Proie

il plane en alti- tude afin de repérer une proie volant plus bas. Puis il plonge en piqué et la percute avant qu'elle ne se rende compte du danger. 1.Comment l'énergie potentielle de position du faucon évolue-t-elle lorsqu’il plonge vers sa proie ? 2. Quelle conversion d'énergie réalise-t-il principa- lement lors de son pique ? 3. Expliquer alors, en termes d’énergie, pourquoi le faucon pélerin volant haut dans le ciel possede un avantage sur sa proie située plus bas.

de la lourdeur de la diérèse poursuivie par “erre” et “sans repos” · Le chat et le poète similitude “gouttière” et “litière” rapproche l’image du chat à celle de l’ame du poète: chat devient symbole du poète en proie au spleen: maladie, errance, sans repos, incapacité è Le poète en proie au Spleen prend le pitoyable aspect d’un chat malade, qui rend l’idée de l’incapacité du poète à sortir de cette condition 3. Premier Tercet Descriptions d’objets · Caractère morbide des objets caractérisation

partie nous allons nous intéresser au fait que Valentine est supérieure à Gaston et comment elle se positionne en tant que chasseuse. Cet extrait montre comment clairement la supériorité et le rôle de chasseuse que Valentine a face à sa proie Gaston. On peut le constater grâce à plusieurs éléments. Tout d’abord il y a des répétions d’« d’éclats de rires » de Valentine comme par exemple dans la première ligne où elle dit « j’ai envie de rire ». Cela montre donc que Valentine se moque de

v. 3 et 5. Ici, il attaque : « tu fonds sur mon âme » Tout est résumé vers la fin du poème : « la nature entière » : l'épithète « entière » renvoie à une nature globale. B. La chasseur chassé Mais très vite, le poète devient à son tour la proie : -utilisation de verbes de fuite : « je me débats, je fuis, je crains », aux vers 5 et 6. On note la rapidité à laquelle se suivent ces verbes dans le poème, afin de donner l'impression de rapidité dans la fuite. Le même effet est rendu au vers

Confirme le 1er. Prison, isolement. - 3ème quatrain : Métaphore significative, forte et claire. Pluie = immense prison, vaste (v.10) d'abord extérieure au poète en proie au spleen, finit par être intérieure. Prison physique → prison psychique. « Filet au fond de nos cerveaux » (v.12). Météo montre délire intérieur. Devient gibier, une proie pour le spleen. Enfermement au sein de la nature. => Images qui expriment ce qu'il se passe à l'intérieur, au delà de la réalité perceptible. Tous ces éléments

L’œil de l’aigle : L’aigle n’a pas d’odorat. Sa perception du monde passe donc par l’utilisation d’un système optique très efficace. L’aigle a une vision basée sur la précision, pour pouvoir discerner sa proie au sol lorsqu’il est en vol. L’aigle possède des yeux relativement fixes sur leurs orbites, comme tous les oiseaux. Pour compenser ce désavantage, son cou est très mobile. Contrairement aux autres oiseaux, voire aux autres animaux, ce rapace diurne (qui vit la journée) a un champ de vision

grâce aux retrouvailles émouvantes d’Oreste et de Pylade qui lancent le mécanisme tragique. L’échange entre les deux personnages nous renseigne à la fois sur les rouages de l’intrigue et la tonalité tragique de la tirade révèlent un personnage en proie à des émotions exacerbées. La tirade d’Oreste est riche en informations. Le contexte historique et politique est lié à la Guerre de Troie. Aux vers 67 à 72, les Grecs se plaignent de Pyrrhus parce qu’il maintient en vie Astyanax. Officiellement

les sentiments contradictoires qui la traversent et son irrépressible désir de vengeance. [Lecture]. Il s'agira pour nous de montrer en quoi ce monologue apparemment délibératif permet en fait au dramaturge de dresser le portrait d'un personnage en proie à des passions qui font de lui l'incarnation monstrueuse du mal le plus absolu. Développement :=> Vers 1 : Au début de son monologue délibératif, Médée s'adresse à « [s]a vengeance » personnifiée (allégorie). La prosopopée rend « vraisemblable »

cette terrible révélation incestueuse qui vient briser l’innocence de sa relation fraternelle et qui le terrasse. Et plus tard, il est l’objet d’ attaques passionnelles : « mes passions [...] se précipitèrent sur cette première proie avec fureur » . L’emploi du mot « proie » renforce cette idée de victime. Enfin, René se dit totalement soumis à la volonté de Dieu qui lui a « envoyé Amélie pour [le] sauver et [le] punir ». C’est dans la fin du texte que le héros semble en dernier recours vouloir

Charles Baudelaire : Spleen Ce texte de Baudelaire, bien que plutôt déprimant aux premiers abords, reste mystérieux et cache de nombreux aspects différents. Dans une première partie nous évoquerons la montée de la crise, puis la défaite de l’esprit en proie au spleen. I. La montée de la crise 1) Une lente progression vers l’inexorable Tout d’abord on note que les quatre premiers quatrains développent une seule phrase qui progresse avec trois subordonnées (3 quand) et aboutit à un paroxysme dans la proposition