Progrès social

Chaque découverte scientifique, chaque innovation réalisé, chaque élément de modernité inventé ont leurs défenseurs et leurs détracteurs. L’homme a t’il encore le choix devant le progrès ? Doit-il refuser ou laisser faire? Aujourd’hui la recherche et un des plus grand débat. Le progrès qui s’exprime aujourd’hui dans tant de domaines offre t ’il seulement des avantages et aucun inconvénients ? Le monde n’était t’il pas aussi bien quand les gens s’éclairaient avec le feu, se soignaient avec les plantes

soient restés, ratifient l’idée de conservatisme puisque même les mots de Vania refusent d’être altérés. Par cette formule, il veut aussi que les singes retournent vivre dans les arbres comme ce fut le cas auparavant et qu’ils cessent toutes formes de progrès pour revenir en arrière. Son apophtegme est empreint d’une tonalité didactique qui vise une morale, un avertissement. Par le ton qu’il emploie, il cherche à les avertir que d’avoir quitté leurs précédentes habitudes et valeurs, est un geste dénaturé

lancer son espece dans l'évolution en lui fesant découvrir de nouvelles invention ("aux potentiels prodigieux") comme le feu. On rencontre aussi Vania, frère du précedent qui lui est plutot refractaire au progres et cherchera toujours à contredire son frère tout en profitant des nouveaux progrès. Sa rengaine habituelle : "Back to the Tree !". l'idée géniale de Roy Lewis, c'est de faire parler et reflechir ces hommes préhistoriques avec un langage contemporain et plutot soutenu. D'ailleur, les noms

Introduction : Le développement des techniques a été vu comme un progrès pour l'homme et sa civilisation. Il a permis à l'homme de s'améliorer, de créer de nouvelles choses, et donc de la rendre plus libre puisqu'il a su dominer la matière et la comprendre pour progresser. Cependant le progrès est un processus que l'on n peut pas arrêter sinon la nature prend le dessus et tous les efforts fournis pour la dominer sont alors réduits à néant. Ainsi sur ce point de vue on peut voir que le développement

parce qu’elle permet l’accès à la vérité et au progrès qu’elle se situerait au dessus des lois de la morale. Cependant n’est-ce pas justement parce que la science rend possible des applications techniques que l’on se doit de la mettre en question ? de lui imposer un jugement de nature moral ? Le débat concernant l’inclusion de la morale en science prend une dimension de plus en plus importante, son évolution est proportionnelle à l’évolution du progrès scientifique. Nous allons voir dans qu’elle mesure

limitent et/ou contrôlent la production, les débouchées, les progrès techniques, les innovations … Limite l’accès au marché à d’autres entreprises. 4 Attention : un accord entre plusieurs entreprises n’est pas interdit si l’atteinte portée au jeu de la concurrence n’est pas assez conséquent par rapport au marché concerné. Enfin, certaines entreprises ne sont pas sanctionnées si elles peuvent justifier que leur accord a pour finalité le progrès économique par la création d’emplois et que le profit

ESSAI : Russel affirme :  « On a l’habitude de dire que dans notre époque où règne la machine, il y a moins de place qu’autrefois pour la joie. » Pensez-vous que le progrès scientifique et technique ait rendu l’homme plus malheureux qu’il n’était ? La problématique : Le progrès scientifique et technique a-t-il rendu l’homme plus malheureux qu’autrefois ? Plan : Partie A : Thèse : Dans notre époque où règne la machine, il y a moins de place qu’autrefois pour la joie. Les arguments : -Le machinisme

Les techniques de chasse gagnent en efficacité, car le feu offre la possibilité de durcir la pointe des pieux de chasse. Enfin, progrès inestimable en vérité, le feu, toujours lui, permet de cuire les aliments. Plus que le goût ou l’aspect sanitaire, c’est surtout le gain de temps pris sur les longues heures de lente mastication des gigots d’éléphants qui marque un progrès. Les soirées près du feu s’ouvrent à un nouveau type d’activité : la réflexion, et l’introspection ! L’oncle Vania, frère d’Edouard

Faut-il, selon vous, condamner le progrès ? Le 8 août 1945, Albert Camus écrivit dans Combat « Il va falloir choisir […] entre le suicide collectif ou l’utilisation intelligente des conquêtes scientifiques.» Il fait, bien sur, référence à la bombe atomique qui éradiqua Hiroshima deux jours plus tôt. La balance des avancées oscille sans cesse entre espoir et désillusion. Sommes-nous nostalgiques de nos connaissances passées ? Devons-nous blâmer le perpétuel progrès ? Il faudrait mettre en exergue

historique et un changement dans les mentalités et donc un dépassement de la tradition : On peut affirmer que nous la vivons maintenant comme une réalité avec tous les progrès qu’elle apporte : essor prodigieux des sciences l’accès à la modernité ne peut se faire que si l’on bénéficie réellement de ses outils : culture moderne, progrès et urbanisme…  L’aspiration à la modernité va être traduite par beaucoup de poètes. La poésie fait l’éloge de la ville avec Apollinaire dans « Zones » ou l’expression