Procter Gamble Stratégie Internationalisation

et non plus des seules décisions stratégiques d’une firme isolée. Aussi, le besoin d’informations ne concerne plus uniquement les clients et leurs attentes, mais de plus en plus l’ensemble des parties prenantes impliquées dans la chaîne et leurs stratégies, de façon à maîtriser au mieux l’incertitude et le risque lié. Plan Qu’est-ce que le SCM? * Concept clé * Approche sémantique * Evolution du concept * Flux impliqué dans la chaîne logistique Pourquoi la « Supply Chain » ?

Caractéristiques D. Croissance E. Sa position à l’étranger II. Présentation du marché A. L’offre (les concurrents) B. La demande (les clients) C. L’environnement (macro-environnement) III. Domaine d’activité stratégique IV. Stratégies actuelles A. Etre présent sur tous les secteurs de la cosmétique B. Offrir aux marchés des produits innovants C. Devenir un acteur majeur à l’international D. Exploiter des nouveaux canaux de distribution E. Réaliser des alliances

- Dossier de Communication - ISEG PARIS PROGRAMME EXECUTIVE Problématique : Comment Publicis Groupe, grâce à sa stratégie, a-t-il put marquer l’histoire de la publicité ? Estelle Gayout, Maud Kayat, Sarah Mroué EXE 3 Groupe 1 1 - Dossier de Communication - SOMMAIRE I. LA PRESENTATION DU GROUPE A. L’HISTORIQUE B. LES DIFFERENTES BRANCHES C. STARATEGIE DE L’ENTREPRISE D. PUBLICIS A L’INTERNATIONALE p4 p 5 p 8 p 9 p 11 II. L’ANALYSE DU MARCHE A. LE MARCHE EN LUI-MEME B. LE

de la prévision de la demande : depuis la crise, on a du mal à prévoir. Le risque s’est transformé en incertitude - Complexité du comportement du consommateur : volatilité, résistance. - Coût de lancement des produits. - Internationalisation des entreprises. I. Sélection du marché extérieur |Coefficient de pondération| |Pays cibles | | |

public lui apporte. Elles font parties de l’ADN de la marque. Ces valeurs comptent pour les publics internes/externes. Il est essentiel qu’elles qualifient le comportement dans l’entreprise qu’elle reflète sa proposition de marque. Lors de la stratégie de marque il est indispensable de se demander comment les valeurs peuvent étayer le positionnement choisi et asseoir sa place sur le marché. Exemple : une marque traditionnelle aura plus d’intérêt à jouer sur héritage, qualité, plutôt que drôle

Stratégie générale I – Finalité et objectifs de l’entreprise. 1 – Terminologie. On va distinguer finalité / objectifs / stratégies : La finalité est de nature idéologique et générale, on peut l’assimiler à un but. Les objectifs sont les traductions opérationnelles de la finalité. Les stratégies traduisent les moyens à mettre en œuvre pour atteindre les objectifs. Il s’agit d’une hiérarchie, la finalité tout en haut, les objectifs au 2ème niveau et tout en bas, les stratégies

ALBANE, JEAN-CLAUDE BIGUINE, FRANCK PROVOST, CARITA, les franchisés du secteur de la coiffure sont également présents. YVES ROCHER : En moins de dix ans de présence, la marque a ouvert 48 magasins en franchise à travers le Maroc. Procter & Gamble, Pierre Fabres, Unilever, Johnson & Johnson, Gillette, Colgate, Palmolive : Ces multinationales présentes au Maroc ou sous licence dominent le secteur de l’industrie locale des produits de grande consommation, notamment les shampoings

années soixante-dix, les firmes multinationales (MN) ont développé des stratégies dont l’un des effets majeurs – par rapport à la thématique de ce colloque – a été de les émanciper de façon croissante des contraintes de localisation sur un territoire donné, national, régional ou local. Cette déterritorialisation des MN est passée par plusieurs phases, pas seulement au sens chronologique, mais aussi du point de vue des stratégies menées par ces firmes. Par conséquent, en une date donnée coexistent des

milliards d’€) et près de 70% de son résultat. De la maison Cartier, Vendôme, s’est constitué le groupe Richement autour des métiers de la bijouterie joaillerie et de la haute horlogerie. Face à ces groupes à stratégie mondiale, des acteurs de taille « moyenne » se sont lancés, également, dans une stratégie d’acquisitions : Prada avec les créateurs Azzedine Alaïa, Jil Sander et Helmut Lang et le chausseur anglais Church’s ; Chanel avec ses fournisseurs de haute couture pour maintenir et développer ce secteur

sensibles à la notion de rapport qualité/Prix. En France, le luxe est toujours français, anglais et Italien ; Georgio Armani, Ferre et accueille les Japonais dont le chef de file est Kenzo Takada. * 1980-2000 : l’économie est mondiale, il y a internationalisation des échanges, développement des centres de production. * En France, le luxe est Français, Italien, Japonais, Allemand (Escada, Lagerfeld, Jil Sender), Américain (Calvin Klein, Ralph Lauren, Donna Keran) et voit l’essoufflement des influences