Prologue De Phedre

exemple (comme dans Phèdre). 12. Emphase : Exagération dans le ton, les gestes 13. Le Classicisme : Le terme « classique » désigne d’abord, au XVIIe siècle, les auteurs anciens, grecs ou latins, qui font autorité et qu’il est bon d’imiter. Puis il désigne les écrivains français qui ont imité ces mêmes anciens, tout en défendent une esthétique de la clarté et de l’harmonie. 14. Epidictique : Procédés qui permettent de faire ou un éloge ou un blâme. 15. Prologue : Présentation,

interjections, le registre lyrique et les nombreux termes emphatiques qu’il emploie. En ce qui concerne les caractéristiques des personnages d’une pièce, là aussi, les didascalies internes jouent un rôle important. Dans Antigone de Jean Anouilh, le Prologue présente physiquement et moralement chaque personnage, son histoire, ses goûts, sa personnalité, son attitude, de cette façon l’acteur ne peut qu’adopter « la consistance » du rôle qui lui est donnée. Il semble facile et naturel alors d’appliquer

3. Origines de l’originalité. 1. Originalité née du dépassement du modèle ? - Racine et Sénèque. Récit de Théramène dans Phèdre. Chez Sénèque, Théramène sort de Trèzène dans la précipitation et l’agitation. Mais selon racine, agitation discordante par rapport à l’image du héros tragique. D’où des gestes lents. - Proust et Flaubert dans Pastiches et mélanges. Proust justifie son écriture mimétique qui est « la vertu purgative exorcisante du pastiche.» Il faut « faire un pastiche volontaire

Antigone, (1944) : L.C. Extraits : Racine, Phèdre, (1677), I, 3, tirade de Phèdre à Oenone v 269 à 306 + liste des personnages ; Musset, Lorenzaccio, (1834), IV, 3, monologue de Lorenzo + liste des personnages ; Beckett, En attendant Godot, (1953), extrait de l’acte II : L.A. / Giraudoux, Electre, (1937), I, 8 : tirade d’Electre à Oreste : C.L. Document complémentaire : Musset, De la tragédie, (1838), extrait. / Deux photographies du personnage de Phèdre, acte I, scène 3, dans le cadre de deux

1) ………………………………………………..A) …………………………….B) …………………………….C) ……………………………..Exercice 3  : rédigez l’une des sous-parties. È Plan possible : 1) La crise attendue n’advient pas.A) L’aveu ne viendra pas. - Annonce dramatisée dans le prologue.- Tentatives d’explication avortées. - Epilogue insistant sur l’échec de la parole.B) La carte de l’apaisement. - Un personnage neutre: Catherine tente d’établir un contact cordial et nouveau (mise en scène de Berreur)- l’idéalisation de la mère :

destin car l’auteur condamne tout espoir dans la vie. Donc il n’y a aucun effet de surprise et le lecteur connaît déjà la fin de l’histoire. Notamment parexemple, dans le prologue d’Antigone de Jean Anouilh, ce dernier nous précise qu’Antigone mourra : « Elle pense qu’elle va mourir ». C’est notamment le cas dans la préface de Phèdre, Racine : « Elle aimemieux se laisser mourir ». Ainsi que dans la préface de Bérénice, Racine : « Il est vrai que je n’ai point poussé Bérénice jusqu’à se tuer comme Didon

Antigone, Le Prologue, début ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- -Marivaux, l’île des esclaves scène 3 ------------------------------------------------- Comment faire voir ce qu’on ne peut pas voir ? ------------------------------------------------- Lectures analytiques : -Molière Dom Juan, acte V, scènes 5 et 6 manuel p.230 | -Ionesco, Rhinocéros, II, 2 la métamorphose de Jean- Racine, Phèdre, Acte V,

| | | |- Définitions de la tragédie dans trois préfaces de Racine ("Phèdre", "Britannicus", "Bérénice"): unité de temps et vraisemblance (une action dépouillée); | |la catharsis (pour un "état modéré et conforme à la raison").

destin car l’auteur condamne tout espoir dans la vie. Donc il n’y a aucun effet de surprise et le lecteur connaît déjà la fin de l’histoire. Notamment par exemple, dans le prologue d’Antigone de Jean Anouilh, ce dernier nous précise qu’Antigone mourra : « Elle pense qu’elle va mourir ». C’est notamment le cas dans la préface de Phèdre, Racine : « Elle aime mieux se laisser mourir ». Ainsi que dans la préface de Bérénice, Racine : « Il est vrai que je n’ai point poussé Bérénice jusqu’à se tuer comme Didon

importance de l'analyse des passions amoureuses et des rôles de femmes ; emploi du pathétique, jusqu'à l'abus et au procédé ; préoccupations scientifiques et philosophiques ; effort pour rajeunir les mythes et trouver d'autres sujets ; usage des prologues ; physionomie nouvelle des choeurs, qui deviennent presque indépendants de l'action ; souci du costume et de la mise en scène. Par ces innovations, Euripide flattait les goûts nouveaux du public. Aussi fut-il très populaire à Athènes, et les attaques