Problématique Pour Fixation Du Prix Dans Les Hard Discount

marketing comme un ensemble de techniques et de méthodes et de traduire ce terme par commercialisation. II- Les quatre phases de la démarche marketing La démarche marketing est traditionnellement composée de quatre étapes : analyse-diagnostic, fixation des objectifs, choix des options stratégiques fondamentales, formulation et évolution du marketing-mix. Première étape, l’analyse-diagnostic : L’analyse externe est centrée sur l’étude du marché et de la concurrence .On y étudie les points suivants :

Plutôt que de le désigner par le terme de marché, ce livre lui préfère celui de territoire. Car le territoire évoque une configuration concrète qui ne se réduit pas aux seuls aspects de la dynamique économique, de la concurrence, de la formation des prix ou des préférences des clients. Le territoire, et l’action que l’entreprise conduit, s’enchâssent dans une société donnée, voire en modifient certaines caractéristiques. L’entreprise entretient des relations d’interdépendances et d’échanges avec de

Plutôt que de le désigner par le terme de marché, ce livre lui préfère celui de territoire. Car le territoire évoque une configuration concrète qui ne se réduit pas aux seuls aspects de la dynamique économique, de la concurrence, de la formation des prix ou des préférences des clients. Le territoire, et l’action que l’entreprise conduit, s’enchâssent dans une société donnée, voire en modifient certaines caractéristiques. L’entreprise entretient des relations d’interdépendances et d’échanges avec de

source de bienfaits : elle doit stimuler les entreprises et favoriser la croissance, dans l’hypothèse que les acteurs agissent rationnellement (les producteurs doivent chercher la marge la plus grande possible, les consommateurs doivent chercher le prix le plus bas possible). Pourtant elle est souvent connotée négativement dans les esprits. Johann Gottlieb Fichte, philosophe allemand du XIXe siècle, affirme par exemple que la concurrence est un état de guerre entre les individus, et plus exactement

processus continu Figure 7 : La typologie d’Anthony Figure 8 : Les trois phases du contrôle de H. Bouquin Figure 9 : Finalisation – Pilotage – Post évaluation Figure 10: Type de contrôle et conditions préalables (Ouchi 1979) Figure 11 : Positionnement prix d’un magasin Figure 12 : Structure des marges de la distribution en France Figure 13 : Niveau de marge arrière par catégories de rayons en France Figure 14 : Le cycle de vie du marché Figure 15 : Evolution des marges de la Distribution en France Figure

outils de travail collaboratif 23 A- Origine et raison 23 B- Définitions : 24 C- Les étapes du KM 25 D- Les objectifs : 25 E- Freins et perspectives 25 Le 28/01/2013 Suite chapitre 1 : l’information dans l’entreprise * La problématique de la qualité : coût-valeur Approche opérationnelle : Critères opérationnels : * Information fiable * Information objective * Information précise * Pertinente (méthode 3QOCP) * Information actuelle cad correspondre vraiment

décision varie en fonction du produit CATEGORIES D’ACHAT acheté Achat courant Achat réfléchi Achat spécialisé Exemples Alimentation Meubles Automobile Temps consacré Très faible Elevé Très élevé Fréquence d’achat Forte Faible Faible Prix Faible Elevé Elevé Rôle de la PLV Très forte Rôle du distributeur Faible Moyenne Elevé Faible Très élevé Type de bien Bien anomal Bien spécifique S. Mayol Bien banal cours de marketing + 28 2- Le processus de prise de décision  Les

implanter ses produits ? Le merchandising de gestion Le merchandising de séduction ou l’art de la mise en scène Les tendances qui s’affirment aujourd’hui 58 59 61 64 65 IV TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE 6 ■ Satisfaire le client à tout prix 67 68 68 69 71 71 72 74 Organiser les points de vente selon la logique des clients Les méthodes d’implantation Nouvelles implantations : les logiques d’univers Augmenter la qualité de service afin de fidéliser les clients Regarder l’entreprise

et « zappeur », en quête de sens, avec des attentes multiples : - d’abord et plus que jamais le prix. Ceci n’est pas antinomique de la possibilité de payer très cher un produit que l’on désire. Il s’agit ici du prix comparé d’un magasin à l’autre ou d’un produit substituable à un autre. L’incomparable n’a pas de prix. Par conséquent il devient de plus en plus important de savoir si l’on paye le juste prix, ce que les Américains appellent « to get value for your money » ; l’information la plus claire

chalandise d’une ville moyenne française : exemple de la ville de Sélestat (17 500 hab)............................................................................. 43 L’offre de produits équitables dans les 4 grandes surfaces principales (hors hard discount)............................................................................................................................... 43 Deux petits commerces de centre ville : un magasin Biocoop et un magasin ArtiPlano..............................