Proposition incise

l’opposition et de la concession OPPOSITION ( su doi lap) Fonction : complement circonstanciel d’opposition * Elle place avant ou apres la proposition principale * Introduite par une conjonction de suboridination CONCESSION ( su trai lai) Fonction : complement circonstanciel de concession * Elle place avant ou apres la proposition * Introduite par une conjonction de subordination Autres moyens grammaticaux : * Un groupe preposistionnel : malgren en depit de… * Un

…………………. Dans les phrases complexes, les propositions peuvent être : ce qu'on a la liberté d'imaginer 1° ……………………… : dans ce cas, elles sont simplement séparées par une virgule, un point-virgule ou deux points. On dit que les propositions sont indépendantes. 2° coordonnées : dans ce cas, elles sont reliées par une ………………………………. (……………………….………………………………………………..) ou par un adverbe de liaison (alors, puis, en effet…). On dit également que les propositions sont indépendantes. 3° reliées par une ……………………………………

forme de discours narrativisé puis indirect. Le discours narrativisé débute à elle faisait souvent à sa fille des peintures de l’amour jusqu’à où plongent les engagements, introduit par la proposition indépendante Mme de Chartres avait une opinion opposée. (Soit 2 propositions indépendantes + 3 propositions principales) Le discours indirect commence avec elle lui faisait voir + PS1 quelle tranquillité… + PS2 combien la vertu ; puis une autre principale mais elle lui faisait voir aussi + PS1 combien

: -dès le début, on va se centrer sur les deux personnages : « qq'un qui entrait »l.4, ce qqun est repris ensuite par « il reprit qq'un ».Le narrateur répète ce « qq'un » pour le hasard. -insiste sur le fait que la rencontre est inévitable : proposition subordonnée de conseq. (l.7-8) »Si bien qu'il ... », (l.11-12) « tellement que ... »(l.36) « si remplie que ... » rapport cause à effet que l'on ne peut éviter. -Le narrateur montre que les personnages ne sont pas vraiment maîtres de leurs émotions

mer…) ➢ Les expansions du groupe nominal : chaque groupe nominal caractérisant un élément ou un sous-élément de l'objet décrit reçoit généralement une ou plusieurs expansions grammaticales (un adjectif qualificatif, un complément du nom, une proposition subordonnée relative) qui expriment le point de vue de celui qui décrit. ➢ Les images poétiques : elles traduisent, par les connotations qu'elles suggèrent, le point de vue de l'énonciateur du texte sur l'objet décrit. Ce sont soit des comparaisons

enchaînement de propositions participiales. Etudiez la construction de la seconde phrase (identifiez les différentes propositions). - En l’apercevant s’étendre comme une ombre grise le long d’une allée au Jardin des Plantes, (= gérondif ( équivaut à une proposition circonstancielle dont le sujet est le même que celui de la principale + proposition subordonnée infinitive) - la tête couverte d’une vieille casquette flasque, (construction participiale équivalente à une proposition subordonnée

un adjectif ou un adverbe. Exemple : Difficile, cette leçon ! Phrase simple et phrase complexe - Une phrase simple s'organise autour d'un verbe, de son sujet et, éventuellement, de ses compléments ; il peut y avoir une seule proposition, indépendante, ou plusieurs propositions indépendantes juxtaposées (construites en parataxe) ou coordonnées (à l'aide d'adverbes de liaison ou de conjonctions de coordination). Dans ce cas, la phrase est dite composée. Exemples : Voici une phrase simple non composée

données ? 6. Qui était camarade d’école de Mouloud Feraoun ? 7. A quoi servent les guillements au quatrième paragraphe ? 8. Quel est le temps principal utilisé dans cet extrait ? Pourquoi ? 9. Dans le premier paragraphe, relève une proposition subordonnée relative. Quel est le pronom relatif qui l’introduit ? Quel est son antécédent ? Agenda  Pour: lire les six premiers chapitres et répondre aux questions de la 2ème feuille Pour: lire les chapitres 7 à 11 pp. 48 à 88 et répondre

et des compagnons augmentait le poids de mon assujettissement ». 3) Un bilan sans appel. Dans ce texte, R. regarde les bonheurs à jamais perdus de sa vie: mise en relief de l'adieu final + construction de cette phrase: pas de verbe dans la proposition principale, juxtaposition des mots « aisance » « gaieté » « mots heureux » => caractère inéluctable de la chute. => Ainsi texte: constat désenchanté et réquisitoire vigoureux. Déterminisme social + éducation telle qu'elle est faite dégradent l'enfant:

Les quatre premiers quatrains développent une seule phrase (cad les 4/5 du poème !). Phrase très longue ! - qui progresse avec trois subordonnées (3 quand) en reprise anaphorique à chaque début de strophe - elle aboutit à un paroxysme dans la proposition principale, qui tarde à venir, puisque c’est la dernière à être énoncée.  Inversion de l’ordre grammatical classique de la phase, qui veut 1 prop ppale, et 2 prop sub. • Par ailleurs les coordinations "et qui" (v. 3-11) amplifie encore la longueur