Prophylaxie

différent d’un labo à un autre. INDICATIONS CLINIQUES INR - Préventions primaire et secondaire des thromboses veineuses - Chirurgie à haut risque thrombotique - Traitement secondaire des thromboses veineuses et des embolies pulmonaires - Prophylaxie des embolies systémiques - Prothèse cardiaque tissulaire, valvulopathie, infarctus du myocarde, fibrillation auriculaire, valve aortiques 2/3 - Prothèse valvulaire mécanique (haut risque) - Thrombose associée à des antiphospholipides 3

toux et des éternuements des sujets infectés. Le diagnostic de la grippe en période d'épidémie est simple, et une grippe non compliquée relève habituellement d'un traitement symptomatique. Des antiviraux sont disponibles pour le traitement et la prophylaxie de la grippe, parmi lesquels les inhibiteurs de la neuraminidase tiennent aujourd'hui une place de choix. La prévention de la grippe repose sur une vaccination annuelle, proposée dans la plupart des pays industrialisés aux personnes à risque2 et

(1ml=20 000 UI) 2 500 UI, 3 500 UI, 4 500 UI (1ml=10 000 UI) UTILISATION DES HEPARINES Indications de l’héparine En traitement curatif – – – – – Thrombose veineuse Embolie pulmonaire Infarctus du myocarde Thrombose artérielle CIVD En prophylaxie En cas de risque d’accident thrombo-embolique Pour la CEC Chirurgie cardiaque, dialyse… Contre-indications Allergie à l’héparine Thrombopénie ( hors CIVD) Ulcère gastro-duodénal Accident vasculaire cérébral Endocardite bactérienne UTILISATION

lors d’une thrombose veineuse ou artérielle pathologique Phlébite, embolie pulmonaire Embolie artérielle (fibrillation auriculaire) Thrombophlébite cérébrale En prophylaxie primaire : Prophylaxie péri-opératoire de la chirurgie orthopédique Alitement prolongé avec ATCD thrombo-emboliques Valve cardiaque mécanique En prophylaxie secondaire : Anomalies constitutionnelles de la coagulation ATCD thrombo-emboliques 11 Généralités sur les traitements anticoagulants Contre-indications :

n’est pas vaccinée. Si la personne source est porteur du VIH, avec son accord, contacter son médecin pour adapter le traitement post-exposition (TPE) de la personne exposée, si nécessaire. 3) Contacter immédiatement un médecin référent pour la prophylaxie du sida: Le médecin référent doit avoir les informations nécessaires afin qu’il évalue le risque infectieux dont le type d’exposition, profondeur de la blessure, type d’aiguille ou de matériel en cause, nature du liquide biologique, statut sérologique

phase. Les risques de mortalité sont réduits : grâce aux découvertes médicales « révolution pasteurienne » ; les mesures d’hygiène publique (dératisation, eau usée, aération des logements). Ces mesures de préventions s’appellent des mesures de prophylaxie ; les progrès de l’agriculture → hausse de la production agricole → population bien nourrie → donc la population est en bonne santé ; hausse programmé du niveau de vie des européens. NB : La France se distingue de l’évolution européenne →

ar : origine endogène. * Septicémie : 10 à 15% des septicémies * Diagnostic : * Produits pathologique divers * Examen direct * Culture 24H * Sérologies (recherche des antigènes et des anticorps) * Prophylaxie : * Prélèvements systématiques (bouche nez anal chez le patient immunodéprimé) * Désinfection soigneuse de la peau avant de faire une injection intraveineuse. * Décontaminer le tube digestif avant de faire une chimiothérapie

yersinia pestis - les ouvriers agricoles des zones touchées par la maladie PRÉVENTION La meilleure mesure préventive réside dans le contrôle des populations de rats dans les villes des pays où la maladie est endémique. Les mesures générales de prophylaxie doivent viser les rats, les rongeurs sauvages, les animaux domestiques et les ectoparasites vecteurs (puces et poux). Il est également utile de surveiller les animaux domestiques de ces pays et de les traiter avec des poudres répulsives pour les

qu'une semaine alors que la femelle 10 à 15 jours. Cet insecte peut détruire la moitié jusqu'à la totalité de la production des plants de tomates, d'où la nécessité d'agir ! II. COMMENT LUTTER ? 1) Traitements biologique et de synthèse La prophylaxie est la plupart du temps un échec car la mineuse résiste aux pesticides mais aussi parce qu'elle se développe à l'intérieur de la plante et/ou dans le sol. Les produits phytosanitaires n'ont permis de réduire le pourcentage de perte que de 15% maximum

supplantation potassique associée aux fortes doses de * Corticoïdes. * prévention de I'ostéoporose : * vitamine D. * Calcium. * biphosphonates (etidronate, risedronate et acide zoledronique), * dépistage et traitement des foyers bactériens latents . * prophylaxie d'une éventuelle anguillulose si le contexte le justifie ; * gastroprotection si nécessaire. 5.1.10 Particularités de la prescription chez I'enfant et l’adolescent : A) Traitement pharmacologique : Les indications des anti-inflammatoires, amino-4-quinoleines