Profit Marx Keynes Ricardo

influencèrent directement Ricardo (rôle de la monnaie, rente foncière), mais aussi Marx (qui le critiqua fortement) et Keynes. Say Pour lui, le principe de la valeur n’est pas le travail, mais l’utilité. Sa «loi des débouchés» qui, si elle explique les crises sectorielles, estime impossible une crise généralisée. Il explique cela en montrant que le producteur qui met ses produits sur les marchés a, pour réaliser sa production, créé des revenus (salaires, matières premières, loyers, profits) qui vont, globalement

humains sont illimités. On définira le besoin économique comme un manque qui peut être satisfait par l'acquisition ou la consommation de biens et services, sachant que ces mêmes biens et services sont produits en quantités limitées. John Maynard Keynes dans "Essais sur la monnaie et l'économie" (1930) distingue deux catégories de besoins : - ceux qui possèdent un caractère absolu, que l'on ressent quelle que soit la situation des autres individus; - et ceux qui ont un caractère relatif, que l'on

principalement sur les théories de Marx, ainsi que de Smith et Ricardo que l'on regroupe dans l'école classique. Adam Smith (1723,1790) influencé par le courant de la physiocratie de François Quesnay(1694, 1794), qui analysait l'économie du royaume agricole qu'était la France, dont il retint la croyance en un ordre naturel, fonda l'école classique (certains économistes y classent aussi Quesnay), dont l'apogée fut atteinte au début du XIXème siècle avec David Ricardo (1772, 1823). On regroupe ces économistes

(XVIIIe s. ) Les caractéristiques essentielles du libéralisme sont la propriété privée et la régulation de l’économie par le marché. Il y a deux sous-courants : les Classiques et les Néoclassiques. 3.1. Classiques Représentants : Adam Smith, David Ricardo, Thomas Robert Malthus, John Stuart Mill,(G-B) Jean- Baptiste Say(FR)… Ouvrages-clés : Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations (1776) A S, Des principes d’économie politique et de l’impôt (1817) D R Ils se distinguent

(nouveaux robots, etc.). II. Une croissance durable et équilibrée est – elle possible ? G) La réponse classique (économistes classiques) : Adam SMITH, « Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations » de 1776. David RICARDO, « Principes de l’économie et de l’impôt » 1819ème siècle. Pour ces deux économistes, la croissance n’est pas durable, elle est amenée à disparaître, à s’annuler dans un état stationnaire. Pour comprendre leur point de vue pessimistes, il convient

classiques pessimistes David Ricardo (1772-1823) « Des principes de l'économie politique et de l'impôt » (1817). David Ricardo va analyser la répartition entre les propriétaires fonciers, les capitalistes et les salariés. L'augmentation de la population donc de la demande rend nécessaire la culture de terres moins fertiles. Les prix du blé augmentent. La rente (en valeur dans le produit global) et les salaires augmentent. Les profits du capital baissent (le profit étant ce qui reste après paiement

pensée keynésienne 5. La controverse Keynes - Ohlin, Rueff et l’approche monétaire de la BP 5.1 La question des réparations allemandes et la solution keynésienne 5.1.1 Première phase : de la guerre au plan Dawes 5.1.2 Deuxième phase : la solution keynésienne 5.2 Les objections radicales d’Ohlin et Rueff 5.2.1 La preuve par les faits selon Rueff 5.2.2 L’analyse théorique d’Ohlin 5.3 La réplique de Keynes et l’issue de la controverse 6. La controverse Keynes - Hayek ou l’équilibre monétaire 6.1 Les

création d’entreprise. 3. Genèse de la croissance capitaliste selon Weber Cours effacé mais imprimé II) Une croissance durable et équilibrée est-elle possible en tout temps et en tous lieux ? Les classiques : ADAM SMITH 1776, DAVID RICARDO 1772 sont pessimistes quant à une croissance durable et équilibrée ; ils considèrent que la croissance est destinée à disparaitre progressivement, à s’annuler dans un état stationnaire : à cause de l’évolution de la répartition de la richesse nationale

EPARGNE=> INVESTIR => PRODUCTION -Offre = demande 2 théories s'opposent : 18eme siècle 19eme 20eme N.E.C classiques néoclassiques KEYNES néolibéraux libéraux WALRAS MIRDA FRIEDMAN SMITH MARSHALL RICARDO -les classiques, néoclassques, néolibéraux = >offre la base de la croissance JB Say : « l'offre crée sa propre demande » =>pour Keynes, la demande est la base de l'éco. « la production est la combinaison du facteur travail et du devoir capital » C*T=P evaluée en valeur

l’augmentation de la population implique l’augmentation de la demande de grain, donc la P° agricole augmente à son tour, mais les terres mises en cultures se heurte à des rendements décroissants. Donc on a une augmentation du coût de production. Selon Ricardo, le salaire peut varier en fonction de 2 choses: la loi de l’offre et de la demande des prix de denrées à l’achat ( que l'ouvrier consomme quotidiennement) Au final, les salaires augmentent, mais la rente va également augmenter. L’explication