Processus cognitifs

de l’auditeur, surtout si l’exposé est trop long, trop général.  Faible pouvoir de rétention si le thème est mal cerné L’exposé ne fournit pas immédiatement à l’auditeur l’occasion d’appliquer les données qu’il a reçues Il ne développe pas le processus d’analyses, de raisonnement et de synthèse Mal ciblé, il risque de ne pas fournir les informations vraiment utiles. III. Les objectifs de l’exposé Convaincre/argumenter Expliquer Informer Sensibiliser Vulgariser/expliquer Fournir les éléments

poids idéal), se déplace qu'à l'aide d'un déambulateur ou d'un soignant et souffre d'une légère hémiplégie gauche, qui l'empêche de lever le bras gauche, suite à un AVC en Septembre 2013 Sur le plan psychologique : Mme K. présente des troubles cognitifs évoluant (démence vasculaire modérée) suite à son AVC, elle souffre également d'un syndrome dépressif, depuis le décès de son mari. De plus, elle est parfois confuse. C'est une personne qui nécessite d'être stimuler pour ses soins d'hygiène, elle

C. Jean-Paul. Le médecin coordinateur est le Dr J. Carole. 9) Ses antécédents Médicaux : - glaucome chronique ou dit à angle ouvert soigné par Cartéol 1%. - insuffisance circulatoire cérébrale traitée par Kardégic 75 mg. - troubles cognitifs et mnésiques traités par Tanakan 40 mg. - incontinence urinaire traité par Ceris 20mg. - syndrome de compression neurologique poste chirurgicale pour fracture de l’humérale gauche. - syndrome parkinsonien ou maladie de parkinson idiopathique

Chap. 7 les décisions et processus 1) Les problèmes de décision D’âpres les modèle classique du preneur de décision le décideur , évalue rationnellement tte les alternative avant d’effectuer son choix. Ce chois est exacte de contraint e et correspond a une stricte logique de maximisation du profil .cependant plusieurs théoricien de la décision on montré qu’au sein des organisation les décision son les loin d’être rationnel en raison de plusieurs facteur : information imparfaite,rationnalité

La vérité est une conformité à la réalité qui est le caractère de ce qui existe vraiment. Tandis que l'illusion est une perception fausse, une apparence trompeuse en dehors de la réalité. Ses deux termes s'oppose, l'un fait office de réalité alors que l'autre d'imagination. Vivre dans l'illusion, c'est vivre dans un monde imaginaire, de fantasmes et de désirs qui s'opposent à la réalité parfois brutale de l'existence, à la vérité d'un monde qui, s'il nous déplaît parfois, est pourtant le nôtre. Il

d’un fond mutuel. Ayant énormément appris sur la façon dont les individus se comportent dans la vie réelle, Kahneman et Tversky se sont concentré sur le processus de prise de décision sous les contraintes d’incertitude et de risque et à démontrer que les décisions humaines s’écartent systématiquement de ceux prédises par les hypothèses du processus de décision rationnel (les décisions peuvent être influencées par des facteurs externes) : leur travail constitue une révolution dans l’économie financière

cuir chevelu, des métastases cérébrales ainsi qu'une hémiplégie gauche. Le patient est arrivé dans le centre il y a 3 semaines. Ses capacités sont très limitées, il ne peut pas marcher, et utilise un fauteuil roulant. Le patient a des troubles cognitifs, et présente une désinhibition. Il communique sans difficulté, et je profite des soins de confort du soir pour discuter avec celui-ci. Le patient est jovial. Il prend plaisir à discuter avec moi et me le fait savoir. Il fait de nombreuses blagues

à manger, celle-ci semblait ne pas lui en vouloir, elle ne ce souvenait plus de ce qui c’était passer quelque heures plutôt. Questionnement : - Quelle attitude avoir face à un refus de soin d'une personne présentant une démence et des troubles cognitifs et du comportement ? - A partir de quel moment n'écoute t-on plus le choix des personnes lors d'un refus de soin ? A partir de quand son consentement n'est plus attendu ? 3 Difficultés et points à approfondir : Savoir argumenter face aux situations

biais psychologiques. Cette théorie considère que les individus ne sont pas rationnels puisque leurs décisions sont généralement affectées par des biais psychologiques. Ces biais sont classés en deux catégories : les biais cognitifs et les biais émotionnels. • Les biais cognitifs précisent que l’individu se base sur ses connaissances et sur ses croyances pour analyser l’information à sa disposition et dès lors, prendra des décisions erronées. Les recherches de Kahneman et Tversky montrent que les individus

fini par accepter de choisir avec moi ses vêtements et de prendre sa douche. Démence de type Alzheimer : maladie dégénérative qui détruit les cellules de façon lente et progressive ; cette maladie affecte la mémoire, (les faits récents) troubles cognitifs et comportementaux ayant un retentissement sur l’autonomie dans les actes de la vie quotidienne et le fonctionnement cérébral Négociation : Discussion entre deux personnes ou groupes de personnes que les idées opposent, en vue de trouver un terrain