, d’une manière générale, comme une « boîte », ou caisse, généralement métallique, de forme parallélépipédique, de dimensions normalisées

n’est pas en reste des problèmes que rencontrent ces dernières et c’est pour cela que nous nous somme proposés à faire une étude sur son système de contrôle de gestion et de pouvoir envisager une solution. Cependant des différents travaux réalisés au sein de ce service nous avons pu relever plusieurs problèmes et de ceux-ci, il se dégage un problème général à savoir : «  LA NON PERFORMANCE DE LA FONCTION DE CONTROLE DE GESTION A LA GETMA GABON ». C’est l’étude de ce problème général qui a emmené

les TC 20’………………………………………….......48  Figure III.4 : Operations du chargement/déchargement du train………………………………………………49  Figure III.5 : Non respect des normes pour l’emplacement des TC…………………………………………...49  Figure III.6 : Les camions causent un problème de circulation à l’entrée du MEAD…………………….…...49  Figure III.7: Diagramme ISHIKAWA (MEAD)…………………………………………………………........53  Graphe III.1: Courbe ABC…………………………………………………………………………………......58  Figure III.8 : Répartition des zones au MEAD……………………………………………………………