Problématique Sur La Flexisécurité

beaucoup utilisé cette relance keynésienne. Avec cette politique économique, la France se retrouve donc à l’opposé des autres pays qui l’entourent. V. Fait économique marquant et mise en perspective par rapport à la crise actuelle La problématique que nous suivrons est la suivante : Les acquis sociaux peuvent-ils être remis en cause sur le plan économique ? Nous avons choisi de traiter des avancées sociales constatées dans les années 1981-1986, puisqu’elles nous semblent être un point

19 C. L’ENTREPRISE, INSTITUTION CLE REGULIEREMENT RAPPELE A SES DEVOIRS ENVERS LA SOCIETE 19 V. PROBLEMATIQUES ET ENJEUX 19 A. INSTITUTIONS MATTER 20 B. LA GLOBALISATION FINANCIERE MET ELLE FIN A LA DIVERSITE DES CAPITALISMES ? 20 1. LA GLOBALISATION FINANCIERE 20 2. LA CRITIQUE DU MODELE ANGLO SAXON 21 3. POURQUOI LA FRANCE N’ADOPTE T ELLE PAS LE MODELE DANOIS DE FLEXISECURITE ? 21 I. DEFINITIONS ET NOTIONS CLES 1. CAPITALISME Mode d’organisation économique fondée sur la

incorporé par leurs employés. Les salariés, maintenus dans l’entreprise en période de ralentissement de l’activité, peuvent voir leur temps de travail augmenter à nouveau au moment de la reprise. La flexibilité du marché du travail renvoie aussi à la problématique de l’activation des dépenses passives, qui consiste à envisager des dispositifs permettant à la fois d’assurer aux chômeurs un revenu de substitution et de favoriser leur réinsertion sur le marché du travail : le chômage est une période de recherche

nombre de travailleurs pour le niveau de production désiré. Apparition du courant des relations sociales de 1940 à 1980. Les salariés étaient invités aux côtés des dirigeants pour trouver des stratégies pour être plus productif. On émergé des problématiques portant sur les conditions, la santé, la sécurité au travail. Ces thèmes n’existaient pas au temps du taylorisme. Apparait donc la dimension stratégique, valoriser le salarié pour qu’il donne le meilleur de lui-même. Le salarié n’est plus là au

main-d’œuvre à l’intérieur d’une même entreprise ou au sein d’un même établissement. De même, ces notions sont également en lien avec des débats plus généraux touchant la flexisécurité et le prolongement de la vie active. Plus largement, les notions d’ancienneté et de protection des emplois sont mobilisées sous le thème de la « flexisécurité» dans le domaine des politiques publiques, croisant à la fois l’assouplissement des règles en matière de droit du travail et la sécurisation des trajectoires professionnelles

Le modèle suédois La problématique que nous nous sommes posées est la suivante : le modèle suédois est-il un modèle parfait pouvant être adopté par les nations européennes dans la situation de crise que nous connaissons actuellement ? Nous commencerons par un historique économique et politique de la Suède. Puis, nous présenterons les caractéristiques de ce modèle et les raisons pour lesquelles il serait difficile de l’appliquer à l’étranger (PLAN). I. HISTORIQUE Pour traiter de ce sujet

un nouveau projet : la formation professionnelle tout au long de la vie, comprenant de nouveaux droits, l’idée de professionnalisation, et de nouveaux mécanismes. La réforme de la réforme promise pour 2008 s’engage un plus vers une logique de « flexisécurité » liant plus étroitement formation et emploi, dans des logiques de parcours professionnels, où le salarié est amené à être acteur de son développement professionnel (Parlant in Personnel 2008 p75) Brucy, Caillaud, Quenson, et Tanguy (2007), se

d’emplois ont été créés au cours des deux dernières années et, selon la Commission, 5 millions de postes supplémentaires devraient l’être d’ici à 2009. La moitié des États membres environ ont élaboré des politiques fondées sur le principe de “flexisécurité” ou s’y attellent. Des politiques actives du marché du travail sont de plus en plus mises en œuvre ; l’introduction de contrats de travail plus souples (par exemple, pour les primoarrivants sur le marché de l’emploi) a contribué à fluidifier les

(baby-sitting, gardien,etc.) => dans certains secteurs, il n'y a pas de concurrence directe entre la médiation technique et le travail humain (qui est un travail d'expertise) Désormais, la séparation entre un bien et un service devient parfois problématique : → on parle de production jointe (ex : téléphone ou service ?) → achat du bien souvent lié au service (SAV, comparateur de prix, conseil...) → de plus en plus de B&S incorporant le progrès technique → La secondarisation du tertiaire → de

une interdépendance entre structure et conjoncture, ce qui est une façon possible de tenter de concilier les deux paradigmes fondamentaux de l'économie politique: la vision court termiste keynésienne et la vision long termiste néoclassique. Les problématiques envisageables peuvent être: ● Quelles sont les répercussions des différentes politiques économiques de la puissance publique sur l'activité économique? ● L'Etat a-t-il eu et/ou a-t-il encore les moyens de contrôler efficacement le marché? 2