Procès de l'ordre du Temple

féodalité) ayant fait l’objet d’une réactualisation, ces droits féodaux ne correspondent plus à un service rendu, et sont vécus comme une injustice dans la population. Ces droits féodaux tout le monde en réclame la suppression en 1789, ce qui fait que l’ordre de la Noblesse est politiquement faible bien qu’il soit privilégié. Les Rois se sont toujours méfiés de la Noblesse dans l’AR, elle n’a plus d’utilité sociale et n’a pas plus de rôle politique. Quant au Tiers Etat, c’est tout le reste de la population

composé de règles régissant une société laïque mais voulues ou données par la divinité. Si le droit mésopotamien invoque le patronage des dieu (donné par dieu), il n'est nullement un droit religieux. Il est bien question dans ce droit de prête et de temples, mais uniquement pour précisé le statut de ces derniers, éventuellement leurs privilèges. Rien dans ces textes ne concerne donc la pratique religieuse, les croyances ou les rites. Le droit est donc fait pour les hommes qui ont une religion, mais celle-ci

l’Empire d’Orient. 380, édit de Thessalonique : la foi chrétienne est imposé à l’Empire. 395, partage définitif de l’Empire en deux partes : avec Rome et Constantinople comme capitales. En Occident, invasions barbares (légende des oies du temple de Junon qui auraient réveillé les soldats et ainsi empêché les Gaulois de s’emparer du Capitole) ; sac de Rome 410 par les Goths d’Alaric. 476, destitution du dernier empereur d’occident. (Romulus Augustule encore jeune enfant) par Odoacre, chef

dominer l’objet matériel, maîtrise concrete)- la possession → Toutes deux directement exercées sur la chose par une personne. Les jurisconsultes romains ont développé 2 critères fondamentaux pour la définition de la chose en tant qu’objet de l’ordre juridique: 1) Les choses doivent être utiles (rpz bien et moyens apte à satisfaire les besoins et intérêts des particuliers) → Domaine du Droit privé : « ce qui regarde l’utilité de chacun, formant des biens, une fortune ou un patrimoine ». -

l'idée -aussi vieille que l'aspiration humaine à la justice au travers de l'égalité: Platon au Vème siècle, Mencius (Chine) au IVème siècle av. J-C, etc...-, le communisme d'opposition -qui du fait même de son radicalisme ne peut influencer largement l'ordre existant, et auquel on adhère souvent par idéalisme- et le communisme de pouvoir, qui accapare le monopole du politique partout où il l'a conquis, et s'en sert pour transformer profondément la société, l'économie et la culture. Dans ce cours seul

et l’Empire d’Orient. 380, édit de Thessalonique : la foi chrétienne est imposé à l’Empire. 395, partage définitif de l’Empire en deux partes : avec Rome et Constantinople comme capitales. En Occident, invasions barbares (légende des oies du temple de Junon qui auraient réveillé les soldats et ainsi empêché les Gaulois de s’emparer du Capitole) ; sac de Rome 410 par les Goths d’Alaric. 476, destitution du dernier empereur d’occident. (Romulus Augustule encore jeune enfant) par Odoacre, chef

concerne le retour des saisons qui garantit les récoltes dans ces sociétés hautement agraires. Ce pouvoir religieux s’exerce au travers de rituels auxquels il doit se soumettre lui-même. Il est garant d’une loi de toujours là et sa personne est sacrée. L’ordre hiérarchique du social, amené par le pouvoir théocratique du souverain, est lui-même pris dans une hiérarchie religieuse : les places distribuent une plus ou moins grande proximité avec le divin. Certains parlent et agissent au nom des dieux, connaissent

Nous avons dit que le mot et la chose sont modernes, et en effet aucune civilisation, aucun peuple, dans les temps écoulés, n'a entendu faire des restaurations comme nous les comprenons aujourd'hui. En Asie, autrefois comme aujourd'hui, lorsqu'un temple ou un palais subissait les dégradations du temps, on en élevait ou l'on en élève un autre à côté. On ne détruit pas pour cela l'ancien édifice; on l'abandonne à l'action des siècles, qui s'en emparent comme d'une chose qui leur appartient, pour la

les premier à penser le droit, à formuler une conceptualisation du droit, procède d'un mode mythologique. Poème « D'Homère » dans cette œuvre, personne clé, la déesse Themis, déesse de la justice. Justice immanente (révélé par les Dieux) Maintient l'ordre en empêchant les Hommes de tomber dans la folie. → Trois filles dont Diké, déesse du droit, traduit par des décision de justice (Humaine). Élément clé entre l'apport du divin et le droit passant par la médiation des Hommes, institution humaine.

La Vérité !!!!! On part du sermon que les témoins font dans les procès : « Je jure de parler sans haine et sans crainte, et de dire la vérité rien que la vérité » On pense souvent à des questions d’ordre théorique : quel est le type de vérité que revendique tel ou tel type de discours. Comment à l’origine le concept grec d’alétheia faisait ? Distinction entre la vérité et la véracité : pour illustrer cette distinction on peut partir de Kant : « D’un prétendu droit de mentir par humanité »