Processus cognitifs

ces décisions nous paraissent absurdes mais quels sont les mécanismes, les processus collectifs, les raisonnements qui les construisent et qui poussent à agir contre le but fixé ? C’est à toutes ces questions que l’auteur répond par une analyse sociologique du comportement humain et social suivant trois aspects : cognitif, collectif et téléologique. Approfondissements L’auteur base son étude sur trois aspects : cognitif, collectif et téléologique et afin de rendre son analyse plus convaincante

déperdition de message dans une situation normale de communication d’où l’intérêt de fiabiliser la communication orale par un écrit et de limiter le nombre d’intermédiaires. L’émetteur : chez l’émetteur, les déperditions sont dues à différents processus : Il a une idée, il faut la coder et il est souvent difficile de trouver les mots pour exprimer la totalité de ce que l’on a en tête. Intervient aussi un mécanisme de défense inconscient « la rétention » qui fait penser que l’on ne peut décemment

UE 2.7 « Défaillances organiques et processus dégénératifs » Alzheimer Démence : définition Déficit global des capacités cognitives telles que la mémoire (mémoire récente [épisodique]) les fonctions exécutives (faire des projets, organiser, calculer, avoir pensée abstraite) le langage (aphasie = manque du mot) les praxies (apraxie = incapacité à réaliser une activité motrice malgré des fonction motrices intactes) les gnosies (agnosie = incapacité de reconnaître des objets malgré

la résolution de problèmes, la perception ou l'attention. Plus généralement la cognition se définit comme l'ensemble des activités mentales et des processus qui se rapportent à la connaissance et à la fonction qui la réalise. La psychologie cognitive part du principe que l'on peut inférer des représentations, des structures et des processus mentaux à partir de l'étude du comportement. Contrairement au béhaviorisme, elle défend que la psychologie est bien l'étude du mental et non du comportement

Le processus de prise de décision en entreprise Que ce soit une stratégie ou une gestion courante, l’entreprise doit continuellement faire des choix en fonction de ses objectifs parmi plusieurs possibilités d’action. Ces choix sont faits à tous les niveaux de l’entreprise autant pour des choix de stratégie, d’organisation, de gestion courante… Les décisions sont classées en fonction de leur horizon temporel (court, moyen ou long terme), de leur degré d’incertitude (avenir certain, incertain ou

que « l’investisseur n’est pas totalement rationnel ». Dune part ses choix peuvent être influencés par des routines mentales soumis à des erreurs de jugement systématiques appelées « biais cognitifs », ou à des facteurs émotionnels comme la peur ou l’excès de confiance. On trouve dans les biais cognitifs les plus courants « le cadrage » ne voir qu’un aspect du problème et « l’ancrage » se fier à la première impression. Cet état de fait permet de ne pas hésiter éternellement quand il s’agit de

Entreprise | Gestion de portefeuille Rapport | Finance Comportementale | Sommaire Introduction Partie 1 : Travers comportementaux de l’investisseur…………………….. (Pages 4-7) 1. Déficiences cognitives : 2.1. Biais cognitifs individuels 2.2. Biais cognitifs collectifs 2. Biais émotionnels : 3.3. Biais émotionnels individuels 3.4. Biais émotionnels collectifs 3. Conduites automatiques et réflexes inappropriés  Partie 2 : Apparition de la finance comportementale………………

limitée = l’être humain ne raisonne pas de manière rationnelle comme le voudraient les économistes ou les mathématiciens, choisir la solution qui est optimale, non pas du tout l’être humain cherche la solution satisfaisante. Nous sommes des paresseux cognitifs. On met en place des stratégies pour minimiser notre investissement intellectuel dans la prise de décision, pour automatiser le traitement de la décision. Savoir décider : une compétence essentielle depuis l’antiquité Tragédie : dilemme « Antigone »

(amnésie) qui se manifestent initialement par des distractions mineures qui s'accentuent avec la progression de la maladie, tandis que les souvenirs plus anciens sont relativement préservés. Ensuite, les symptômes se traduisent par des troubles cognitifs plus sévères (confusions, troubles de l'humeur et des émotions, des fonctions exécutives et du langage) allant jusqu'à la perte des fonctions autonomes et la mort. La vitesse et l'évolution de la maladie sont variables d'un individu à l'autre

pluridisciplinaire La Commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapées La prise en charge financière des soins Sigles Liens 45 47 49 Introduction « Dys »… Derrière ces trois lettres sont regroupés différents troubles cognitifs : dyslexies, dysphasies, dyscalculies, dyspraxies, dysorthographies, troubles de l’attention… Ces troubles spécifiques ne se laissent pas facilement définir. On décrit souvent ce qu’ils ne sont pas, plutôt que ce qu’ils sont. On leur associe le terme