Progres Technique Et Inegalites Dans Les Années 60

apprentissages techniques et à l'âge - l'adolescence - où s'affirment les identités sexuées. Elles tendraient donc à s'autoéliminer des filières où dominent ces matières. Les enseignants renforceraient ce mécanisme en imputant leurs difficultés dans ces matières à leur absence de dons, celles des garçons au manque de travail. L’inverse est observé dans les matières littéraires connotées comme féminines. Baudelot et Establet se réfèrent à la théorie de la reproduction des inégalités sociales par l'école

mondiale La croissance économique prend son essor en Europe vers la fin du XVIIIème siècle, même si les prémices remontent au XVIème siècle. Ce n’est qu’à partir de cette période que l’Europe, et à sa suite le monde, va mettre le principe d’un progrès indéfini dans la production de la richesse matérielle. Si aujourd’hui ce schéma paraît à bout de souffle notamment en raison de l’épuisement des matières premières. Celui-ci va marquer pour longtemps l’orientation du monde, à la recherche d’un cadre

IMMIGRATION ET INTEGRATION Introduction : Des le début de l’humanité, les migrations ont joué un rôle essentiel dans la diffusion des techniques, des religions et des cultures. Elles ont été le facteur fondamental qui a permis le développement des contacts entre les hommes, le brassage des peuples et les métissages. Dans l’antiquité, c’est grâce aux migrations que les grandes civilisations ont pu s’épanouir, dans le bassin méditerrané ou en Asie. Malgré tout, il ne faut pas oublier que c’est

précisement la terre, inventorier la faune, la flore, le lieu. De l'Antiquité jusqu'à maintenant on distingue 3 types de connaissances géographiques : la géographie descriptive : nommer, localiser, inventorier le monde. La géographie technique : cartographier le monde : le mesurer et le représenter. La géographie analytique : réflexion, comprendre l'organisation du monde. La géographie descriptive a) Description des lieux, description historique. L'Antiquité grecque.

concurrence des marchés ont poussé nos industriels à revoir leur compétitivité et pour cela se tourner vers des conductions de production plus avantageuses, autrement dit vers des pays pratiquant de bas salaires. La délocalisation fut amorcée dans les années 60, d’abord développée dans les secteurs de grande consommation et à fort contenu de main d’oeuvre, elle s’est ensuite élargie avec la mondialisation vers d’autres secteurs. Mais à l’heure actuelle, d’un point de vue plus territorial, comment nos entreprise

année du premier choc pétrolier, l’énergie est devenue un problème d’actualité. Elle est au cœur de nombreux débats, voire même de batailles pour l’accès aux sources, la maîtrise des marchés et des prix, le contrôle des réseaux, la réduction des inégalités entre les territoires et les hommes, le développement durable et même la survie de l’humanité. Face aux nouvelles préoccupations écologistes et la mise en place du protocole de Kyoto, comment envisager cette relation dans l’avenir ? Le protocole

INTERNATIONAUX I. LES EVOLUTIONS DU COMMERCE MONDIAL A. L’accroissement des échanges internationaux a) Une croissance importante Depuis 1955, le commerce international de marchandises a été multiplié par 30, les exportations par plus de 60. Les flux d’exportations augmentent en moyenne 2 fois plus vite que les flux de production. D’une internationalisation progressive des échanges de marchandises et de service, on est passé à une mondialisation des capitaux (globalisation financière)

L’industrialisation est un processus de longue durée au cours duquel l’industrie devient la principale activité économique. Elle a commencé en GB à la fin du XVIIIe siècle. Dans les années 1830, l’industrie apparaît en France et en Belgique, puis dans les années 1850 en Allemagne et aux Etats-Unis. Enfin, dans les années 1870, de nouveaux foyers industriels se créent dans le reste de l’Europe, en Russie et au Japon. L’industrialisation a été le point de départ d’une accélération de la croissance économique

l'économie informelle par exemple. On ne tient pas compte de la dimension qualitative de la croissance. Elle se distingue de l'expansion qui est un accroissement temporaire de quantités économiques lié à des mouvements courts. Le progrès quant à lui inclut l'idée de progrès et sa finalité, autrement davantage de satisfaction, des besoins individuels ou collectifs des individus. Certains différencient la croissance du dvlpt qui désigne l'ensemble des transformations des structures mentales, technologiques

Commission sur la mesure de la performance économique et du progrès social Croissance et développement L’observation de la réalité sur la longue période met en évidence la présence de quatre phénomènes : 1. une augmentation de la dimension économique, 2. des changements structurels, 3. des changements dans l’organisation, 4. des progrès économiques et sociaux. Tout ceci mêle des progrès quantitatifs et des transformations qualitatives. Le progrès matériel dans la satisfaction des besoins s’accompagne