Projet Professionnel D Aide Soignante

puis les compétences. Celles-ci sont rédigées en termes de capacités devant être maîtrisées par les professionnels et attestées par l’obtention du diplôme d’Etat. Cette description s’inscrit dans la réglementation figurant au code de la santé publique (CSP). Compétences 1. Evaluer une situation clinique et établir un diagnostic dans le domaine infirmier 2. Concevoir et conduire un projet de soins infirmiers 3. Accompagner une personne dans la réalisation de ses soins quotidiens 4. Mettre

dans le projet de vie de la personne en prenant compte la situation dans sa globalité (pathologie, évolution, environnement, situation familiale, situation financière,…) La maladie, le handicap, la perte d’autonomie qu’elle soit ponctuelle ou non engendre des problèmes sociaux et des inadaptations. De même, des situations fragiles, désorganisées, dégradées, peuvent être la cause de problèmes de santé. Dans ces perspectives, l’assistante de service sociale informe l’équipe soignante sur

 Démarche de soins de Mr L Présentation de l établissement L' association Intercommunal d' action sociales d' Aide et de soins à Domicile du Nord Libournais , crée en 1992, est une association à but non lucratif, régie par la loi du 1er juillet 1901 est situé à Abzac . Mise en place d' un service d' aide à domicile, avec obtention des agréments simple et qualité régulièrement renouvelés. Création d' un d' un service de soins infirmiers à domicile, par arrêté préfectoral du 01/07/1998, avec

individuelles et dix chambres double. Chaque chambre possède une salle de bain, composé de toilette, un lavabo, une armoire de toilette et d'une douche. Le service comptabilise dix-huit personnels soignants comprenant huit aides medico psychologiques, trois agents de service hospitalier, cinq aides soignants, deux infirmières et une éducatrice spécialisée qui a pour rôle de coordinatrice du service au sein de la structure. Cette structure permet dans un premier temps d'assurer une sécurité physique

les équipes soignantes » [1]. Le refus de soins recouvre des situations complexes et très disparates. Les soignants rencontrent des personnes qui ont conservé leurs facultés intellec- tuelles intactes mais aussi d’autres qui souffrent de troubles cognitifs. Les questions qui se posent sont alors : quels comportements adopter face au refus des soins et comment parvenir à respecter le corps de celui qui les refuse ? Quelle complé- mentarité, collaboration entre les professionnels du soin, mettre

progression vers un mieux être. Que l’on pense aux personnes affligées de douleurs chroniques, aux cancéreux ou à celles souffrant de problèmes d’adaptation ou de troubles mentaux, s’ils se prennent en main avec l’incitation et le soutien d’une soignante, leurs possibilités d’amélioration s’accroissent (voir Bastian, Joëlle, Jean Luc Valdeyron et Véronique Vaquier, 2001). 1.1. Les origines L’alliance thérapeutique est un concept relativement ancien. Il a d’abord été défini par Sigmund Freud en

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L’INTERVENTION L’auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance ou de difficultés du à l'âge, la maladie, le handicap ou les difficultés sociales par une aide dans la vie quotidienne. Il favorise ainsi le maintien de la personne au domicile et évite son isolement. Il veille à la préservation ou à la restauration de l’autonomie de la personne et l’accompagne

théorie vient du latin théoria emprunté au grec théôrein «observer» . La théorie serait donc le fruit de l'observation, de la contemplation intellectuelle. Concernant le soin, il est légitime d'affirmer qu'il est fondé sur l'observation. En effet, le soignant sans y prêter attention observe, analyse chacune des situations de soin qu'il rencontre et de là se forge une théorie qui va donner du sens à son intervention, à sa pratique. Ainsi, le soin n'est pas possible sans théorie. Dans la pensée infirmière

veut une unité de transition accueillant des patients pour lesquels il est possible de construire et de travailler un projet de vie : réinsertion sociale et professionnelle. Les patients sont hospitalisés en H.O, H.D.T ou H.L. La capacité d’hospitalisation est de 33 lits et 1 chambre d’apaisement, existe également une possibilité d’accueillir 3 patients en Hôpital de jour. Le projet de réadaptation et d’insertion se base sur un processus de construction visant à restaurer une autonomie concernant

les équipes soignantes » [1]. Le refus de soins recouvre des situations complexes et très disparates. Les soignants rencontrent des personnes qui ont conservé leurs facultés intellec- tuelles intactes mais aussi d’autres qui souffrent de troubles cognitifs. Les questions qui se posent sont alors : quels comportements adopter face au refus des soins et comment parvenir à respecter le corps de celui qui les refuse ? Quelle complé- mentarité, collaboration entre les professionnels du soin, mettre