Prométhée

Il lui confie une besace pleine de protections (fourrure, cornes, sabots...) Mais le Titan est distrait, imprévoyant et lorsqu'il arrive à la race humaine, n'a plus rien à donner aux hommes. Nus et fragiles, les hommes sont voués à disparaître. Prométhée, constatant la négligence de son frère et ne voulant pas que les humains périssent, vole l'habileté à Héphaïstos et Athéna et le feu à Zeus pour les donner aux hommes et ainsi leur permettre de survivre. Grâce à l'habileté et au feu, l'homme « fut

histoire ne peut prétendre être morale (même si elle fut écrite pour cela au départ), mais elle résume une tendance de l’esprit humain, la révolte contre l’ordre du monde et la volonté de lui lancer un défi. Elle se rapproche en cela du mythe de Prométhée, qui vola le feu aux Dieux et en fit cadeau à l’humanité. On peut dire que ces deux mythes symbolisent la civilisation européenne, qui cherche à s’affranchir de l’ordre naturel/divin. Le personnage mythique de Don Juan serait né d'un fait divers

dénuée de protection naturelle (pas de pelage, de carapace etc.). En second lieu, l'homme a peu de moyens. On remarquera que Hume, de ce point de vue, est en accord avec la thèse sophiste développée par Platon dans le Protagoras à travers le mythe de Prométhée et d'Épiméthée. Le mythe raconte que l'homme est le seul être oublié lors de la distribution des instruments nécessaires à la survie. Hume reprend cette thèse en attribuant la responsabilité de cet oubli, non à une figure mythologique mais à la nature

habitable –car la nature ne l’est pas immédiatement, alors la technique lui en donne les moyens). L’homme serait donc en partie défini par cette aptitude à inventer et à utiliser des techniques. Trois auteurs vont dans ce sens : 1) Dans le mythe de Prométhée, (dans le dialogue intitulé Protagoras), Platon suggère que, sans les techniques (qui sont une sorte de « don divin » ), l’homme ne pourrait pas vivre : il a été en quelque sorte « oublié » lors de la distribution qui à chaque animal a attribué « ce

développer des techniques du corps pour pouvoir survivre. D’après Marcel Mauss, les enfants à qui on transmet la culture (donc le progrès) « sont  probablement les premiers êtres qui aient été dressés ainsi avant tous les animaux ». Le mythe de Prométhée et d’Epimétée illustre parfaitement le fait que l’homme a pour nature de vouloir le progrès. Dans ce mythe, Epimétée distribue des qualités aux animaux mais lorsque vient le tour de l’homme il ne lui reste plus rien, si bien que celui ci vole la

dénuée de protection naturelle (pas de pelage, de carapace etc.). En second lieu, l'homme a peu de moyens. On remarquera que Hume, de ce point de vue, est en accord avec la thèse sophiste développée par Platon dans le Protagoras à travers le mythe de Prométhée et d'Épiméthée. Le mythe raconte que l'homme est le seul être oublié lors de la distribution des instruments nécessaires à la survie. Hume reprend cette thèse en attribuant la responsabilité de cet oubli, non à une figure mythologique mais à la nature

révèle-t-elle les ambitions et les excès des hommes ? Mary Shelley Frankenstein Fontenelle Histoire des oracles « la dent d’or »1686 Zola Le docteur Pascal Documents complémentaires Groupement de textes sur Le mythe de Prométhée : Texte d’Eschyle, tableau de Rubens et texte de M Shelley (lecture analytique 1) La lutte contre l’obscurantisme en parallèle avec le texte de Fontenelle. Diderot extrait Encyclopédie.. Lecture commentée L’éloge de la science Renan. Critique

travail : alors que la nature semble tout donner à l'animal, l'homme naît démuni, et doit donc de lui-même transformer la nature pour l'adapter à ses besoins. La question du travail, est présente aussi dans la mythologie grecque où dans le mythe de Prométhée, le travail est présenté comme une malédiction, une punition divine, relevant de la fatalité. Ils expriment aussi à la fois que le travail est nécessité naturelle et contre-nature, car l'homme ne semble pas fait pour travailler, le travail est corvée

mécanique. Cela permet aux ouvriers de - se fatiguer, et de pouv ainsi T + lgtps. Certains métiers difficiles, voire dangereux, c celui de mineur, st rendus + aisés grâce aux machines. La machine est alrs 1 aide pr l'ê hum, lui qui, selon le mythe de Prométhée, n'aurait rien reçu de la nat pr srvivre. Le dvpt de la techn, et par la suite des machines, serait dc la marque de l'huma. B- La machine satisfait les désirs De +, l'inven° des machines a pr but 1 satisfac° + rapide et + aisée des besoins et des

en buvant, en mangeant, en dormant etc. Cette contrainte fait que la mort n’est pas seulement perçue comme la fin d’une vie, lointaine, non : la mort est présente dans tous les gestes du quotidien. Pour les grecs, manger = mourir. (cf mythe de Prométhée sur la condition de mortel) Pour compléter ces idées qu’ont les grecs au sujet de la mort, on peut s’intéresser aux rituels funéraires qu’ils pratiquaient, que JP Vernant résume ainsi : « Le corps est d’abord embelli : lavé à l’eau chaude