Programme D Ajustement Structurel Marocain

facilités le touriste d’affaires est également en quête d’une structure d’animation au sein de la ville. L’organisateur d’un congrès ne choisira, dans certaines limites, de séjourner dans telles villes que s’il est sûr de pouvoir combiner dans son programme travail et loisirs. Ainsi, l’environnement social, culturel, sportif et commercial de la ville apparaît sous-forme de cinémas, théâtres, musées, centre culturels et sportifs et rues commerçantes. A part les restaurants d’hôtels, le visiteur peut

pays Figure 12 : Evolution des exportations des fruits rouges Marocaine. la 10 LISTE DES ABREVIATONS ORMVAG : office régionale de mise en valeur agricole du Gharb ORMVAL : office régionale de mise en valeur agricole du loukkouss APEFEL : Association des Producteurs Exportateurs des Fruits et Légumes ASPEM : Association des Exportateurs de Primeurs au Maroc CIF : Cost Insurance Freight (Coût Assurance et Fret) CMPE : Centre Marocain de Promotion des Exportations CNCE : Conseil National du Commerce

capacités de financement (les ménages). Les agents ayant des besoins de financement vont alors faire appel aux agents qui possèdent des capacités de financement : CAPITAUX (DETTES + ACTIFS FINANCIERS) Même si l’équilibre global est vérifié, les ajustements et régulations seront assurés par le système bancaire et le marché financier. On notera que l’accumulation, au sens de la comptabilité nationale, inclut :  les biens durables de production acquis ;  les variations de stocks de matières, travaux

FINANCES PUBLIQUES, AU SERVICE DU DEVELOPPEMENT I - EVOLUTION DU PHENOMENE FINANCIER : DE LA NEUTRALITE AUX FINANCES FONCTIONNELLES. A - LA NEUTRALITE FINANCIERE B- LES FINANCES FONCTIONNELLES II - LES PERIPETIES DES FINANCES PUBLIQUES MAROCAINES A - Les Finances Publiques avant le protectorat. B- les Finances Publiques sous le protectorat. C- Les Finances publiques depuis l'indépendance. TITRE I : LES REGLES DE LA GESTION BUDGETAIRE Chapitre 1 : les apports de la loi organique

l'opération d'assurance a été considérée comme immorale car elle développait la négligence et la notion de pari. De même que, le pouvoir d'achat limité de certaines couches de la population qui considèrent l'assurance comme un produit de luxe, réservé aux marocains issus de la classe à revenu élevé, constituait en partie un véritable handicap au développement naturel de ce secteur. 1 Ewald François, Lirenzi Jean-Hervé, "Encyclopédie de l'assurance", Economica, 1997 : Albert Michel "Le rôle économique et

bancaire marocain toujours plus concentré 8 1. Un potentiel de développement encore très important 8 2. Une présence marquée des banques étrangères 8 3. Le secteur bancaire marocain se partage en quatre catégories d’établissements 8 4. Un secteur toujours plus concentré 9 II. Le secteur bancaire : Source essentielle du financement externe de l’économie locale 9 1. Après l’autofinancement, les concours bancaires demeurent la principale source de financement de l’économie marocaine 9 2. Une

7 septembre 2010 Membre du jury :Serge Miquel Table des matières Introduction . . 4 5 6 Première partie : Quel cadre d'analyse pour la coopération décentralisée franco-marocaine dans la gestion de la ressource en eau? . . 11 Remerciement . . Sigles . . Chapitre 1 : Quelle coopération décentralisée franco-marocaine pour quelle coopération décentralisée dans le domaine de l'eau? . . I) La coopération décentralisée : un phénomène en perpétuelle évolution . . II) La coopération décentralisée

répercussions ou conséquences de la crise A- Indicateurs d’amélioration de niveau de vie 1. Taux de croissance réel par habitant 2. PIB par habitant B- Indicateurs économiques 1. Taux de chômage 2. Solde migratoire, y compris des ajustements 3. Taux d’épargne C- Indices de prix à la consommation 1. Taux d’inflation annuelle 2. L’évolution des prix Immobiliers 3. Taux d’investissement Chapitre 5 : Les politiques prévues et appliquées de lutte contre la crise Plan

recherche CNRST-Homologues III .2.7. Projets MENA III.3. Coopération internationale multilatérale III.3.1. Programmes européens PCRD III.3.2. Coopération avec l’AUF III.3.3. Coopération avec l’IRD III.3.3.1. Programmes de coopération III.3.3.2. Jeunes équipes de recherche III.3.3.3. Mobilité III.3.3.4. Bourses de Doctorat III.3.4. Réseau mondial des matériaux III.3.5. Projets TEMPUS III.3.6. Programme Erasmus Mundus IV. Valorisation de la recherche IV.1. Contexte IV.2. Les structures IV.2.1. Interface

...................................................................................... 4  I.1.3. Discours du 20 Août 2011 ............................................................................................................... 4  I.2. Le programme du Gouvernement............................................................................................................ 4  II. AXES PRIORITAIRES DU PROJET DE LOI DE FINANCES ............................................................ 5  II.1