Promiscuité

vite dans une langue qui n'est pas la sienne, sous peine d'être tué sur le champ par un Kapo aussi brutal qu'insensible. Tout dans le camp est destiné à mettre à mal le déporté : les longues heures d'attente dans le vent, la nudité ou encore la promiscuité dans les couchettes. Lévi manifeste l'indécence de leur condition avec un rythme ternaire « son nom et ses cheveux, et jusqu'à la force de se souvenir ». L'homme du camp est pour les nazis inférieur et tout doit être récupéré : les cheveux, les

détention déjà catastrophiques. Les prisons sont surpeuplées (parfois à plus 140 %) mais aussi vétustes, inadaptées (la prison des Baumettes a été au centre d’un scandale en 2013 à cause de ces problèmes). Les détenus vivent des situations de promiscuité insoutenables, mais aussi de violence, de racket, de viol. On ne peut pas accepter que les conditions de détention soient à ce point inhumaines. Soit on construit plus de prisons (modèle américain), soit on incarcère moins. Augmenter le nombre

identifiés afin de favoriser leur arrestation lors de rafles. Ils sont enfermés dans des camps de transit ou dans des ghettos comme celui de Varsovie qui regroupe 550 000 personnes. Cette concentration de population est meurtrière en raison de la promiscuité, du manque d’hygiène et de nourriture et des violences subis. Dès 1940, les Tziganes sont concentrés dans des camps avant d’être déporté vers la Pologne B) De l’arrestation aux exterminations L’extermination commence avec l’invasion de l’URSS par

s’accroitre. Le progrès ne va rien améliorer dans leur vie, bien au contraire. Les conditions d’existence et de travail vont être particulièrement difficiles et déplorables : la durée de travail, l’insalubrité, l’insécurité, les logements exigus, la promiscuité.. ajoutés aux salaires misérables qui permettent a peine de survivre. Ces conditions sont autant éprouvantes moralement que physiquement. Le monde ouvrier, ou aussi appelé prolétariat par C.Marx « celui qui ne dispose que de sa propre force de

percevoir la sexualité, le phénomène ne se limite donc pas aux magazines. Jean Kilbourne fait remarquer que le sexe dans les médias est souvent condamné « d’un point de vue puritain » : il y en a trop, il va trop loin, il encourage les jeunes à la promiscuité, etc. Mais, en fait, « les médias banalisent le sexe beaucoup plus qu’ils n’en font la promotion. Ce n’est pas un problème de moralité, mais de superficialité et de cynisme. On nous propose une pseudo-sexualité qui rend d’autant plus difficile la

décidées par les états-majors : bombardements avec artillerie puissante et assauts des soldats - lourdes pertes : ex : bataille de Verdun, 1916, 695 000 morts DES CONDITIONS DE VIE EPOUVANTABLES - Froid, , boue, humidité, pluie, corvées, rats, poux, promiscuité, manque d’hygiène - Poilu : surnom donné au soldat français de 19141918 (après 3 semaines sur la première ligne, les soldats reviennent poilus car ils n’ont pu se raser) UNE GUERRE TOTALE MOBILISATION DES HOMMES / FEMMES - 66 millions de soldats

fondée sur des conditions de vie précaires ❑ des salaires faibles : 2 p 41 (le salaire de l’ouvrier ( à peine le minimum vital mais différences selon les régions, les professions et les périodes) ( • des logements insalubres : taudis, promiscuité dans des quartiers spécifiques • problèmes alimentaires et sanitaires : o mortalité très élevée : dans usines textiles britanniques : 30% des ouvriers meurent de la tuberculose o enfants frappés de rachitisme :

facteur) dans le village. Mais ce que la Belgique n’avait pas précisé c’est que les hommes seraient utilisés comme de la marchandise. Déjà pour le trajet allé ils ont été EMPACTÉS dans les wagons de trains. Puis arrivé en Belgique, ils logeaient en promiscuité car ils étaient plus de 10 à dormir dans une même chambre. Et surtout les conditions de travail dans les mines étaient horribles. Le contrat des immigrés Italiens ne leurs permettait pas de travailler dans un endroit autre que le fond de la mine

plus grand bidonville du monde ?Dharavi.5) Montre que l’habitat et les métiers y sont informels (= hors des règles) ?Un labyrinthe de rues sinueuses et d’adresses sans numéros. Des habitats précaires très étroits (8 dans 12m²) qui souffrent de la promiscuité. De nombreux métiers sont informels (= non déclarés) pour assurer le minimum pour vivre : livreur de gaz, cireur de chaussure, porteur, teinturier, laveur…6) Quelles inégalités sont criantes dans la ville ?A quelques mètres des bidonvilles, des

selon un plan unique et rationnel, consciemment conçu pour répondre au but officiel de l’institution ». Autrement dit, programmation de tous les détails de l’existence quotidienne. 4- La promiscuité et l’indistinction entre les reclus : un grand nombre de personnes y entretiennent des relations de « promiscuité totale » et sont « soumises aux mêmes traitements et aux mêmes obligations ». Donc une vie collective. 5- La surveillance par un personnel intégré au monde extérieur : Les individus sont